vendredi 30 novembre 2012

CONFIRMATION D' UNE EXCELLENTE NOUVELLE

J' ADORE LES BELGES. ET SOUVENT ILS SONT EN AVANCE SUR NOUS POUR RÉAGIR.
 JE VOUS METS CE COMMENTAIRE  ET LA SOURCE DE L'ARTICLE.
 VOILA QUI FAIT PLAISIR A LIRE. J' AVAIS DÉJA VU UNE INFORMATION SUR LA BAISSE DE LA CONSOMMATION DE BOEUF EN BELGIQUE CE TÉMOIGNAGE LA CONFIRME.
 CETTE BAISSE S'ÉTEND A D' AUTRES VIANDES ET C' EST TANT MIEUX.
 BRAVO LES BELGES!

Cher amis Français,je suis heureuse de vous apprendre que les éleveurs wallons commencent à s’inquiéter de la baisse de la consommation de boeuf. Quant à la filière ovine , elle est simplement sur les genoux. En fait, chez nous , il n’y a que 5 abattoirs qui ne font pas d’abattage rituels sur à peu près quatre vingt abattoirs (en décomptant ceux spécialisés dans le porc). Face à cette véritable colonisation des abattoirs, les Belges de souche n’ont pas d’autre solution que le boycott de toute viande de boeuf, veau mouton et de la volaille( non bio). Personnellement, j’anime de petites réunions ou je propose des substituts de viande a base de tofu et de quorn pour remplacer ces viandes qui sont pour la plupart abattues de façon halal. Des abattoirs en Ardenne et dans le Hainaut Occidental ont promis de renoncer à l’abattage halal. Malheureusement les grands abattoirs (Anderlecht, Liège, Genk…) abattent tout halal en raison de la forte population musulmane dans ces grandes villes et ceci malgré les crises sanitaires récurrentes. (Vous avez peut être entendu parler des intoxications a l’ E coli survenue à Genk , il y a quelques mois) .
Personnellement, j’enquête dans quelques magasins de ma ville et je vois bien que dans les supermarchés de taille moyenne ( GB, Match, Lidl, Delhaize ), le rayon de viande de boeuf se réduit de plus en plus. Colruyt et Aldi ont opté pour une boucherie interne au magasin. Même si certains consommateurs continuent à rechercher de la viande’ garantie légale’ , beaucoup d’entre nous ont opté pour la solution radicale qui consiste à se contenter de porc, poisson, fruits de mer, oeufs et substituts végétariens. Ce sacrifice ne nous gêne pas du tout car nous savons que cela a un impact positif et que c’est une forme de ‘résistance’ . Il faut dire que Colruyt est une enseigne réputée pour ses marques de substituts végétariens et que, grâce à ces produits végétariens , nous ne sommes pas privés du plaisir de manger sain et varié. (le poisson est également une source inestimable de protéines)
De plus,j’en suis venue à penser que l’obligation qui nous est faite de réagir de façon drastique contre l’abattage rituel a un effet positif. En effet, le boycott de la viande met l’élevage en danger et pousse les éleveurs à se reconvertir dans la production céréalière beaucoup plus rentable.
Il faut savoir que les éleveurs wallons comptent surtout sur l’exportation vers les pays du Maghreb pour écouler leur production mais qu’ils dépendent de subventions pour pouvoir exporter à perte. La baisse de la consommation intérieure , l’augmentation des coûts de production ainsi que la fin de ces subventions à l’exportation pourraient, à terme, conduire les éleveurs à se reconvertir dans la production de céréales, (pour l’alimentation humaine et pour la production de biocarburants)
C’est à nous, consommateurs qu’il revient de consommer en conscience et, grâce à nos actes d’achat et de non achat,d’ avoir un impact sur les décisions des autres acteurs économiques.

REVER

POUR FINIR LA SOIRÉ CETTE MEGNIFIQUE PHOTO DE ONE VOICE PARCE QUE L' ON PEUT TOUJOURS REVER QU' UN JOUR LA BARBARIE FINIRA!




Pour se nourrir l’homme s’est lancé dans l’élevage intensif et la pêche industrielle. Résultat : des animaux de ferme martyrisés du début à la fin de leur vie et des espèces aquatiques en voie de disparition. Mais ces pratiques ont des conséquences sanitaires et environnementales également dramatiques. One Voice propose l’abandon progressif de l’élevage et de la pêche industrielle, et le développement d’activités commerciales respectueuses de la santé humaine, de l’environnement et des animaux.
Aujourd’hui, l’humanité produit et consomme annuellement plus de 275 millions de tonnes de viande et consomme environ 48 millions de tonnes de poissons pêchés dans les océans, l’autre moitié consommée étant produite par les fermes piscicoles. Ces chiffres ahurissants ne font que croître : en 2050, la production de viande devrait atteindre 465 millions de tonnes, et la consommation de poissons devrait presque doubler. Pour répondre à la demande, on emprisonne toujours plus d’animaux de ferme dans toujours plus d’élevages industriels et on surexploite les fonds marins avec la pêche industrielle.
On dénombre actuellement 60 milliards d’animaux d’élevage confinés pour la plupart dans des bâtiments, entassés, le plus souvent dans des cages ou enchaînés et privés de la possibilité de se comporter selon leurs instincts naturels fondamentaux. Un nombre considérable d’animaux sont transportés dans des conditions cruelles et avec brutalité. Arrivés dans les abattoirs, ils ne sont pas épargnés de la souffrance et du stress. Ils payent un lourd tribu pour la satisfaction de l’appétit de viande de l’humanité. Dans les océans, il a été relevé que 70 % des ressources halieutiques étaient exploitées à un rythme tel qu’elles n’avaient pas le temps de se renouveler, augmentant par la même la vulnérabilité des écosystèmes. Et si l’aquaculture nous est souvent présentée comme une alternative à cette surexploitation, elle présente aussi de nombreux risques pour la faune et la flore marine comme pour l’homme.
À l’échelle du globe, la viande ruine la santé humaine. Elle est à l’origine de maladies, d’infirmités et de décès sur une échelle inédite. La viande et les autres aliments d’origine animale sont reconnus comme la principale cause, entre toutes, des pires pathologies chroniques et mortelles du monde actuel, du cancer aux maladies cardiovasculaires. L’utilisation d’antibiotiques dans l’industrie de l’élevage –d’animaux de ferme ou de poissons- contribue à l’apparition de micro-organismes résistants, si bien que nous risquons de nous retrouver à la merci de certaines maladies auparavant guérissables.
Les industries de l’élevage et de la pêche sont en train de ruiner la planète. L’élevage est la deuxième plus grande source de gaz à effet de serre et joue un rôle de premier plan dans pratiquement toutes les crises écologiques, du changement climatique à la destruction des forêts humides. Pire encore, il détourne la production agricole mondiale, qui est utilisée pour nourrir les animaux et pour permettre ainsi aux populations les plus riches d’avoir leur dose de hamburgers, de steaks et de morceaux de poulet, ce qui contribue à entretenir la famine dans les pays les plus pauvres. Avec ses bateaux usines et sa technologie de pointe, la pêche industrielle détruit les ressources et saccage les fonds marins mettant en péril la survie de quantité d’espèces, de poissons, bien sûr, et aussi de mammifères, d’oiseaux, etc.
Pour toutes ces raisons, One Voice propose de mettre fin à l’élevage. Par ses actions et ses campagnes d’information, l’association encourage chacun à diminuer de plus en plus sa consommation de viande et à adopter un régime alimentaire non préjudiciable à sa santé, respectueux des autres humains, de la planète et des animaux.
« D’un point de vue humanitaire, l’idéal serait que le monde entier soit végétarien et que tous les animaux puissent vivre comme ils vivent dans la nature. On peut espérer que ce temps finira par arriver, tôt ou tard. En attendant, les malheureux animaux continueront d’être égorgés. »Al-Hafiz Basheer Almad Masri, Animal welfare in Islam, 2007
« Les souffrances que subissent ces animaux sont devenues si extrêmes que se nourrir de ces créatures, c’est se nourrir sans le savoir de l’abjecte misère qu’a été leur existence (…) Nous ingurgitons des cauchemars au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner. »John Robbins, Diet for a New America, 1987
Vous pouvez soutenir le combat de One Voice
en faveur des animaux destinés aux abattoirs en faisant un
don
.

MOISETTE



UNE HISTOIRE QUI FINIT BIEN
 ADOPTION D' UN VEAU PAR UNE JUMENT.
ESPÉRONS SAUVÉE DE LA  BOUCHERIE!

SCHMALLENBERG ET AUTRES MALADIES OU ÉPIDÉMIES

SCHMALLENBERG, UNE MALADIE AFFREUSE, AUCUN REMEDE ENCORE TROUVÉ.
  CE SITE SUISSE, L' OFFICE VÉTÉRINAIRE FÉDÉRAL CONTIENT  A MON AVIS TOUTES LES INFORMATIONS QUE VOUS POUVEZ DÉSIRER.

DE PLUS NOMBRE IMPORTANT DE DOCUMENTS EN PDF A TÉLÉCHARGER..


DÉFINITION:
Le virus de Schmallenberg provoque des malformations principalement chez les veaux et les agneaux. On ne sait que très peu de choses sur le virus et la maladie. Selon l’estimation scientifique actuelle, une transmission du virus à l’homme est très improbable.

Bilan épidémiologique de l'Efsa - novembre 2012 : Télécharger
La diffusion du virus Schmallenberg sur le continent européen se poursuit :
Autriche : identification de cas d'infection (détection d'anticorps) chez des ovins et des bovins (communiqué septembre)
Finlande : identification de cas d'infection (détection d'anticorps) chez des bovins (communiqué octobre)
Norvège: identification de Culicoides porteurs du virus (communiqué octobre)
Pologne : identification de cas d'infection (détection d'anticorps) chez des caprins (communiqué octobre)
Suède : identification de cas d'infection (détection d'anticorps) chez des bovins (communiqué octobre)

A.L.F. LE FILM

PREMIERS TÉMOIGNAGES DES SPECTATEURS DU FILM

SOURCE  ECOLOGIE RADICALE
ET LA SUITE ICI
JÉROME LESCURE TRAITÉ D' ECO-TERRORISTE (par le FBI), IL FAUT LE FAIRE TT DE MEME!!!
Une excellente question ici dans le texte:
Comment a-t-on pu en arriver la?? et comment vivre avec tout cela, cette cruauté pure, ce sadisme, cet amour d' infliger et de voir  la souffrance, ce vice honteux, cette  indifférence aux animaux allant jusqu' a la dissociation  de l' animal et de la viande.

Ils les appelent VIANDE simplement...


"Nous avons pu voir le film de Jérôme lundi soir, 12 Novembre ... Malgré une presse quasi muette sur l'évènement et une critique relativement hostile, la seule salle "Le Chaplin" qui diffusait le film ce soir là à Paris, a refusé des spectateurs. La bonne nouvelle est que le Publicis champs Elysées qui a connu la même situation la semaine dernière a décidé de re-programmer le film pour la semaine qui vient ... Les quelques critiques qui se sont exprimés sur le film ont décidé de le disqualifier, certains évoquant le "militantisme lourdeau" du cinéaste d'autres son insupportable "candeur"... On croit rêver. Il s'agit de l'incontestable démission intellectuelle d'une critique qui refuse d'affronter un sujet.
Car le film est remarquable. Par l'intensité par son thème (la désobéissance civile en réponse aux insupportables cruautés infligées aux animaux), sujet qui n'a jamais été abordé dans une fiction française, mais aussi par sa facture : scénario, montage, direction d'acteur qui contribuent à le hisser à un niveau cinématographique très respectable. Le face à face en huis clos d'un policier et d'un prévenu accusé d'avoir violé la loi pour libérer des chiens promis à la vivisection sert de prétexte à un terrible réquisitoire sur la façon dont le monde moderne traite les animaux... Des images flash nous font visiter des lieux de terreur qu'on aurait peine à imaginer. Même avertis, certaines d'entre elles nous laissent dans la sidération... Comment a-ton pu en arriver là ? Comment l'humanité a-t-elle pu construire de tels enfers et comment vivre avec cette idée ? Ces questions sont au centre du film. Mais Jérôme n'abuse pas de ce procédé et il nous propose aussi un vrai film de cinéma de fiction qui nous captive et bien sûr nous interpelle très fort...
Laissons lui la parole : "L'argent ne m'importe pas. Je souhaite simplement que mon film soit vu pour que les gens sachent ...".

 Parmi les commentaire, tous valables, je  retiens celui-ci.
 C' est exact et prouvé l' expérimentation animale ne serta rien, c' est tuer pour tuer. Détruire par plaisir!

- "votre commentaire dans l'ensemble est assez réaliste et véridque par contre arrêtez de dire que le ALF sont des " eco terroristes" car les vrais terroristes sont les labos pharmaceutiques qui font exploser la cervelle des singes, qui tirturent chaque jour des millions d'animaux pour des tests cruels, inefficaces, cher!!!
Il faut savoir: L'ECHEC DE L'EXPÉRIMENTATION ANIMALE

• Moins de 2% des maladies humaines, 1,16%, se révèlent dans les animaux. Au-delà du 98% ça n'existe pas dans le monde animal.
• Des milliers de médicaments dits sûrs sur les animaux ont été retirés ou interdits à cause de leur effet nuisible sur la santé humaine.
• 1 patient sur 6 est à l'hôpital parce que les médicaments qu'il a pris étaient dits sûrs erronément après avoir été testé sur les animaux.
• 50% des médicaments sur le marché causent le cancer chez les animaux de laboratoire. Ils sont admis sur le marché parce qu'on admet que les tests sur les animaux ne sont pas considérables.
• Quand les producteurs de talidomide furent emmenés au tribunal, ils furent acquittés après que de nombreux experts fixèrent que les tests sur les animaux ne pouvaient pas être fiables pour les médicaments à l'usage humain.

L'EXPÉRIMENTATION SUR L'ANIMAL EST NUISIBLE POUR L'HOMME, POUR DEUX RAISONS:
- le résultat de l'expérimentation sur les animaux n'est pas de manière prévisible pour l'homme, car nous n'avons pas les mêmes substances;
- 92% des remèdes qui sont dits sûrs et efficaces dans l'expérimentation sur les animaux, sont délaissés dans les tests cliniques suivants avec les hommes,parce qu'inefficaces, dangereux et mortels!

Je dis bravo à M Lescure ce film est formidable il aurait du mettre encore plus d'images d'animaux massacrés car c'est ça la réalité et si les gens ont peur de voir la réalité que ca leur fait mal de savoir ce qui se passe dans les labos ils arrêteron d'acheter des produits avec des tests sur les animaux (loreal,procter and gamble,johnson and johnson etc)

Lire les autres points de vue sur le film en cliquant ici ....

jeudi 29 novembre 2012

TOUTE CETTE VIANDE MORTE POUR NOEL

LE NOEL DES ANIMAUX
 SUR DAILYMOTION

ACTION URGENTE...AUJOURD' HUI SI POSSIBLE

Des taureaux européens bloqués dans un camion depuis cinq jours


Un camion à bestiaux avec 31 taureaux en provenance de Lettonie est à la frontière entre la Bulgarie et la Turquie, en chemin pour un abattoir en Irak.

En l'absence du document obligatoire permettant le transit via la Turquie, les animaux sont bloqués à la frontière depuis le 24 novembre à 4h du matin. Les animaux sont restés à bord du camion, sans être déchargés durant ces cinq longs jours.
Le dernier rapport confirme que le camion est toujours à la frontière. Les autorités turques interdisent l’entrée des taureaux en Turquie. Les autorités bulgares interdisent de faire ré-entrer les taureaux en Bulgarie parce que le camion a été du côté turc de la frontière et parce qu'elles considèrent que certaines maladies infectieuses sont endémiques en Turquie.

Les taureaux ont été chargés le 20 novembre en Lettonie et ont déjà été transportés pendant plus de 20000 km. Et 2000km supplémentaires sont au programme jusqu'à ce qu'ils atteignent la frontière irakienne – s’ils sont finalement autorisés à poursuivre le voyage.

Des informations régulières nous parviennent grâce à à la fondaation Animal Welfare et l'association Eyes on Animals dont les inspecteurs sont à la frontière. Ces associations et CIWF demandent à la Commission européenne de travailler avec les autorités bulgares et turques à résoudre cette situation désastreuse.

Peter Stevenson, Conseiller politique en chef chez CIWF, a déclaré : "Il est essentiel que la Commission européenne et les autorités bulgares et turques prennent des mesures urgentes pour remédier à cette situation. Si les animaux sont forcés de rester plus longtemps dans ce camion à la frontière, nous risquons de les voir mourir. Ces animaux devraient être autorisés à re-rentrer dans l'UE et conduits dans des centres appropriés pour y recevoir de la nourriture, de l'eau et des soins vétérinaires.
L'an dernier, plus d'un million de bovins et de moutons ont été exportés de l'UE vers la Turquie. Ce commerce est responsable d’immenses souffrances animales en raison de la longueur des trajets et des retards prolongés réguliers à la frontière entre la Bulgarie et la Turquie. L'exportation d'animaux vivants vers la Turquie, l'Irak et d'autres pays en dehors de l'UE devrait maintenant être interdite."

Agissez :


Merci d’écrire au commissaire européen Dr Tonio Borg : CAB-SEFCOVIC@ec.europa.eu. Demandez-lui de toute urgence d’assurer la liaison entre la Turquie et la Bulgarie pour alléger les souffrances immédiates de ces animaux, et de s'assurer que le bien-être de tous les animaux qui voyagent de l'UE vers les pays tiers soit assuré. En particulier, aucun animal destiné à l’abattage ne devrait voyager durant plus de 8 heures et les méthodes d'abattage doivent à minima respecter les règles internationales en matière de bien-être animal.


ABATTAGE RITUEL EN POLOGNE

UNE HISTOIRE BIEN COMPLIQUÉE A SUIVRE..
 
 LA SOURCE
 
 
L’abattage rituel déclaré contraire à la Constitution en Pologne

La Cour constitutionnelle polonaise a jugé mardi 27 novembre l’abattage rituel contraire à la loi fondamentale, mais le gouvernement a assuré que la Pologne se conformerait à la directive européenne autorisant ce type d’abattage au 1er janvier 2013.
L’abattage rituel a été autorisé en Pologne par une disposition ministérielle de 2004, alors que la loi de 1997 sur la protection des animaux interdit l’abattage des animaux sans les étourdir. La disposition de mise en application d’une loi ne peut pas être contraire à la loi elle-même, a déclaré Zbigniew Cieslak, un des juges de la Cour constitutionnelle, cité par l’agence de presse polonaise PAP.
La Cour avait été saisie en juin par le procureur général de Pologne à la demande des organisations polonaises de protection des animaux.

« Au 1er janvier, il n’y aura pas de doute sur cette question »

La décision de la Cour ne devant s’appliquer qu’au 1er janvier 2013, la Pologne pourra alors décider de suivre ou non la directive européenne autorisant ce type d’abattage.
Le ministre polonais de l’agriculture, Stanislaw Kalemba, a assuré qu’à partir du 1er janvier 2013 la Pologne autorisera l’abattage rituel conformément à cette directive européenne. « Au 1er janvier, il n’y aura pas de doute sur cette question », a-t-il déclaré à la radio polonaise.
Les organisations de défense des animaux soulignent toutefois que la directive européenne n’est pas obligatoire, un pays pouvant demander une exception dans sa mise en application. « C’est à nous de décider si nous voulons avoir une loi autorisant ce type d’abattage où pas », a déclaré à l’AFP Dariusz Gzyra, de l’association Emaptia.

100 000 têtes de bétail abattues rituellement exportées par an

La Pologne, où les minorités musulmane et juive ne comptent que quelques milliers de personnes, est néanmoins un important producteur de viande halal et casher qu’elle exporte massivement en Europe.
Une vingtaine d’abattoirs en Pologne sont spécialisés dans la production de viande halal et casher. Selon diverses estimations, les exportations polonaises de viande halal et casher se sont chiffrées l’an dernier à environ 200 millions d’euros.
Le ministre de l’agriculture a indiqué mardi que la Pologne exportait par an environ 100 000 têtes de bétail abattues rituellement par an, dans des pays tels que la Turquie, Israël, l’Allemagne ou la France.

A SIGNER SVP

PÉTITION  CONTRE LES ABATTAGES RITUELS.
 LE SITE
 CONVENTION CVN NATURE

 LA PAGE ACCUEIL ET ACTUALITÉ: ECOLOGIE RADICALE
ET TRES BELLE PAGE DE LIENS ICI....

PETITION CONTRE les ABATTAGES RITUELS et l’OUVERTURE D’ABATTOIRS SANS ETOURDISSEMENT

Considérant que l’animal est un être sensible qui ne doit pas être soumis à des sévices et actes de cruauté ;
Considérant que la dignité de l’humain est incompatible avec la négation des droits du vivant à ne pas être maltraité et que tout acte de violence perpétré contre un animal abaisse le seuil d’intolérance au mépris de la vie humaine ;
Considérant qu’aucune doctrine, aucune tradition, ne sauraient justifier qu’il soit dérogé aux principes moraux universels et supérieurs du respect dû à la sensibilité des êtres vivants ;
Considérant que le fait de tuer un animal par égorgement sans étourdissement préalable constitue un acte de cruauté générant des souffrances inadmissibles au regard des impératifs moraux ici définis ;
Les signataires du présent appel exhortent tous les humains, par-delà leurs appartenances et identités, à récuser les abattages rituels et l’idée de sacrifice, pratiques cruelles pour l’animal, dégradantes pour l’homme, à refuser les abattages et abattoirs n'évitant pas le stress et la souffrance

PEACEABLE KINGDOM

 
 
 
 


UN FILM MAGNIFIQUE IL SEMBLE
ICI C' EST JUSTE UN COURT EXTRAIT.. QQ ANIMAUX SAUVÉS ET HEUREUX.....
 MAIS TANT D' AUTRE CONDAMNÉS, D' AUTANT QUE LES PAYS EN DÉVELOPPEMENT  SE METTENT AU RÉGIME CARNÉ.

PÉTITIONS SOLIDAIRES



UN AUTRE SITE DE PÉTITIONS...
PÉTITIONS SOLIDAIRES
pour le moment il faut avoir de la patience car cela ne fonctionne pas très bien mais...........soutenons les, l' intention est excellente.

mercredi 28 novembre 2012

RESPECTEZ LES ANIMAUX

Ce matin  pour changer un peu , je vous envoie lire de belles histoires d' humains avec leurs animaux, et aussi d' animaux entre eux. le site  RESPECTEZ LES ANIMAUX
 Cette histoire est la plus belle, mais on imagine tous les autres chiens qui eux n' ont pu être sauvés.

Sauvetage de chiens destinés à l'abattoir en Chine

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Voici la magnifique photo pleine d'espoir d'un sauvetage de chiens en Chine en decembre 2011 ♥

Dans la province du Jiangsu, un groupe de defenseurs des animaux a payé 8 000 dollars pour racheter les chiens d'un camion qui partait à l'abattoir. Ils ont posté cette photo sur facebook après avoir transporté les rescapés dans un centre de sauvetage pour animaux errants.

Bravo pour ce geste

LAIT PERDU A BRUXELLES..

VOICI UNE VRAIMENT MAUVAISE NOUVELLE QUE JE N' AI PAS ENCORE EU LE TEMPS DE COMMENTER.
LORSQUE L' ON PENSE AUX SOUFFRANCES QUE CE LAIT CAUSE AUX VACHES,  DÉJA ...GESTATION, PUIS SÉPARATION DU VEAU  je  trouve que ce n' est pas une denrée à perdre et que c' est même choquant....
De plus quand on ajoute que le lait est souvent deshydraté puis utilisé en poudre pour la fabrication des fromages, on se dit une fois de plus que le monde est vraiment fou, car ces 5000 litres il aurait été préférable  d' en faire de vrais fromages comme autrefois.

 Bien sur les paysans agriculteurs doivent  se faire entendre, car le prix du lait qui plonge aura d' énormes conséquences. En a déjà eu d' ailleurs . Si le projet de la ferme des 1000 vaches est proposé et ne fait pas rire!!!c' est bien parce ce que les "petits"  ne parviennent plus a vivre avec le prix du lait. MAIS si la reduction est accordé, les paysans traiteront ils mieux leurs vaches??
 Je sais d' apres témoignages d' un ami  dans la manche que  les paysans peuvent être cruels.
 Je pense, mais j' ai peut être des illusions,  que le consommateur serait prêt à payer plus cher pour du lait de bonne qualité bio confirmé.... SI les vaches étaient moins forcées  à l' insémination. Une fois par an, dit on?? voila qui les  épuise et les achève trop  jeunes..

 Il y a un problème du lait, c' est certain, d' autant que le consommateur peut lire trop souvent depuis quelques  années des rapports alarmants sur sa qualité et de ce fait réduit sa consomation  de  lait/laitages/formages..
 Comme je dis URGENCE!!

LA SOURCE DE L' ARTICLE SUIVANT:  


EUROPE – "Le lait déborde et les prix plongent", ont dénoncé les représentants des producteurs de lait. Ils étaient quelques centaines, accompagnés par une vingtaine de tracteurs actionnant leurs avertisseurs dans les rues de Bruxelles, lundi 26 novembre 2012.
Les agriculteurs qui manifestent ont "symboliquement" déversé un "lac de lait" d'environ 5 000 litres devant le parlement européen. L'offre étant supérieure à la demande, le prix du litre se négocie autour de 25 centimes, alors qu'il en coûte près de 40 aux éleveurs, selon l'EMB, l'European Milk Board. Cette confédération européenne regroupe 19 organisations de 14 pays européens, soit environ 100 000 producteurs. Pour certains producteurs, la situation s'annonce désormais plus grave que lors de la précédente "crise du lait" de 2009, qui avait entraîné des manifestations spectaculaires. Les producteurs réclament une réduction des volumes produits en échange d'indemnisations, et la mise en place d'une agence de surveillance européenne afin que l'offre et la demande puissent se rééquilibrer.

RECETTES DE NOEL



Quelques minutes de libre, juste le temps de regarder s' il y a des recettes de Noel végétariennes.
 En anglais j' ai trouvé ce site avec bcp de choix. Recettes anglaises et irlandaises.
 Celle ci cashew nut roast a l' air bien sympa.

Ingredients


Serves: 4

  • 50g butter or margarine
  • 1 onion, chopped
  • 1 teaspoon dried thyme
  • 1 teaspoon wholemeal flour
  • 300g cashew nuts, finely chopped
  • 50g wholemeal breadcrumbs (regular work just as well)
  • 500g puff pastry
  • 100g carrots, grated
  • 100g courgettes, grated
  • Preparation method

    Prep: 20 mins | Cook: 45 mins

mardi 27 novembre 2012

SOURCE ET SUITE  et commentaires, vous pouvez participer

Pour que chaque année des milliards d’animaux ne soient plus élevés et tués dans des conditions abominables, il est nécessaire de diminuer fortement notre consommation de viande. Faut-il pour autant devenir végétarien ?
Demandez à vos amis s’ils accepteraient que l’on fasse souffrir des animaux pour leur plaisir. Très probablement, offusqués par la question, ils vous répondront « bien sûr que non ». Pourtant, s’ils mangent régulièrement de la viande pour se faire plaisir, ils savent bien qu’ils entretiennent une industrie qui inflige chaque année des souffrances effroyables à des milliards d’animaux.

Prenez les vaches. Avant d’en faire des steaks bien saignants, il a fallu les dépecer. Ce n’est pas une tâche facile. Dans un abattoir, les vaches ne sont pas tuées sans douleur. Elles doivent d’abord être étourdies, c’est-à-dire rendues inconscientes par perforation du crâne. L’intention est bonne. Mais les bêtes ne sont pas dociles. Elles bougent et se débattent. Quant aux personnes en charge de l’opération, elles ne sont pas toujours à la hauteur de la tâche. En plus, elles n’ont pas le temps de faire soigneusement leur travail. Rentabilité oblige, les cadences sont très élevées. Résultat : de nombreuses bêtes, simplement sonnées, restent conscientes. Or voilà que commence l’opération de dépeçage. On suspend donc à un crochet ces vaches toujours conscientes par une patte de derrière et on leur tranche la gorge. Pas pour les tuer ; juste pour qu’elles se vident de leur sang. C’est au cours de ce processus qu’elles sont censées mourir tranquillement. Mais, dans l’industrie, on ne peut pas se permettre d’attendre longtemps. Alors, quand de nombreuses bêtes sont encore conscientes, on se met à les dépecer, en commençant par couper les pattes de devant. Les vaches, toujours suspendues par une patte arrière, se débattent tant qu’elles peuvent. Mais leur destin est scellé. Le couteau de boucher continue sont œuvre. Après plusieurs minutes d’horribles souffrances, la mort est enfin au rendez-vous. Quelques jours plus tard, les steaks sont dans les assiettes.


La vie rêvée des cochons d’élevage


Selon la réglementation imposée à l’industrie, ces scènes, dignes de films d’horreur, ne devraient pas se produire. Mais elles sont très courantes comme le révèlent nombre d’enquêtes (1). C’est logique : la mise à mort des animaux de rente se fait avec la même cruauté que celle qui préside à leur élevage. Prenez les cochons, par exemple. Ce sont des mammifères sensibles, très sociables et intelligents. Or la vie des cochons d’élevage est une abomination. Peu après leur naissance, leurs queues sont coupées, leurs dents sont meulées, et les mâles sont castrés, le tout sans anesthésie. Sevrés précocement, ils sont ensuite enfermés dans des enclos bondés, où ils peuvent difficilement se déplacer. L’air y est presque irrespirable et ils ne voient jamais la lumière du jour. Quand elles sont en âge d’être inséminées, les truies sont parquées individuellement 24 heures sur 24 dans une cage minuscule où elles ne peuvent pas se retourner. Les conditions sont telles que beaucoup de mâles et femelles meurent avant d’atteindre l’âge de l’abattoir. Quand ce moment est venu, les cochons qui ont eu la malchance de survivre sont entassés dans des camions, où pendant un voyage qui peut durer deux jours, sans alimentation et sans eau, ils doivent faire face à la violence de leurs congénères paniqués. À l’abattoir, saisis de peur, ils refusent d’avancer. Mais, sans pitié, à coups de bâton, les employés ont raison de leur résistance. Avec plus ou moins de succès, ces bonnes âmes tentent ensuite de les étourdir en les électrocutant. L’opération de dépeçage peut ensuite commencer, que les cochons soient conscients ou pas. Encore peuvent-ils s’estimer heureux : les conditions d’élevage des volailles sont pires (2). Face à cette cruauté, le prix Nobel de littérature Isaac Bashevis Singer avait comparé la condition des animaux d’élevage à celle des Juifs dans les camps d’extermination nazis, avec cette différence que pour les animaux l’horreur n’a jamais de fin. Aussi avait-il parlé d’un « éternel Treblinka » pour caractériser leur situation (3).

Devant une telle abomination, il y a en gros trois attitudes. La première consiste à fermer les yeux sur la souffrance animale. C’est l’attitude la plus communément adoptée. La deuxième consiste à prôner l’élevage traditionnel, plus respectueux du bien-être des bêtes. La troisième attitude consiste tout simplement à refuser que des animaux soient tués pour être mangés. C’est le végétarisme. Quelle attitude adopter (4) ?


Une industrie jugée indéfendable


En dehors peut-être de quelques sadiques, personne ne défend en soi le martyre des animaux. Dans ces conditions, comment expliquer la pérennité de l’industrie de la viande ? Deux arguments lui servent souvent de justification. D’abord, tout en regrettant les souffrances des animaux, certains prétendent que l’alimentation carnée est une nécessité pour l’être humain et que, par conséquent, l’industrialisation de ce secteur alimentaire est indispensable pour nourrir une population croissante. Ensuite, des responsables politiques, des chefs d’entreprises et des employés de cette industrie avancent que son maintien est nécessaire pour faire vivre une population qui en dépend économiquement. En somme, à travers ces deux arguments, domine l’idée que la souffrance des animaux est dommage, mais nécessaire pour éviter celle des êtres humains. Est-ce crédible ?

Le premier argument est tout simplement infondé. Manger de la viande n’est pas une nécessité pour être en bonne santé. Certes, une alimentation carnée est source de protéines nécessaires à l’organisme. Mais celles-ci se trouvent également dans d’autres aliments (5). Pour l’anecdote, il faut savoir que l’athlète Carl Lewis, neuf fois médaillé aux Jeux olympiques, était végétalien au temps de sa plus grande splendeur (6).

La justification économique semble au premier abord plus sensée. Imaginons qu’un boycott généralisé de l’industrie de la viande soit un succès. Des millions de travailleurs dans le monde se retrouveraient au chômage. Cette dégradation temporaire de leur niveau de vie serait à prendre en compte. Mais, premièrement, que pèse-t-elle face aux souffrances sans commune mesure et sans fin des animaux si une telle industrie perdure ? Deuxièmement, comment ne pas se rendre compte que la fin de l’industrie de la viande serait créatrice d’emplois dans le reste de l’industrie alimentaire ?

Bref, les souffrances effroyables que l’industrie de la viande inflige chaque année à des milliards d’animaux ne semblent pas avoir d’autre justification que d’enrichir ceux qui sont à sa tête et de procurer du plaisir aux mangeurs quotidiens de jambon, de steaks ou de poulet. À notre époque, où les animaux apparaissent de moins en moins privés des qualités que les êtres humains possèdent (capacité à souffrir, à avoir des émotions, à raisonner, à élaborer une culture, etc.), il semble toutefois qu’un nombre croissant d’individus en vient à penser que cette industrie est indéfendable, et cela sans que ces individus aient besoin de prendre en compte les ravages écologiques que par ailleurs elle provoque (encadré p. 27).

Pour ne plus entretenir cette industrie cruelle, les carnivores pourraient décider de se tourner exclusivement vers l’élevage traditionnel. Enquêtes de terrain à l’appui, une chercheuse comme Jocelyne Porcher a montré que, dans ce type d’élevage, un animal n’est pas une chose que l’on exploite sans scrupule pour obtenir de la viande (7). Au contraire, un éleveur traditionnel veille au bien-être de ses bêtes, il établit des liens affectifs avec elles et il se prend souvent à les aimer. Il assure même la perpétuation de ces animaux de rente puisque, si le végétarisme se généralisait, il n’y aurait pratiquement plus de vaches, de cochons, de poules, etc., sur la surface de la Terre. Ce don de la vie a toutefois un prix. En retour, il faut que l’animal donne sa viande. Au moins, il a bien vécu.


La tentation de l’élevage traditionnel


Dans son essai Faut-il manger les animaux ? (L’Olivier, 2010), le romancier Jonathan Safran Foer avoue être touché par cette bonté des éleveurs traditionnels et se sent prêt à leur donner raison quant à la légitimité qu’il y aurait à manger leurs animaux. Il s’arrête toutefois au seuil de cette reconnaissance, pour une raison toute simple. De nos jours, la quasi-totalité des abattoirs relève de l’industrie de la viande. La vache, le cochon et la poule qui ont été élevés dans des conditions « champêtres » vont donc quand même subir, comme les animaux d’élevage industriel, une fin de vie horrible. Sans une réforme radicale des abattoirs, l’élevage traditionnel ne résout donc pas l’un des problèmes les plus criants de l’industrie de la viande.

Sachant que, en France, plus de 90 % de la viande consommée provient des élevages industriels, il faudrait également que les carnivores diminuent drastiquement leur consommation s’ils ne veulent plus entretenir cette industrie. Par sa nature artisanale, l’élevage traditionnel ne pourra en effet jamais répondre à un désir quotidien de manger de la viande. Tant qu’un quasi-végétarisme (un repas de viande par semaine environ) n’est pas instauré et que les abattoirs ne sont pas réformés, les consommateurs de viande seront donc toujours complices d’une industrie qui inflige des souffrances effroyables aux animaux.


La question du végétarisme


Reste la question de la mise à mort. Si une vache a passé de belles années dans un pré, pourquoi n’aurait-on pas le droit de la tuer de manière relativement douce pour s’en nourrir ? On pourrait avancer que manger de la viande est naturel, au sens où l’être humain l’a toujours fait et où les autres animaux le font aussi. Que l’on soit ou non végétarien, il est toutefois facile de comprendre que cette justification ne tient pas la route. D’abord, l’ancienneté d’une pratique ne lui apporte aucune légitimité. Par exemple, l’esclavage a duré des millénaires ; ce n’est pas pour autant qu’il faut le perpétuer. Ensuite, si les lions mangent bien les gazelles, les mâles peuvent aussi tuer les lionceaux qui ne sont pas les leurs. Quel carnivore trouverait légitime de prendre modèle sur cette pratique ? Peu, on imagine. Alors ? Comment justifier que l’on puisse tuer des animaux pour les manger ?

Les végétariens éthiques, c’est-à-dire ceux qui ne le sont pas pour des raisons diététiques ou religieuses, partent du principe qu’il ne faut pas faire souffrir les animaux quand ce n’est pas nécessaire (8). Or tuer des bêtes, même s’il était possible de recourir à des procédés indolores, reviendrait à leur faire du mal sans nécessité. Ce n’est pas la mise à mort en tant que telle qui pose problème aux végétariens éthiques. Tuer en douceur une vache en fin de vie serait envisageable, suggèrent-ils, si cela permettait d’abréger ses souffrances, par exemple. Mais envoyer à l’abattoir, comme le font même les éleveurs traditionnels, des animaux alors qu’ils sont encore très jeunes, c’est les priver sans nécessité d’une vie dont, en tant qu’individus, ils auraient pu jouir pleinement.


Le mangeur de viande peut-il être éthique ?


Dans son livre Apologie du carnivore (Fayard, 2011), Dominique Lestel s’en prend à cette volonté des végétariens éthiques de ne pas faire souffrir sans nécessité. Ce philosophe commence par reconnaître « que les justifications habituellement données du régime carnivore sont (…) plutôt inconsistantes ». Mais il pense pouvoir enfin justifier un tel régime en affirmant qu’un « homme qui n’infligerait plus aucune souffrance à un autre être vivant ne serait tout simplement plus un homme, ni même un animal, car un principe fondamental de l’animalité est précisément de souffrir et de faire souffrir ». Très en verve sur ce sujet, il écrit aussi que « la vie repose sur une forme de cruauté qu’il n’est ni possible ni souhaitable d’éradiquer ». Il en conclut qu’il faut assumer sans honte d’être un carnivore.

Aux yeux de D. Lestel, cette cruauté assumée n’implique pas qu’il faille manger de la viande n’importe comment. Il faut au contraire devenir un « carnivore éthique ». Cela veut dire au moins deux choses. Premièrement, il faut que la mise à mort entraîne chez l’animal le minimum de souffrance possible. D’où une condamnation sans appel de l’industrie de la viande de la part de D. Lestel. Deuxièmement, manger de la viande doit être vécu comme une dépendance vis-à-vis des animaux. Il faudrait d’ailleurs les remercier par une sorte de rituel. Le carnivore éthique serait ainsi ce mangeur de viande qui considère qu’il ne dispose pas d’un statut d’exception dans la sphère de l’animalité et qu’il a une dette vis-à-vis des animaux. Du coup, il devrait même accepter un jour de se faire manger.

Si l’on en juge par la critique cinglante que lui a adressée le végétarien Pierre Sigler, cette rare défense du régime carné apparaît problématique (9). Exemples de quelques mises au point. D. Lestel accuse les végétariens d’avoir le désir absurde de supprimer la souffrance dans le monde. C’est faux, rétorque P. Sigler, les végétariens veulent simplement ne pas faire souffrir sans nécessité les animaux. D. Lestel affirme que la seule façon de reconnaître son animalité est de manger de la viande. C’est stupide, répond P. Sigler, on peut faire l’amour. D. Lestel considère que manger de la viande marque notre dépendance vis-à-vis des animaux. C’est une escroquerie, s’indigne P. Sigler, il n’y a aucune dépendance puisque tout être humain qui a accès a des protéines végétales peut se passer de viande. Enfin, D. Lestel se dit prêt à donner son corps à manger, mais bien sûr uniquement quand il sera mort. Exaspéré, P. Sigler rappelle que les animaux n’ont pas cette chance d’avoir une vie pleine avant de se faire occire.


La question du spécisme


S’il y a une telle incompréhension entre les carnivores et les végétariens éthiques, c’est que, à la différence des seconds, les premiers estiment que l’on peut tuer les animaux parce que ce ne sont que des animaux. Cette justification relève de ce qu’on appelle le « spécisme ». Ce mot est formé par analogie avec « racisme » et « sexisme », qui désignent une discrimination injustifiée selon la race ou le sexe. Est raciste, par exemple, celui qui estime que l’on peut mettre les Noirs en esclavage pour la simple raison qu’ils sont Noirs. De la même manière, être spéciste, c’est assigner différentes valeurs ou droits à des êtres sur la seule base de leur appartenance à une espèce, et non pas en fonction de leurs intérêts propres. Par exemple, vous êtes spéciste si vous vous offusquez que l’on mange du chat, mais pas du cochon. En revanche, vous êtes antispéciste si vous prenez en compte l’intérêt des animaux indépendamment de l’espèce à laquelle ils appartiennent.

La très grande majorité des végétariens éthiques sont antispécistes. Ils récusent l’idée d’accorder des considérations morales de façon arbitraire à telle espèce et pas à telle autre. Or le statut moral des animaux se pose parce que, à la différence des légumes ou des pierres, ce sont des êtres sensibles capables de souffrir. Du coup, contrairement à ce dont on l’accuse parfois, cet antispécisme n’incite pas à accorder aux animaux les mêmes droits qu’aux êtres humains. Qui voudrait en effet donner aux vaches le droit à l’éducation ? Mais il incite à prendre en compte cette capacité des animaux (êtres humains compris) à souffrir, notamment en agissant, dans la mesure du possible, de façon à ce qu’ils ne souffrent pas sans nécessité. Les antispécistes soulignent d’ailleurs que tout le monde trouvera monstrueux, par exemple, que l’on crève l’œil d’un chat juste pour s’amuser. Pourquoi alors, se demandent-ils, ne pas aussi condamner les souffrances infligées aux animaux que l’on mange ? Sur ce point, ils n’attendent pas une condamnation partielle qui s’accommoderait d’améliorations des conditions dans lesquelles vivent ces animaux. Ce serait, à leurs yeux, comme si on cherchait à améliorer les conditions des esclaves sans remettre en cause l’esclavage. Selon eux, la seule position cohérente est d’arrêter de tuer les animaux pour les manger.


Le carnivore comme le violeur ?


Bien sûr, les carnivores résistent à une telle argumentation. Ils disent que la souffrance infligée aux animaux n’est pas inutile. Elle sert à leur apporter, à eux les carnivores, du plaisir. D. Lestel reproche ainsi aux végétariens éthiques de prétendre lutter contre la souffrance et pourtant de vouloir faire souffrir les carnivores en les privant de viande. Dans sa critique de D. Lestel, P. Sigler cherche à montrer l’absurdité de ce raisonnement en le transposant au cas du viol. Voici ce que cela donne : il existe une loi qui punit le viol parce qu’un tel acte fait souffrir celles et ceux qui en sont victimes ; mais ce faisant, cette loi impose aux violeurs potentiels d’immenses frustrations ; par conséquent, en voulant éviter que des personnes souffrent en étant violées, cette loi en fait souffrir d’autres ; ce qui montre bien qu’il n’est pas juste de vouloir interdire le viol pour diminuer la souffrance de ses victimes !

À leur décharge, il faut reconnaître que les carnivores qui acceptent que des animaux soient tués pour leur plaisir ne font qu’adopter la position schizophrène de notre société, comme le souligne parfaitement la juriste Marcela Iacub dans ses Confessions d’une mangeuse de viande (Fayard, 2011). Dans ce livre, elle raconte comment, après avoir été très carnivore, elle a été conduite au végétarisme à la suite de trois « révélations ». Grâce à l’acquisition d’une chienne, elle s’est rendu compte que les animaux sont des individus sensibles, ayant des désirs et des intentions. Grâce à un texte de Plutarque, elle comprit qu’ils veulent vivre et nous supplient de ne pas les tuer. Enfin, grâce à une décision de justice, elle prit conscience de la complète incohérence de notre relation aux bêtes. Il se trouve en effet que, en 2007, un individu a été condamné pour avoir sodomisé son âne. Vu les spécificités anatomiques des ânes et des hommes, cet acte ne semble pas avoir causé de souffrance chez l’animal. La justice a néanmoins considéré que, en l’absence de consentement, c’était un viol qu’il fallait punir. Or cette même justice autorise cet individu, qui est le propriétaire de l’âne, à le faire écorcher pour le manger. M. Iacub n’avait jamais été frappée à ce point par l’absurdité qu’il y a, d’un côté, à accorder à juste titre des droits aux animaux puisque ce sont des êtres sensibles, et, d’un autre côté, à leur dénier le droit le plus élémentaire, celui de vivre. Ne pouvant plus accepter cette incohérence, elle ne vit pas d’autre option que de devenir végétarienne. Ce qui montre finalement qu’à travers la question du végétarisme se pose celle de notre cohérence. À méditer avant de passer à table…

MELANIE JOY

UN SUPERBE FILM AVEC PRÉSENTATION  DU LIEN PREMIER DE L' ENFANT ET DES ANIMAUX, PLUS CONFÉRENCE DE MELANIE JOY

ESPOIR????

Un ami m' a envoyé un lien hier. Il me dit dans son message que tout n' est pas perdu!!
 IL A RAISON, S'il y a une accélération au niveau de la maltraitance animale, il semble que si même les islamistes  se préoccupent de la souffrance liée à l' abattage rituel, on doit garder espoir.

LA SOURCE  ISLAMIC CONCERNS, à voir car c' est un prêche pour le végétarisme!


The beautiful religion of Islam has always viewed animals as a special part of God's creation. The Qur'an, the Hadith, and the history of Islamic civilization offer many examples of kindness, mercy, and compassion for animals.

Thanks to Westernized factory-farming methods that are used in many parts of the world, animals suffer hideously in the industries that kill them to produce meat, milk, and eggs. These products not only bring pain and suffering to the animals themselves, they are also implicated in a variety of human diseases, including cancer, heart disease, obesity, high blood pressure, and diabetes. The intensive production of animals for food is also extremely damaging to the environment.

lundi 26 novembre 2012

MOBILISATION

SOURCE
 SURVEILLEZ LES ANNONCES DE MOBILISATION SUR L214 FACEBOOK.
 IL FAUT ABSOLUMENT EMPECHER CE PROJET DE SE RÉALISER!!!!

Le ministère de l'Écologie a proposé trois scénarios pour la «ferme des 1000 vaches» dans la Somme, suggérant qu'il n'est pas opposé au développement de fermes laitières géantes en France.


Plus d'un an après le début de l'enquête publique, le suspense n'en finit plus. Personne ne sait sous quelle forme et quand le projet des 1000 vaches pourrait bien voir le jour.
En coulisses, les négociations sont âpres. Ni le porteur du projet, Michel Welter, ni le sous-préfet d'Abbeville, Philippe Dieudonné, ni les services de la DGPR, la Direction générale de la prévention des risques, affiliée au ministère de l'Écologie, ne peuvent aujourd'hui prédire l'issue de ce dossier brûlant.
Le 6 novembre dernier, représentants de l'État et porteurs de projet se sont rencontrés autour d'une même table. Un nouveau round de négociation durant lequel des recommandations nouvelles du ministère de l'Écologie ont été présentées.
Selon une source proche du dossier, le Ministère aurait proposé trois scénarios pour que le «projet des 1000 vaches» puisse voir le jour:
- un atelier de 1000 vaches laitières sans unité de méthanisation.
- une unité de méthanisation sans atelier de vaches laitières.
- un atelier de 500 vaches laitières avec unité de méthanisation.
Le Ministère souhaiterait que le «projet des 1000 vaches» se conforme à l'un de ces scénarios. Et le préfet de la Somme, Jean-François Cordet, serait prié de trouver un accord en ce sens, avant de signer l'arrêté préfectoral sans lequel la «ferme des 1000 vaches» ne peut voir le jour.
Les deux premiers scénarios ont vraisemblablement été écartés, mais ils éclairent la position actuelle du gouvernement sur l'avenir de la filière laitière. En proposant à Michel Ramery de construire une ferme de 1000 vaches laitières simplement amputée de son unité de méthanisation, le ministère de l'Écologie suggère qu'il n'est pas opposé sur le fond au développement d'une exploitation laitière industrielle de très grande taille en France.
Si aucune loi ne limite aujourd'hui la taille d'un troupeau laitier en France, l'apparition d'un tel projet marquerait une réelle rupture dans le paysage de l'élevage laitier. Certes, le nombre d'exploitations de plus de 80 vaches explose en Picardie ces dernières années (+120% entre 2000 et 2010). Mais la taille moyenne du troupeau d'une exploitation laitière était encore de 57 vaches en 2010. De 50 à 1000, il y a un monde.
Du côté des opposants au projet, comme la députée EELV, Barbara Pompili, aucun des scénarios proposés par le Ministère ne convient: «500 ou 1000 vaches, je suis pour que cela ne se fasse pas. Nous préférons de petites exploitations où les vaches ont accès au pâturage».
Une opposition sur la forme
Que faut-il retirer des trois propositions faites par le ministère de l'Écologie? Une source proche du dossier explique que le ministère de Delphine Batho souhaite que «les surfaces épandables soient en adéquation avec la taille du projet».
En effet, légalement, les agriculteurs doivent justifier d'une surface de terres agricoles destinée à recevoir les déjections des animaux (sous forme de lisier, fumier, compost ou digestat de méthaniseur). Cette surface doit être proportionnelle à la taille du troupeau.
Mais le «projet des 1000 vaches», tel que présenté lors de l'enquête publique, consiste à rassembler progressivement, sur cinq ans, les troupeaux d'agriculteurs de la région qui souhaitent arrêter l'élevage laitier. 200 vaches la première année, 300 la deuxième. Puis 500, 750 et 1000 la dernière année.
L'ampleur du projet empêche Michel Welter, le porteur de projet, de fournir, dès l'entame du chantier, un plan d'épandage pour 1000 vaches laitières. Il s'en expliquait dans le dossier d'enquête publique.
Un des obstacles mis en avant était le suivant: les fermes qui confieront leur troupeau à Michel Ramery, dans plusieurs années, ne souhaitent pas entrer, dès aujourd'hui, dans le plan d'épandage de la «ferme des 1000 vaches».
Bref, le plan d'épandage présenté pendant l'enquête publique par Michel Welter devait être amené à évoluer avec l'augmentation progressive du troupeau. Dans un premier temps, il estime avoir été entendu par l'administration locale.
«En région, ils ont dit que c'était original mais pas illégal», explique Michel Welter. «Je les remercie, ils ont été très impliqués, très à l'écoute. D'ailleurs si c'est passé au Coderst, c'est bien légal».
Jusqu'au printemps dernier, le projet semblait donc sur de bons rails.
En avril, le Conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (Coderst) de la Somme avait émis un avis positif sur le projet. Et l'instruction du Préfet de la Somme semblait alors se diriger vers un «oui, mais», conditionné à de nombreux contrôles sur le plan d'épandage durant toute la durée de «montée en puissance» de la ferme.
«C'est politique, quoi qu'en dise le Ministère.»
Mais en mai dernier, après le changement de gouvernement, le ministère de l'Écologie a repris le dossier en main, suite aux alertes lancées par de nombreux élus écologistes, parmi lesquels José Bové dont les critiques virulentes portaient sur le fond du projet.
Mais au travers de ses dernières recommandations, le ministère de l'Écologie ne semble finalement pas s'opposer frontalement au projet. Il semble tout juste remettre en cause, sans l'exprimer officiellement, les avis précédemment émis par l'administration départementale sur le plan d'épandage.
Une opposition sur la forme et non sur le fond. Et un revirement de la position de l'État que Michel Welter ne digère pas: «Pourquoi les instances locales ont-elles dit oui, et Paris dit aujourd'hui non? Pourquoi ne pas avoir retoqué le projet tout de suite? C'est politique, quoiqu'en dise le Ministère. Nous avons toujours dit que nous n'avions pas le plan d'épandage».
Malheureusement pour les opposants aux «1000 vaches», le projet de Michel Ramery a déjà franchi de nombreuses barrières administratives. Intervenu trop tardivement sur le dossier, le ministère de l'Écologie du nouveau gouvernement socialiste peut difficilement empêcher le projet d'aboutir, au risque de voir Michel Ramery se retourner contre lui, en justice.
Les deux parties semblent donc condamnées à négocier, à trouver un compromis.
500 vaches ? Hors de question pour le porteur de projet
Selon des sources proches du dossier, les négociations portent aujourd'hui sur une réduction du projet à un cheptel 500 vaches laitières, tout de même adossé à une unité de méthanisation.
Mais le porteur de projet est farouchement contre. «Et pourquoi pas 283 vaches? Pourquoi pas 2000? Ce n'est pas une négociation de marchands de tapis», tempête Michel Welter. «Et bientôt on va me reprocher de ne pas me contenter de 500 vaches. Si j'accepte de faire un projet à 500 vaches, cela veut dire que tout ce que je racontais dans le dossier d'enquête publique n'était que du flan. Il y a une réalité économique derrière ce projet. Avec 500 vaches, on foncerait dans le mur.»
Une position qui n'a pas changé depuis le début de l'enquête publique, il y a plus d'un an.
Interviewé dans le journal Horizons, un journal agricole du Nord-Pas de Calais, en novembre 2011, Michel Welter expliquait pourquoi ce projet initialement prévu pour 500 vaches avait été rapidement redimensionné à 1000 vaches. «[Avec Michel Ramery, ndlr], nous avons visité des fermes chez nos voisins européens. Nous sommes allés en Italie, en Hollande, en Allemagne. Tous nous ont dit: votre projet à 500 vaches, c'est une bonne idée, mais c'est la pire. Nous n'avions raisonné qu'économie et gestion du troupeau, mais nous n'avions pas mesuré que le vrai problème c'est la gestion des hommes.»
L'agriculteur explique les difficultés de management que rencontrent les exploitations dont le troupeau est compris entre 200 et 500 vaches, et l'avantage que représentait un projet de 1000 vaches. «Au delà de 500 vaches, vous êtes sur des gros volumes de salariat. Vous spécialisez les hommes. (...) nous sommes rentrés de ce voyage en Allemagne, nous avons pris notre papier et notre crayon. Les vaches ne nous inquiétaient pas. 200 ou 800 vaches, c'est la même chose en terme de confort des animaux, mais pas pour la main d'oeuvre. À 800 vaches, nous avons trouvé un système: trois ou quatre chefs d'équipe, une dizaine de personnes salariées. Nous sommes montés à 1000 vaches pour amortir l'installation de traite. Dilution des charges de structures. Le reste, c'est de la fantasmagorie.»
En déclarant dans le Courrier picard, le 27 octobre dernier, «si le projet est limité à 500 vaches, j'arrête tout», Michel Welter a adressé un message clair au ministère de l'Écologie et à la Préfecture. Pour lui, c'est «1000 vaches avec unité de méthanisation» ou rien. «À l'heure actuelle, j'attends une proposition de la préfecture, explique-t-il. Nous pouvons la refuser ou l'accepter. On verra ce qu'il y a dedans.» Cela tombe bien: le sous-préfet d'Abbeville souhaite que les négociations se concluent au plus vite.

VIVISECTION PETITION A SIGNER

NOUVELLE PÉTITION CHEZ
MES OPINONS POUR ABOLIR LA VIVISECTION

CAMPAGNE POUR SAUVER LES COCHONS

Je pense que tout comme moi vous recevez les messages de PMAF, mais au cas ou celui-ci ne vous serait pas parvenu, vous pouvez le consulter  ICI

dimanche 25 novembre 2012

PÉTITION CONTRE LES OEUFS EN BATTERIE

SUR  BOYCOTCOT.BE
MERCI LES BELGES!!!

DISCOURS DE MAXIME GINOLIN, HIER


 50 millions d' animaux morts pour rien. PAR AN!!!
QU' EST DEVENU L' HUMAIN????
 En plus ce sont souvent les femmes les plus laides qui portent ce crime sur leur conscience . qUE CROIENT ELLES GAGNER?? QUE MéRITENT ELLES?? SEULEMENT NOTRE DEGOUT ET NOTRE MÉPRIS!!

 LE SITE
MARCHONS CONTRE LA FOURURE

CONTRE LA FOURURE, hier

UNE BELLE MARCHE
ILS ONT DE QUOI ETRE FIERS.

FOIE GRAS, SUISSE

SOURCE
 GAVAGE INTERDIT EN SUISSE!!!
 ET NOUS C' EST POUR QUAND??

Samedi, une quinzaine de personnes soutenant la campagne pour une Migros sans foie gras sont entrées à 15h au Métropole Centre de Lausanne vêtus de T-shirts dénonçant la vente de ce produit issu de la maltraitance animale.
A 15h précises, une quinzaine de personnes sont entrées dans le magasin vêtus de T-shirts qui révélaient les horreurs du gavage que subissent les canards. Ils se sont mis en ligne pendant un moment vers le rayon qui contenait le foie gras et se sont ensuite promenés partout dans le magasin.
Certaines personnes ont été très choquées d'apprendre que la Migros vendait des produits issus d'une telle maltraitance animale. L'association pour une Migros sans foie gras rappelle que le gavage des canards et des oies est interdit en Suisse et par les législations nationales de presque tous les pays européens (Allemagne, Autriche, Danemark, Finlande, Irlande, Italie, Royaume-Uni, Pays-bas, République tchèque, Pologne, Norvège, Suède).
Il est également interdit par la directive 98/95/CE de l'Union Européenne qui stipule: «Aucun animal n'est alimenté ou abreuvé de telle sorte qu'il en résulte des souffrances ou des dommages inutiles.» Pourtant la France fait fi de cette législation. Une plainte a même récemment été déposée à l'encontre de la France pour irrespect de cette directive.

BRAVO ANIMAL DEFENDERS INTERNATIONAL!

SOURCE  24 NOVEMBRE EN ANGLETERRE
ENCORE UN VICIEUX!

Une éléphante a été maltraitée à coups de fourche par un employé d'un cirque britannique. Son propriétaire a été reconnu responsable des souffrances infligées au pachyderme.
Le propriétaire d'un cirque britannique a été reconnu responsable des souffrances infligées par un de ses employés envers une éléphante asiatique âgée de 58 ans et prénommée Anne, a indiqué une source judiciaire. L'employé donnait des coups de fourche à l'animal.
Le propriétaire du cirque, âgé de 69 ans, a été reconnu coupable de trois chefs d'accusation, dont ceux ne pas avoir empêché un valet d'écurie d'origine roumaine d'avoir battu régulièrement l'éléphante qui a été filmée enchaînée par terre et recevant des coups de fourche. Le patron du cirque a également omis de donner à l'animal les médicaments contre l'arthrite, maladie dont il souffrait.
L'homme a été placé en liberté conditionnelle pendant trois ans par le tribunal de Northampton, dans le centre de la Grande-Bretagne. Le juge a toutefois reconnu que le propriétaire n'avait pas infligé directement les souffrances endurées et qu'il s'était occupé d'animaux pendant toute sa carrière sans être l'objet de critiques.
"La vraie cruauté a été exercée derrière votre dos et sans que vous en ayez connaissance par votre valet que vous aviez chargé de s'occuper d'Anne", a estimé le juge dans ses attendus. La justice a cependant déclaré qu'il ne pourrait plus exercer son métier.
Avant de rendre son verdict, la cour avait visionné une vidéo tournée secrètement par le groupe de défense des droits des animaux "Animal Defenders International". Les images montraient l'éléphante frappée à coups de fourche plusieurs fois par l'employé l'année dernière. Depuis, Anne a été transférée dans un parc zoologique.
Source: ATS

samedi 24 novembre 2012

LES COULOIRS DE LA MORT

 Je consulte à nouveau quelques sites aujourd' hui, et sur celui-ci,  UN MONDE VEGAN  se trouve  entre autres liens intéressants, une liste de vidéos

VIDEOS

jeudi 22 novembre 2012

PAUL MC CARTNEY DIT NON A LA DINDE

 De Thanksgiving
 Et il a raison, projection de 67 millions de dindes condamnées pour les fêtes  de fin d'année sur les tables américains. UNE ORGIE DE PEU DE GOUT.
SOURCE


L'ancien Beatle Paul McCartney, célèbre végétarien, s'est associé à l'association de défense des animaux Peta pour appeler les Américains à dire "non" à la dinde de la fête de Thanksgiving jeudi, au cours de laquelle plus de 45 millions de volailles seront dégustées.
Le musicien britannique appelle à "dire, +non merci+ à la dinde" sur un T-shirt représentant le slogan et un dessin de la volaille, sur le site internet de l'association People for the Ethical Treatment of Animals (Peta).
Il appelle en même temps à dire "oui" à des "repas délicieux et sans cruauté exercée" sur les animaux, alors que le site donne des recettes végétariennes de fêtes.
Plus de 45 millions de dindes trôneront jeudi sur les tables familiales américaines -- et 22 millions à Noël -- pour cette fête très traditionnelle.
Il est de tradition aussi, depuis John Kennedy, que les présidents américains gracient une ou deux dindes à la veille de Thanksgiving.
Les volailles vont ensuite couler une retraite heureuse dans les jardins de Mount Vernon, la propriété du premier président américain George Washington, au sud de la capitale fédérale qui porte son nom


 PETA EN PROFITE POUR FAIRE DES RAPPELS SANITAIRES ET OFFRE  DES RECETTES DE REMPLACEMENT:
SOURCE


Pardon me, pilgrim! This Thanksgiving, how about ditching the dead bird? These beautiful, inquisitive, intelligent birds endure lives of suffering and painful deaths. Here are 10 good reasons to carve out a new tradition by flocking to vegetarian entrées, along with some scrumptious holiday cooking tips and recipes—thankfully, none of them require stuffing food up anyone's behind.
1. They're Begging Your Pardon
Turkeys are “smart animals with personality and character, and keen awareness of their surroundings,” Oregon State University poultry scientist Tom Savage says. Turkeys are social, playful birds who enjoy the company of others. They relish having their feathers stroked and like to chirp, cluck, and gobble along to their favorite tunes. Anyone who spends time with them at farm sanctuaries quickly learns that turkeys are as varied in personality as dogs and cats. The president “pardons” a turkey every year—can't you pardon one too? Learn more about turkeys.
2. Get Rid of Your Wattle
Turkey flesh is brimming with fat. Just one homemade patty of ground, cooked turkey meat contains a whopping 244 mg of cholesterol, and half of its calories come from fat. Research has shown that vegetarians are 50 percent less likely to develop heart disease, and they have 40 percent of the cancer rate of meat-eaters. Plus, meat-eaters are nine times more likely to be obese than vegans are. Learn more about animal products and your health.
3. Can You Spell ‘Pandemic’?
Experts are warning that a virulent new strain of bird flu could spread to human beings and kill millions of Americans. Current factory-farm conditions, in which turkeys are drugged up and bred to grow so quickly they can barely walk, are a prescription for disease outbreaks. Eating a turkey carcass contaminated with bird flu could kill you, and currently available drugs might not work. Cooking should kill the virus, but it could be left behind on cutting boards and utensils and spread through something else you're eating. Learn more about bird flu.
4. Recall Process Doesn't Fly
The U.S. government is the only government in the Western world that does not have the power to recall contaminated animal products. Instead, American consumers must trust the profit-hungry meat, dairy, and egg industries to decide when recalls are necessary. Dan Glickman, secretary of agriculture under President Bill Clinton, explained that this limit on the U.S. Department of Agriculture's (USDA) power to protect consumers from tainted animal products is “one of the biggest loopholes out there.” There are all sorts of killer bacteria found in turkey flesh, including salmonella and campylobacter. The Center for Science in the Public Interest found that 28 percent of fresh turkeys were contaminated with bacteria, primarily with campylobacter, for which the USDA does not even require testing. Learn more about meat contamination.
5. Let the Turkeys Give Thanks!
Let's face it: If you're eating a turkey, that's a corpse you've got there on the table, and if you don't eat it quickly enough, it will decompose. Is that really what we want as the centerpiece of a holiday meal: an animal's dead and decaying carcass? Thanksgiving is a time to take stock of our lives and give thanks for all that we have, so why not let the turkeys give thanks too? Learn more about what happens to turkeys on factory farms.
6. Want Stuffing With Your Supergerms?
Dosing turkeys with antibiotics to stimulate their growth and to keep them alive in filthy, disease-ridden conditions that would otherwise kill them poses even more risks for people who eat them. Leading health organizations—including the World Health Organization, the American Medical Association, and the American Public Health Association—have warned that by giving powerful drugs (via animal products) to humans who are not sick, the farmed-animal industry is creating possible long-term risks to human health and will spread antibiotic-resistant supergerms. That's why the use of drugs to promote growth in animals used for food has been banned for many years in Europe.
7. Without a Wing and a Prayer
On factory farms, turkeys live for months in sheds where they are packed so tightly that flapping a wing or stretching a leg is nearly impossible. They stand in waste, and urine and ammonia fumes burn their eyes and lungs. At the slaughterhouse, turkeys have their throats slit while they are still conscious. Those who miss the automated knife are scalded to death in the defeathering tank. Learn more about the cruelty endured by turkeys.
8. Foul Farming
Anyone who has driven by a farm has probably smelled it first from a mile away. Turkeys and other animals raised for food produce 130 times as much excrement as the entire U.S. human population—all without the benefit of waste treatment systems. There are no federal guidelines to regulate how factory farms treat, store, and dispose of the trillions of pounds of concentrated, untreated animal excrement that they produce each year. Learn more about how factory farming damages the environment.
9. Blood, Sweat, and Fear
Killing animals is inherently dangerous work, but the fast line speeds, the dirty, slippery killing floors, and the lack of training make animal-processing plants some of the most dangerous places to work in America today. The industry has refused to slow down the lines or buy appropriate safety gear because these changes could cut into companies’ bottom lines. In its 185-page exposé on worker exploitation by the farmed-animal industry, “Blood, Sweat, and Fear: Workers’ Rights in U.S. Meat and Poultry Plants,” Human Rights Watch explains, ‘These are not occasional lapses by employers paying insufficient attention to modern human resources management policies. These are systematic human rights violations embedded in meat and poultry industry employment.”
10. A Cornucopia of Turkey Alternatives
Give up the giblets and carve out a new tradition this Thanksgiving—Tofurky Roast, a savory soy- and wheat-based roasts with stuffing and gravy or oven-roasted, peppered, hickory-smoked, or cranberry- and stuffing-flavored Tofurky Deli Slices. Give animals and yourself something to be really thankful for this year: Order a free vegetarian starter kit full of tasty recipes and celebrity features today!

Fabulous Turkey-Free Thanksgiving Recipes

Cashew Nut Roast
Homemade Tofurky Loaf
Cider-Mashed Sweet Potatoes
Coconut Smashed Yams
Creamy Chive Mashed Potatoes
Green Bean Casserole
Pumpkin Pie


 ET UNE RECETTE DE PLUS QUE JE VIENS DE SÉLECTIONNER SUR YOUTUBE
PATATE DOUCE STYLE SUDISTE, POUR UN THANKSGIVING SANS  DINDE MAIS AVEC UN GOUT DE FETE


 

mercredi 21 novembre 2012

Suite en français  sur l' hécatombe d' animaux lors du tournage du film
 source
 :
Le Hobbit»: Les soigneurs des animaux du film racontent une hécatombe
Mis à jour le 20.11.12 à 08h36
Aucun animal n'a été maltraité pendant le tournage de Le Hobbit: un voyage inattendu, affirme l'American Humane Association, chargée de superviser le bien-être des animaux sur les plateaux de cinéma. Pendant le tournage, non. Mais les gardiens des chevaux, chèvres et autres poulets utilisés par Peter Jackson pour son long métrage dénoncent le décès de 27 animaux, victimes des dangers omniprésents sur le terrain de la ferme où ils étaient hébergés.
Matt Dravitzky, porte-parole du réalisateur Peter Jackson, a reconnu lundi que des chevaux, des chèvres, des poulets et un mouton étaient décédés dans la ferme, située près de la capitale Wellington, qui accueillait environ 150 animaux. Mais certains ont péri de mort naturelle, a-t-il ajouté, tout en admettant que le décès de deux chevaux aurait pu être évité. Selon lui, la production a décidé d'améliorer les conditions de vie des bêtes après cela.
Des soigneurs témoignent
Quatre soigneurs ont témoigné auprès de l'agence Associated Press des mauvaises conditions de vie subies par les animaux. La ferme dans laquelle ils étaient hébergés, racontent-ils, était totalement inadaptée: des barres rocheuses, des gouffres et des barrières cassées représentaient autant de «pièges mortels» pour les bêtes. Alertés à plusieurs reprises, les supérieurs hiérarchiques et les studios Warner Bros n'ont pas réagi, affirment les soigneurs.
Un soigneur se souvient avoir vu mourir trois chevaux, environ six chèvres, six moutons et une dizaine de poulets. Deux autres chevaux, blessés, ont survécu.
Démissions
Chris Langridge, un soigneur recruté pour s'occuper d'une cinquantaine de chevaux en novembre 2010, dit avoir été immédiatement inquiet de la configuration des lieux. L'homme a essayé de combler certains trous créés par des ruisseaux souterrains et apporté ses propres clôtures pour empêcher les quadripèdes de s'approcher des zones dangereuses. Mais la tâche s'est avérée insurmontable, reconnaît-il. Le premier équidé à mourir était un poney nain répondant au nom de Rainbow. «Quand je suis arrivé au travail le matin, le poney était toujours vivant mais son dos était cassé. Il était tombé d'un talus à pleine vitesse et s'était fait mal en retombant», raconte Chris Langridge. «Il était dans un sale état.» L'animal a dû être euthanasié.
Trois mois après son arrivée, Chris Langridge a démissionné, tout comme sa femme Lynn, elle aussi soigneuse. Le mois suivant, le couple a écrit à la directrice de production, Brigitte Yorke. Après une première demande de détails, Chris et Lynn Langridge n'ont plus obtenu de réponse.
Hécatombe
Johnny Smythe, arrivé peu après le départ de Chris Langridge, se souvient, lui, de la mort de Claire, une jument noyée dans un cours d'eau après être tombée d'une falaise. A la suite de cet accident, les chevaux ont été enfermés dans l'écurie. Sans que cela fasse cesser l'hécatombe. Un troisième cheval, Zeppelin, y a trouvé lui aussi la mort. Johnny Smythe raconte qu'aucune autopsie n'a été pratiquée. Selon le rapport vétérinaire, le décès est considéré comme ayant une cause naturelle. Mais le palefrenier se rappelle que l'animal était ballonné et que ses intestins étaient emplis de liquide jaune. Il pense que Zeppelin a succombé à des problèmes digestifs provoqués par les aliments pour bétail.
Selon ce soigneur, les moutons et les chèvres sont morts à cause de chutes dans des gouffres, d'infestation par des vers, ou de problèmes avec les aliments. Quant aux poulets, souvent laissés hors de leur enclos, une dizaine d'entre eux ont été tués par des chiens. Après une dispute avec son supérieur à propos des mauvais traitements infligés aux animaux, Johnny Smythe a été licencié en octobre 2011.
Des manifestations prévues aux premières du Hobbit
Le 28 novembre, Wellington accueillera avec faste la première mondiale du film Le Hobbit. L'association de défense des animaux PETA a prévenu qu'elle organiserait des manifestations, tout comme lors des premières américaine et britannique. L'American Humane Association, elle, reconnaît des failles dans son système de surveillance, qui s'occupe des conditions de tournage mais pas de l'hébergement des animaux.