dimanche 29 juin 2014

VIVRE ET LAISSER VIVRE, DU VEGETARISME AU VEGANISME

a voir et a partager ILS ONT POUSSE L' ELEVAGE A L' EXPTREME, ETRE VEGETARIEN NE SUFFIT PLUS HELAS.... IL FAUT DEVENIR VEGAN. HEUREUSEMENT LE BIG BUSINESS TOUJOURS EN ALERTE A COMPRIS LE NOUVEAU MARCHE ET LES PRODUITS VEGAN COMMENCENT A FACILITER LE PASSAGE DE L' UN A L' AUTRE

RAPPEL DES CRUAUTES DU FOIE GRAS.....

LA VIDEO OUVRES SUR UNE BELLE IMAGE DE JOLIS CANETONS... ET L' HORREUR COMMENCE ILS SONT DANS UNE POUBELLE.... CONSIDERES COMME DES DECHETS

FARM SANCTUARY

LA CREATION DE CE REFUGE POUR ANIMAUX DE FERME RACONTEE EN QUELQUES MOTS ET IMAGES..

UNE AUTRE OPINION SUR LES OEUFS ET LE CHOLESTEROL

D' APRES CE RAPPORT L' OEUF PERMET DE LUTTER CONTRE LE CHOLESTEROL, INTERESSANT... BIEN SUR AVOIR QUELQUES POULES DANS SON JARDIN EST LA MEILLEURE MANIERE DE MANGER DESE OEUFS DE QUALITE ET D' EPARGNER LES POUSSINS....

BROYAGE DES POUSSINS

ET EN PARALLÈLE ET EN RAPPEL.......VOILA CE QUE NOUS FAISONS DES POUSSINS LES ÊTRES HUMAINS N' ONT AUCUN RESPECT POUR LA VIE

UNE CHATTE VRAIMENT CRAQUANTE

LA VIDEO LA PLUS ADORABLE QUI CIRCULE SUR INTERNET CES DERNIERS JOURS.. VRAIMENT CETTE MAMAN CHAT A UN INSTINCT MATERNEL QUE DE NOMBREUX HUMAINS N' ONT PLUS.

FERME DE 10 000 COCHONS PLUS D' INFOS 25000 BETES SACRIFIEES PAR .AN


  JE LES HAIS!!


SOURCE



Si l’Allemagne est souvent citée en exemple, elle ne l’est pas dans tous les domaines. À preuve, son dumping dans l’industrie du porc. Avec des méthodes propres à dégoûter tout citoyen de consommer des cochonnailles.
Une brise froide balaie ce matin-là les rues de la paisible bourgade de Alt-Tellin (Mecklenbourg). Une quarantaine d’hommes et de femmes se réunissent tous les premiers lundis du mois pour le même combat. « Stop aux usines d’animaux » résume un de leurs slogans.
Pharaonique
En question, à la porte de leurs propres (petites) exploitations, le projet d’un élevage « pharaonique » de 10 000 porcs, avec un roulement annuel de 250 000 bêtes.
L’investisseur hollandais, Adrian Straathof, n’en est pas à un coup d’essai.
Il a développé des élevages de taille analogue dans quatre autres Länder de l’ancienne Allemagne de l’est, riches en bonne terre et dépourvues d’industries importantes.
Troisième au monde
Les industriels allemands n’ont pas tardé à emboîter le pas avec des installations pour plusieurs milliers de porcs, entièrement automatisées et, trop souvent, sans égard pour les traitements infligés au bétail.
Car en l’espace de deux décennies, l’Allemagne s’est affirmée comme le troisième plus grand producteur de porcs au monde (après la Chine et les Etats Unis), en tout cas le tout premier en Europe.
Soixante millions
Soixante millions d’animaux découpés chaque année, 645 000 tonnes de produits de charcuterie exportés et des ventes dans le monde passées de 167 millions de $ en 1993 à 1,57 milliards en 2011.
Cette redoutable efficacité trouve sa force, entre autres, dans l’évidente industrialisation de la production, la réduction des coûts et une main d’œuvre aux salaires horaires, qui peuvent descendre jusqu’à 3 €, merci aux voisins roumains, hongrois, polonais.
Végétariens
Mais ce dynamisme n’a pas tardé à scandaliser une opinion publique, depuis longtemps sensible au sort des animaux, au point que le nombre des végétariens, en progression constante, avoisine les 10 % d’ « adeptes ».
Cité par Le Point, le réputé hebdomadaire « Der Spiegel » a enquêté récemment sur ces « camps de concentration » de l’élevage porcin moderne, disséquant l’harassante et courte vie des animaux.
400 gr/jour
Les vingt millions de mâles qui voient le jour chaque année sont castrés sans anesthésie, ce qui évite d’altérer le goût futur de la viande. Les animaux sont ensuite nourris dans des enclos durant six à huit semaines, afin de les faire grossir de 400 gr par jour.
Certains prennent jusqu’à 850 gr au quotidien, une surcharge excessive qui entraîne de nombreuses fractures. Au demeurant, pour contrer la dissémination dans des bâtiments regroupant deux mille bêtes, le recours aux médicaments, surtout des antibiotiques, va bon train.
Antibiotiques à gogo
Fortement sollicités, les vétérinaires en administrent 1 734 tonnes chaque année, les porcelets recevant des soins de façon préventive dès la naissance et pour les adultes, des traitements jusqu’à soixante jours de suite.
L’épandage des 1,53 m3 d’urine et de matière fécale produit par chaque porc semble également géré à la va-que-je-te-pousse. Disséminé sur les terres agricoles, le lisier pollue les terres agricoles et s’infiltre dans les nappes phréatiques.
Direction poubelle
Trop, c’est trop. Des dizaines de milliers de citoyens, rameutés par les associations, dont « Animal Rights Watch (ARIWA) », défilent dans les grandes capitales régionales, certains déguisés en gentils porcelets, scandant« On n’en peut plus ».
Révoltés par ces usines charcutières et leurs conséquences environnementales, médicales ou purement éthiques – en plus de la disparition accélérée de petits élevages. Et soulignent qu’un tiers des produits, issus du cochon, finit à la poubelle.
Article complet sur Reporterre via Blogapares

samedi 28 juin 2014

OUVRIR SON REFUGE POUR ANIMAUX, OUI C' EST POSSIBLE IL SUFFIT DE VOULOIR!!!

SOURCE ET SUITE L214

De l’élevage de chèvres à la fondation d’un sanctuaire pour animaux

Par Cheri Ezell-Vandersluis, co-fondatrice du Maple Farm Sanctuary
  Laissez-moi tout d’abord vous dire que j’ai toujours aimé les animaux, mais que j’ai grandi dans une société qui les traite comme des possessions, des biens – le monde du steak-frites. J’ignorais totalement que la chair que je consommais provenait de vaches aux grands yeux et d’innocents poulets plein de plumes. Et quand je me suis rendu compte que je voulais travailler avec les animaux, cela m’a pris du temps et plusieurs leçons de vie avant de trouver un travail qui leur soit réellement favorable.
  Ma première prise de conscience arriva alors que j’étais employée par un fabricant pharmaceutique, à la fois comme technicienne en histologie (études des tissus biologiques, ndlr) et comme – tenez-vous bien – technicienne de salle d’autopsie. On m’assura que cette recherche était bénéfique pour l’humanité, et le meurtre des animaux était appelé « sacrifice ». Dans le registre dans lequel nous inscrivions les résultats des autopsies, on ne tuait personne, on « sacrifiait des numéros ».
 
Je me souviens, peu après avoir commencé ce job, aller à l’endroit où on encageait les chiens – de mignons petits beagles –, où on leur administrait systématiquement des composés tels que des accélérateurs de croissance, des antibiotiques, de la dopamine, et une multitude d’autres substances encore. Je leur parlais, les caressais à travers les barreaux des cages, tout en regardant dans leurs yeux pleins de confiance. Je ne le fis que quelques jours avant d’être prise et réprimandée pour ce comportement. On m’expliqua que les animaux de tests ne devaient avoir aucun contact humain autre que ceux destinés à les nourrir, les nettoyer, les examiner et leur administrer divers composés car tout témoignage d’affection provoquerait chez l’animal une volonté de vivre et affecterait négativement leur réaction aux substances testées. J’essayai de vivre avec cette justification pendant à peu près quatre ans avant de démissionner. Ma vie de découverte avait commencé.
  Mon emploi suivant fut dans un aquarium. Et alors que nous étions beaucoup à adorer les animaux et à prendre soin d’eux, nous travaillions pour des gens qui les exploitaient pour s’en mettre plein les poches. Mon poste consistait à nourrir et à surveiller l’état de santé des milliers de poissons et des quelques mammifères marins, à m’assurer de la qualité de l’eau, à aider le personnel à s’occuper des mammifères et à les assister dans les autopsies.
Quand l’aquarium reçut quatre dauphins, je me sentis privilégiée de pouvoir nager avec eux durant leur ajustement à la captivité. Mais un mauvais jugement de la part du management ruina cette vision. Un bassin annexe, séparé du bassin principal, était divisé en quatre sections. Ces sections étaient utilisées pour maintenir les dauphins séparés, une forme de punition pour ne pas avoir réalisé correctement un numéro devant les clients spectateurs. Tandis que chaque section était entourée d’une tuyauterie en métal, elles étaient séparées l’une de l’autre par du filet en nylon. Les dresseurs essayèrent d’avertir le management qu’un accident finirait par se produire, mais ils ne furent pas écoutés.
 
Un matin très tôt, j’entendis les cris aigus des dauphins. On ne parle peut-être pas le même langage, mais l’angoisse, la tristesse et la frustration sont facilement traduisibles. Un des dauphins mâles s’était pris le nez dans le filet et, en essayant de se libérer, il l’avait emmêlé davantage et était resté coincé sous la surface de l’eau. Dans la nature, si un dauphin est malade ou blessé, les autres lui viennent en aide et le poussent à la surface pour qu’il puisse respirer. Dans cette situation de captivité, les autres dauphins avaient seulement pu regarder leur compagnon se noyer lentement.
Un de mes collègues et moi plongeâmes avec un couteau en espérant couper les mailles du filet, mais elles s’étaient tellement resserrées autour du nez du dauphin que l’on ne put l’en défaire. Nous ne pûmes que découper le filet tout autour et ramener à la surface son corps sans vie. Peu après, le dauphin fut remplacé par un autre capturé en mer, le filet fut remplacé par un grillage métallique, et le spectacle continua.
Je quittai l’aquarium par la suite et passai un peu de temps chez un graphiste avant de décider que j’allais devenir éleveuse de chèvres. Je rencontrai d’ailleurs mon mari, Jim, en récupérant des chèvres pour mon élevage. Il vendait ses vaches laitières et se préparait à élever des génisses de remplacement. Nous devînmes inséparables.
  Un jour, j’entrai dans la grange pendant qu’il était à la traite et remarquai une génisse manifestement malade. Quand je lui demandai ce qui lui arriverait, il me répondit que malgré la maladie, la génisse serait vendue à un marchand de bétail puis revendue pour sa viande. À l’époque, j’avais un peu d’argent de côté et je le suppliai de me laisser m’occuper de la génisse malade. Il accepta à contrecœur. J’emmenai la génisse à la clinique vétérinaire de Tufts, où le vétérinaire commença à la transfuser et à lui donner des antibiotiques. Il me dit que si je l’avais laissée sans soins un jour de plus, elle serait morte. Quand elle fut remise, je la ramenai à la ferme où elle devint finalement une vache laitière.
 

jeudi 26 juin 2014

L' HIVER A ETE LONG, PREMIER RETOUR DANS LES CHAMPS

EMMA NOUS NE POUVONS PLUS RIEN POUR ELLE



MAIS NOUS POUVONS AIDER FINANCIÈREMENT POUR QUE D' AUTRES SOIENT ÉPARGNÉS.

 VOUS POUVEZ M' APPELER PETE, CE N' EST PAS MON VRAI NOM, MAIS JE DOIS GARDER MON VRAI NOM SECRET POUR DES RAISONS DE SÉCURITÉ.
JE SUIS TÉMOIN DE LA CRUAUTÉ  QUE JE FILME EN CAMÉRA CACHÉE POUR MERCY FOR ANIMALS, JE  FILME ET SUIS TÉMOIN DE LA CRUAUTÉ DE MANIÈRE A MONTRER CES CAS DE CRUAUTÉ, CES ABUS CHOQUANTS ET VIOLENTS EXTRÊMES.
 DURANT CHAQUE INVESTIGATION J' AI VU DES ANIMAUX QUI DEPUIS HANTENT MA MÉMOIRE  DANS LE MISSISSIPPI  C' ETAIT EMMA.
 EMMA ÉTAIT UNE GÉNISSE BLANCHE  QUI ÉTAIT ARRIVÉE A LA VENTE AUX ENCHÈRES SI MALADE QU' IL NE POUVAIT PAS MÊME SE TENIR DEBOUT. LES EMPLOYÉS L' ONT TRAÎNEE DANS UN ENCLOS, NE LUI DONNANT PAS MÊME DE L' EAU  OU DE LA NOURRITURE POUR UNE JOURNÉE ENTIÈRE, ELLE ÉTAIT SI DOUCE ET TENDRE, ET SI EFFRAYÉE. LA TERREUR POUVAIT SE LIRE DANS SES YEUX .......ILS L' ONT CHARGÉE SUR UNE GRUE DONT ELLE EST TOMBÉE 4 FOIS DE SUITE AGGRAVANT SES BLESSURES AVANT D' ÊTRE MONTEE  SUR LE CAMION .





You can call me "Pete."
That’s not my real name, but I have to keep my real name a secret for my own safety.
I am an undercover investigator for Mercy For Animals. I bear witness to horrific cruelty in order to bring it to light. I’ve worked several cases for Mercy For Animals, exposing some of the most shocking abuse and violence you can imagine.
During each investigation, I meet animals who haunt my memory. At Pontotoc Stockyard in Mississippi, it was Emma.
Emma was a white calf who arrived at the auction so sick that she couldn’t even stand up. Workers dragged her into a holding pen and left her there without food or water for the entire day.
Emma seemed so sweet and gentle — and so frightened.
You could see the terror in her eyes. I couldn’t stand that she was just abandoned there without any care or comfort.
At the end of the day, a man bought Emma at a discounted price and workers used a forklift to carry her weak and broken body to the man’s truck. They dropped her from the forklift four times while moving her to the truck, each time injuring her even worse.
It still hurts me to think about Emma. She was never treated with an ounce of kindness during her short time on this earth. But because of my investigation, Emma’s abusers have now been charged with criminal cruelty to animals.
They are now facing justice for the abuse they subjected her to.
Please stand with me and support MFA’s undercover investigations by making a gift today. I can’t do this work without you.

lundi 23 juin 2014

ALLEMAGNE L' HORREUR DE LA FERME DES 10 000 COCHONS

SOURCE

Si l’Allemagne est souvent citée en exemple, elle ne l’est pas dans tous les domaines. À preuve, son dumping dans l’industrie du porc. Avec des méthodes propres à dégoûter tout citoyen de consommer des cochonnailles.

Une brise froide balaie ce matin-là les rues de la paisible bourgade de Alt-Tellin (Mecklenbourg). Une quarantaine d’hommes et de femmes se réunissent tous les premiers lundis du mois pour le même combat. « Stop aux usines d’animaux » résume un de leurs slogans.
Pharaonique
En question, à la porte de leurs propres (petites) exploitations, le projet d’un élevage « pharaonique » de 10 000 porcs, avec un roulement annuel de 250 000 bêtes.
L’investisseur hollandais, Adrian Straathof, n’en est pas à un coup d’essai.
Il a développé des élevages de taille analogue dans quatre autres Länder de l’ancienne Allemagne de l’est, riches en bonne terre et dépourvues d’industries importantes.
Troisième au monde
Les industriels allemands n’ont pas tardé à emboîter le pas avec des installations pour plusieurs milliers de porcs, entièrement automatisées et, trop souvent, sans égard pour les traitements infligés au bétail.
Car en l’espace de deux décennies, l’Allemagne s’est affirmée comme le troisième plus grand producteur de porcs au monde (après la Chine et les Etats Unis), en tout cas le tout premier en Europe.
Soixante millions
Soixante millions d’animaux découpés chaque année, 645 000 tonnes de produits de charcuterie exportés et des ventes dans le monde passées de 167 millions de $ en 1993 à 1,57 milliards en 2011.
Cette redoutable efficacité trouve sa force, entre autres, dans l’évidente industrialisation de la production, la réduction des coûts et une main d’œuvre aux salaires horaires, qui peuvent descendre jusqu’à 3 €, merci aux voisins roumains, hongrois, polonais.
Végétariens
Mais ce dynamisme n’a pas tardé à scandaliser une opinion publique, depuis longtemps sensible au sort des animaux, au point que le nombre des végétariens, en progression constante, avoisine les 10 % d’ "adeptes".
Cité par Le Point, le réputé hebdomadaire « Der Spiegel » a enquêté récemment sur ces « camps de concentration » de l’élevage porcin moderne, disséquant l’harassante et courte vie des animaux.
400 gr/jour
Les vingt millions de mâles qui voient le jour chaque année sont castrés sans anesthésie, ce qui évite d’altérer le goût futur de la viande. Les animaux sont ensuite nourris dans des enclos durant six à huit semaines, afin de les faire grossir de 400 gr par jour.
Certains prennent jusqu’à 850 gr au quotidien, une surcharge excessive qui entraîne de nombreuses fractures. Au demeurant, pour contrer la dissémination dans des bâtiments regroupant deux mille bêtes, le recours aux médicaments, surtout des antibiotiques, va bon train.
Antibiotiques à gogo
Fortement sollicités, les vétérinaires en administrent 1 734 tonnes chaque année, les porcelets recevant des soins de façon préventive dès la naissance et pour les adultes, des traitements jusqu’à soixante jours de suite.
L’épandage des 1,53 m3 d’urine et de matière fécale produit par chaque porc semble également géré à la va-que-je-te-pousse. Disséminé sur les terres agricoles, le lisier pollue les terres agricoles et s’infiltre dans les nappes phréatiques.
Direction poubelle
Trop, c’est trop. Des dizaines de milliers de citoyens, rameutés par les associations, dont « Animal Rights Watch (ARIWA) », défilent dans les grandes capitales régionales, certains déguisés en gentils porcelets, scandant « On n’en peut plus ».
Révoltés par ces usines charcutières et leurs conséquences environnementales, médicales ou purement éthiques – en plus de la disparition accélérée de petits élevages. Et soulignent qu’un tiers des produits, issus du cochon, finit à la poubelle.
Semelles de plomb
Les producteurs bretons pourraient s’associer à leurs mouvements. Avec des installations de quelques centaines d’animaux, ils font pâle figure.
« Nous portons des semelles de plomb, alors que nos concurrents allemands sont dotés de ressorts sous leurs chaussures », déclarait de façon imagée à Angers Jacques Lemaître, président d’un comité régional porcin.
La production française accuse le coup. 900 emplois supprimés à l’abattoir de découpe de porc Gad à Lampel-Guimiliau (Finistère) en sont un signe. Avec un bassin de 70 000 emplois, la Bretagne constate qu’elle ne peut plus faire face à la concurrence d’outre-Rhin.
Des limites
Hommes de terrain, les Verts allemands réclament un durcissement et une application plus stricts des lois sur la protection des animaux, ainsi qu’un droit des communes sur l’installation de nouvelles exploitations
Professeur de renom, Harald Von Wietzke constate que le développement à outrance du secteur va atteindre ses limites. "Chaque région ne peut dépasser un certain niveau d’élevage sur ses terres, en rapport avec la production d’engrais, qu’il faut bientôt aller chercher plus loin, ce qui alourdit les coûts".
« Nous demandons un véritable tournant agricole, que les Länder réorientent les fonds européens vers une production et une consommation locales, plutôt que de sponsoriser les géants du secteur », ajoute-t-il.
De lundi à lundi
À Art-Tallin, les manifestations ont parfois tourné à l’émeute, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre. Mais nos activistes du lundi ne s’en laissent pas compter, peu impressionnés par les quarante emplois promis par l’investisseur hollandais. Ils espèrent un éventuel recours juridique contre la future « fabrique à cochons ».

dimanche 22 juin 2014

ANIMAUX VRAIMENT FANTASTIQUES

SOURCE
CREDIT PHOTO

DES ANIMAUX VRAIMENT ETRANGES, BONNE SOURCE D' INSPIRATION POUR DES PEINTRES EN MANQUE D' IMAGINATION
VRAIMENT STUPEFIANT!!!!
Most of us don’t grasp the variety of animals species that inhabit the Earth today, and some even get surprised as they find out there’s an animal they haven’t heard of before. But seriously now – out of 1,367,555[1] identified non-insect animal species that live on Earth today, how do you expect to know every single one of them? To put it into perspective, take into account that this number represents only 1% of all animal species that ever lived!
Scientists themselves keep discovering new species every year and admit that modern science is not familiar with all existing animals. This leaves room to such unique and even bizarre discoveries and collected in this post! Inspired by reddit, we put together a selection of such unheard-of creatures as a Dumbo Octopus, Pink Fairy Armadillo, Star-Nosed Mole and many more. Warning – not all of them are super cute and fluffy!









ALERTE GAZ DE SCHISTE

SOURCE

Des milliers de puits d'extraction de gaz de schiste abandonnés à travers l'état de Pennsylvanie aux USA libèrent des fuites incontrôlées du méthane en plus ou moins grande quantité dans l'atmosphère, confirme un nouveau rapport officiel.

L'étude a été menée par la scientifique Marie Kang de l'Université de Princeton  qui a étudié et inspecté 19 puits abandonnés en Pennsylvanie. Selon son rapport publié dans le journal "The Guardian", sur chaque puits qu'elle a visité, des fuites plus ou moins importante de méthane ont été constaté, un gaz à effet de serre 34 fois plus puissant que le dioxyde de carbone.

En Pennsylvanie on dénombre entre 280 000 et 970 000 puits d'extraction abandonnés , la possibilité que des milliers d'entre eux libérent sans aucune surveillance du méthane en grande quantité est désormais devenue une situation trés préoccupante

Tout les vieux puits abandonnés des Etats-Unis pourraient alors contribuer grandement au changement climatique sans qu'aucun rapport documenté par des groupes gouvernementaux comme l'Agence de protection de l'environnement n'est chiffré les dégâts.

Plus grave, l'EPA ( l'agence américaine de protection de l'environnement ) ne tient pas compte de ces fuites de méthane dans ses estimations d' émissions totales de gaz à effet de serre libérés par les États-Unis. En effet elle ne détient aucune estimation des quantité de méthane libérée par ces fuites, puisqu'aucun puit abandonné n'est inspecté par les services de l'état.

L'étude de Marie Kang démontre que la réglementation actuelle de la Pennsylvanie rend totalement insuffisant les moyens de contrôle des fuites de méthane des anciens puits abandonnés après exploitation. Aucune réglementation, donc aucune inspection n'est rendue obligatoire. 

Robert Jackson de l'Université Duke a également mené des recherches et elles ont déjà révélé que les fuites de méthane issues des anciens puits d'extraction de gaz de schiste sont désormais devenues un grave problème aux États-Unis, il confirme qu'il serait grand temps de se pencher sérieusement sur cette situation devenue extremement préoccupante.

"Les émissions provenant de chaque puits d'extraction pris individuellement semble à première vue relativement faibles, mais il y a des centaines de milliers de puits abandonnés rien qu'en Pennsylvanie », at-il déclaré au Guardian. "

Il estime que les émissions totales de méthane issue des ancien puits abandonnés pourraient s'élever même à un huitième de tout le méthane libéré par les activités humaines rien que dans l'état de Pennsylvanie."

D'autres étude ont déjà trouvé un lien entre les niveaux élevés de méthane dans le comté de Parker, au Texas, avec les activités de fracturation.

CETACES MENACES





SOURCE ET SUITE

AVEC QQ VIDEOS

TOUT L' ARTICLE EST A LIRE...
 SI TRISTE SI IRRESPONSABLE ,TELLEMENT REPRÉSENTATIF DE NOTRE ÉPOQUE HÉLAS
EXTRAIT:

 "Certains pensent que nous sommes au bord d'un autre événement d'extinction de masse sur la planète Terre, principalement en raison de l'activité anthropogène. Dans cette catastrophe qui s’intensifie, les baleines, les dauphins et d'autres mammifères de mer tombent victimes en grand nombre, et les gens du monde entier commencent à prêter plus d'attention à leur destin préoccupant.
Dans la crique de Taiji, au Japon, par exemple, l'abattage annuel des milliers de baleines et des dauphins par les pêcheurs japonais est devenu un outrage international dû en partie au documentaire de Ric O'Barry « La Crique » qui a gagné une récompense, et qui a apporté une conscience considérable de ce massacre. Cela donne à réfléchir d’observer le traitement brutal, inhumain et terriblement cruel qui se produit pendant que des familles de dauphins sont emprisonnées et séparées, causant l’avortement des femelles, et forçant les membres de la famille à observer pendant que d'autres membres sont matraqués à mort ou menés dans une vie de captivité. Ce type d'activité n'est bien sûr pas limité lors de la chasse à la crique de Taiji.
  « Si nous ne pouvons rien faire au sujet de cette petite crique, alors comment pourrions-nous changer le monde ? » - Ric O'Barry
La catastrophe nucléaire apocalyptique à Fukushima vide des milliers de tonnes d’eau fortement radioactive dans l'océan Pacifique tous les ans, de façon inchangée, avec aucun soulagement en vue. Les oiseaux, les mammifères de mer, les poissons et toute autre vie marine, meurent dans des nombres incalculables à cause de leur consommation négligente de morceaux de plastiques de rebut, et de déchets humains, qui souillent maintenant les océans dans des proportions incroyables. Les pratiques en matière de pêche industrielle sont aveugles dans ce qu’elles tuent, et en quelle quantité, et les océans s’acidifient à un taux alarmant à cause d'autres facteurs environnementaux, plaçant une chaîne de déséquilibres dangereux qui promet d'étouffer la vie dans les mers et sur la Terre.

En plus de ces facteurs de stress, la Marine des États-Unis perturbe ouvertement la vie dans les océans Pacifique, Atlantique et dans le Golfe du Mexique, avec un programme actuellement en cours pour tester une nouvelle technologie avancée de SONAR et une nouvelle génération d’armements sous-marins explosifs et tactiques. Le programme présente évidemment des dangers significatifs pour la vie marine, mais particulièrement pour les animaux qui se fondent sur la localisation par écho pour la navigation, la migration, la reproduction, et pour obtenir de la nourriture. La Marine identifie le nombre de victimes que l'essai prendra à la vie aquatique, il est pourtant résolue et continuera, mais leurs estimations annuelles du nombre de mammifères que ceci impactera sont fortement contestées par les activistes et d'autres organismes concernés.


« La Marine estime que ses activités pourraient tuer par inadvertance 186 baleines et dauphins [annuellement] de la côte Est et 155 de la côte d'Hawaii et de la Californie du sud, en grande partie à partir d’explosifs.
Elle calcule plus de 11.000 blessures sérieuses au niveau de la côte Est et 2000 à Hawaii et en Californie du sud, avec presque 2 millions de blessure légères, telles que la perte d'audition provisoire, par delà chaque côte. Elle prévoit également que les mammifères marins pourraient changer leur comportement - tel que nager dans une direction différente - dans 27 millions de cas. » [Source]
Le test de guerre sous-marine de la Marine inclura des tests de sources actives de sonar à moyenne et à haute fréquence et des détonations explosives. Ces sonars et ces sources explosives seront utilisés pendant des exercices de guerre pour la localisation de sous-marins, la formation de manière a éviter les mines, la mesure des distances par écho de champ et mesure de distance par écho de champ étendu (EER/IEER), des exercices de missiles, des exercices d'artillerie, des exercices de bombardements, des exercices de naufrages, et de formations de guerre aux mines … et plus. [Source]
 (ASW) Ces essais peuvent produire des niveaux extrêmement hauts de bruit, plus de 200 décibels, ce qui est assez fort pour tuer un être humain de la même manière qu'un verre de vin peut être brisé par la puissance du bruit. Pour le complexe militaro-industriel, les cétacés sont superflus, et pour eux qu'ils meurent de morts cruelles et inhumaines est simplement un dégât indirect de la recherche éternelle pour la sécurité nationale.
Ces conditions combinées signifient que la vie devient de plus en plus difficile pour les baleines et les dauphins. Certains croient qu'on fait taire délibérément leurs voix dans les mers afin de couper le contact humain avec les cétacés et réduire la vibration de la vie sur la planète, et de ce fait limiter l'évolution spirituelle de la race humaine. Car, la rencontre de ces animaux face à face et le fait d’agir l'un sur l'autre avec eux est vraiment un événement élevant l’âme et changeant la vie.

10 000 CHIENS SONT EN TRAIN D' ETRE DEVORES PAR LES CHINOIS A YULIN!!!!!

SOURCE SUITE
CREDIT PHOTO 

 C' EST LE GRAND WEEK END DU SOLSTICE D' ETE ET UNE FOIS ENCORE NOUS N' AVONS RIEN PU EMPECHER...

How are you celebrating the Summer Solstice? In Yulin, China a feast of 10,000 dogs is planned for this weekend.
As a dog lover I cannot imagine anything worse than my best friend used for food - and the thought of her being beaten, hung, skinned, blowtorched or even boiled alive leaves me frozen and distressed. Imagine then an entire festival devoted to eating dog as part of a trade where such methods are commonplace. This is not a myth created to shock - it's a fact.
Since the 1990s in the city of Yulin - in a rural part of China, the Southern province of Guangxi - around 10,000 dogs are slaughtered so that they can be eaten on or around June 21st. The meat is served with lychees as a stew.
You may wonder how so many dogs are found - in fact they are shipped in on huge dog trucks in tightly packed cages. Some are from 'dog farms' but most are rounded up strays and former pets. I have witnessed entire cages full of dogs being literally thrown to the ground from the tops of trucks several metres high.


2014-06-20-Huffington_Kyenan_Kum.jpg
Former pets in the meat trade: photo Kyenan Kum , IAKA
Is this culturally acceptable....or even legal? Unfortunately, China has no real animal protection laws - certainly not for the dogs and cats who end up as part of the human food chain - and because the trade is unofficial and black market it is not even subjected to health, trade or food production laws. Culture aside, Chinese consumers have many reasons to think twice.
And as if this were not bad enough, China is not the only country with a dog and cat meat trade. During the hot summer months it is estimated that over 12. 5 million dogs and cats are eaten each year in South Korea, Vietnam, Laos, Cambodia, Philippines and Indonesia - and in nearly every instance, torture is demanded. It is still believed by some that the more suffering a dog endures the more potent or tender is the resulting meat or that if a cat is boiled into a soup or drink it can cure ailments. Many believe dog meat can treat impotency. Governments turn a blind eye and stay silent. The dog meat trade - illegal and unregulated - is lucrative for some who will not be willing to relinquish it and so far there has been no political will to address this.
Thankfully, there is a glimmer of hope: times are changing and so are attitudes. This year's Yulin festival has become more subdued and secretive having attracted unprecedented opposition amongst activists and celebrities from both inside and outside of China. Social media has played a huge role in spreading information and the gruesome images of suffering animals are now shared far and wide.
The charity World Protection for Dogs and Cats in the Meat Trade runs the 'NoToDogMeat' campaign. Originating as a lobbying page on Facebook WPDCM works to raise awareness at home and abroad and aims to make a lasting difference to the welfare of animals in those countries affected.

RINOCEROS ORPHELIN

 On arriving at the centre, the rhino was placed with a surrogate mother to try and console him and has found comfort with his human keeper, Christo Schreiber



SOURCE

SUITE ET VIDEO

UN RHINOCEROS VIENT DE PERDRE  SA MERE ABATTUE DEVANT SES YEUX PAR DES BRACONIERS.. IL A FALLU UN SEDATIF POUR L' EMPORTER VERS UN CENTRE DE SOINS. MAIS DEPUIS SA PEINE NE DISPARAIT PAS, ET IL VA TENTER DE TROUVER AMOUR ATTENTION ET AFFECTION AUPRES DU PERSONNEL..
 VIDEO TOUCHANTE A VOIR SUR LE LIEN
 COMME QUOI TOUS LES BEBES PLEURENT ET ONT BESOIN D' ETRE RASSURES CONSOLES

This is the heartbreaking moment a baby rhino had to be rescued by an animal welfare group after he was found crying over his mother's dead body.
The three-month-old rhino was left orphaned after poachers killed his mother for her horn.
Staff from the animal welfare group Hoedspruit Endangered Species Centre, from Pretoria, South Africa said the young rhino was found crying and would not leave his mother's side.
Vets had to undertake the careful task of darting the baby so he could be carefully transported to the HESC centre, otherwise without a mother in the wild he would die.
SCROLL DOWN FOR VIDEO

Read more: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2659195/Heartbreaking-moment-baby-rhino-crying-dead-mother-poachers-killed-horn.html#ixzz35NNTlvQw
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vendredi 20 juin 2014

LE LAIT N' EST PAS VOTRE AMI

SOURCE

 OU COMMENT L' INDUSTRIE LAITIERE VOUS ABREUVE DE MENSONGES...
 NON, BOIRE DU LAIT, MANGER DES LAITAGES NE SAUVERA PAS VOTRE OSSATURE AU CONTRAIRE..
LE CALCIUM QUE VOUS OBTIENDREZ DES VEGETAUX  SERA PLUS ASSIMILABLE QUE LE CALCIUM DES LAITAGES


When Friends Ask: “Why Don’t You Drink Milk?”
Nutritionally speaking, dairy foods are essentially “liquid meats”—but worse, because people drink milk, and eat cheese, guiltlessly—often thinking “milk makes my bones unbreakable, helps me lose weight, and makes my skin as soft and beautiful as a baby's tush.”  In their haste to sell products, the dairy industry has created an obsession over calcium that has become, in effect, a major contributor to the suffering and death of more than one billion people annually on Planet Earth from diseases of overnutrition—obesity, heart disease, stroke, arthritis, and diabetes.
In the late 1970s when I was developing the McDougall Diet—after reading the bulk of the nutritional science published since the early 1900s—I came to the conclusion that starches, vegetables and fruits were ideal for human nutrition.  I then asked myself, what would be gained and lost by adding other food categories (dairy, meats, poultry, fish, free-oils, sugars, etc.) to this elemental foundation?  In the case of dairy foods, I quickly eliminated the “calcium advantage” because Nature packaged her foods so efficiently that developing a disease due to calcium deficiency is nearly impossible on a diet of plant foods (See last month’s newsletter—February 2007). 
After almost three years of exhaustive research I concluded: adding dairy foods to my original plant-food-based diet would only supply more calories, fat, animal protein, cholesterol, sodium, microbes, and chemical contamination—ingredients that were making most of my patients ill in the first place.  In the final analysis, I found myself unable to discover any reasons to add dairy into the McDougall Diet—the hazards weighed heavily and any benefits were overstated, or blatantly falsified.  Yet the drone from the dairy industry’s propaganda continues three decades later.  I am the uncommon voice out there in the wilderness; people tired of listening without questioning will find my analysis of some of the dairy industry’s most familiar messages refreshing.
Dairy Products Taste Delicious—Actually the Additives Do  
The National Dairy Council refers to their products as “Nutritious and Delicious.” Undoubtedly, consumers love ice cream, cheese, yogurt, and butter.  But the reason is, they are loaded with sugar and salt; otherwise no one would eat them. The National Dairy Council knows the importance of adding sugar and other flavorings, reporting, “Studies show that elementary school kids drink 28 percent more milk when offered in “cool” flavors and packages.”1  When I was a child, my school required all students to drink milk daily. A small carton of white milk was 2 cents and chocolate was 3 cents.  I always splurged, because I gagged from the taste of white milk.  The reason plain milk is at all palatable is because it naturally contains about 30% of its calories as sugar (lactose).  Chocolate, strawberry, and other flavored milks contain additional sugar. The more sugar, the greater the attraction to dairy; witness ice cream with 52% of the calories as sugar.
My patients taught me how really disgusting basic dairy foods taste.  During my residence training in the mid-1970s, I cared for people with kidney failure, who were required to be on very salt-restricted diets.  One of my duties was to recommend they eat salt-less butter and salt-less cheese.  Their response was, “Doc, I can’t eat a glob of greasy lard.”  Without the salt, these yellow blocks of fat are unpalatable. 
Adding salt and/or sugar to enhance the taste of potatoes, beans, rice, vegetables and fruits would be a much healthier and tastier choice, rather than mixing it with all that fat found in dairy products.
Dairy Products Build Bones - Actually They Damage Them, Too
The National Dairy Council writes, “A large body of scientific research collected in recent decades demonstrates that an adequate intake of nutrients (e.g., calcium) from dairy foods such as milk, cheese, or yogurt positively affects bone health by increasing bone acquisition during growth, slowing age-related bone loss, and reducing osteoporotic fragility fractures.”2  The truth is dairy products can have bone-growth-stimulating effects.
The primary biologic purpose of cow’s milk is to cause growth—from a 60 pound calf to a 600 pound cow in less than 8 months. This “miracle-grow” fluid has several qualities that help accomplish this feat. Cow’s milk is 50% fat, providing 600 “growth-supporting” calories per quart.3 Cow’s milk also has high concentrations of protein, potassium, sodium, calcium, and other nutrients to sustain rapid growth.  (In comparison, these nutrients are at a three to four times lower concentration in human milk than cow’s milk.3)
Dairy foods increase growth hormones:  In addition to calories and nutrients to support growth, cow’s milk increases hormones that directly stimulate the growth of the calf. The most powerful of these hormones is called insulin-like growth factor-1 (IGF-1).  When cow’s milk is fed to people, IGF-1 levels also increase.  Studies funded by the dairy industry show a 10% increase in IGF-1 levels in adolescent girls from one pint daily and the same 10% increase for postmenopausal women from 3 servings per day of nonfat milk or 1% milk.4,5 This rise in IGF-1 level is an important reason for the “bone-building” effects of cow’s milk.
IGF-1 promotes undesirable growth too—like cancer growth and accelerated aging. IGF-1 is one of the most powerful promoters of cancer growth ever discovered for cancers of the breast, prostate, lung, and colon.6  Overstimulation of growth by IGF-1 leads to premature aging too—and reducing IGF-1 levels is “anti-aging.”7
Dairy Foods Raise Estrogen: The message that estrogen builds fracture-resistant bones (prevents osteoporosis) has been hammered into women’s minds over the past 4 decades by the pharmaceutical industry, selling HRT formulas, such as Premarin and Prempro. Food also raises estrogen levels in a person’s body—and dairy foods account for about 60 to 70% of the estrogen that comes from food.8  The main source of this estrogen is the modern factory farming practice of continuously milking cows throughout pregnancy.8,9  As gestation progresses the estrogen content of milk increases from 15 pg/ml to 1000 pg/ml.


SUPERBE CHANSON VEGANE

LES CRIS DES COCHONS DANS LES FERMES INDUSTRIELLES, CA SUFFIT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

FERMONS LES ABATTOIRS, LA MARCHE FILMEE PAR L214

OU TROUVER LE CALCIUM POUR VEGETALIENS

 SOURCE 

 AVEC TABLEAU A IMPRIMER ET CONSERVER...

 EPINARDS BROCOLIS, PERSIL, POIS CHICHES

 Le lait controversé

  • Nombre de personnes sont déminéralisées en dépit d'une consommation régulière de produits laitiers… parce que leur alimentation est trop grasse et trop acidifiante. Dans l'intestin, les lipides en excès se combinent avec les minéraux, formant des “savons calcaires” insolubles et inassimilables. Le calcium du lait est alors éliminé par les selles.
  • Les minéraux du lait se trouvent aussi dans les végétaux : la vache ne les crée pas, elle concentre ceux de l'herbe dans son lait.

Les avantages du calcium végétal

  • En matière de densité nutritionnelle - apport de calcium pour 100 calories -, certains végétaux battent largement les produits laitiers : les épinards ou les brocolis apportent environ 400 mg de calcium pour 100 calories, contre seulement 250 pour le gruyère et 190 pour le lait.
  • Ce calcium végétal est immédiatement exploitable par le corps.


  •  AUTRE SOURCE, AUTRE SITE
  • BCP D' INFOS UTILES!!!
  •  
  •  amandes
  •  
  • Nous avons développé une habitude et un réflexe des plus banals mais aussi des  plus limitants : associer notre consommation de calcium à notre consommation de produits laitiers. Pourtant, le calcium est vraiment partout!
    Rassurez-vous, en réduisant votre consommation de produits laitiers (notamment de lait de vache), vous ne risquez pas d’être carencé en calcium, à condition d’ouvrir et de diversifier vos horizons alimentaires.
    De paire avec le potassium, le calcium joue un rôle crucial pour plusieurs fonctions de notre corps, de nos cellules, de nos nerfs, nos muscles, nos glandes mais aussi nos vaisseaux sanguins. Les légumes, les légumineuses, les fruits et certains poissons contiennent exactement les quantités de calcium dont le corps a besoin. N’oubliez pas d’associer à vos aliments riches en calcium un apport suffisant en vitamine D afin qu’il puisse être assimilé par le corps tout entier. Bref, n’oubliez pas votre pause quotidienne au soleil (ou vos compléments en hiver).
    Le calcium est le minéral le plus abondant dans notre corps, et on peut le retrouver dans une très grande variété d’aliments. Voici une liste des aliments les plus riches en calcium – sans lait !

    Les plus riches: amandes et lait de coco

     POIS CHICHES ET HARICOTS ROUGES!!!!

    Ces légumineuses sont chargées de calcium mais aussi de potassium ou encore d’acide folique (d’autant plus utile si vous êtes enceinte). Les haricots rouges peuvent venir végétaliser la plupart de vos plats à base de viande : essayez des tacos à base de tomates, oignons, coriandre et haricots rouges, et vous serez convaincu. De même pour les pois chiches, dont la version en purée (houmous) viendra régaler vos tables et vos plats. Une purée de pois chiche, à laquelle vous pouvez ajouter du sel, du citron, du sésame et un peu de sauce soja : un délice !

     ET POUR FINIR. DES RECETTES SUPER SYMPAS ICI

     J' AI BIEN ENVIE D' ESSAYER CELLE CI..

     carottes_curry_soja 

    CAROTTES AU CURY ET A LA CREME DE SOJA.

     SI FACILE EN PLUS

    Ingrédients
    Pour 4 personnes
    - 1 kg de carottes bio
    - une gousse d’ail
    - un oignon
    - une brique de crème de soja bio
    - du curry (voir notre recette curry maison)
    - huile d’olive
    - sel, poivre

    Préparation
    Epluchez les carottes puis coupez-les en rondelles.
    Faites-les cuire à la vapeur pendant une vingtaine de minutes afin qu’elles soient bien tendres.
    Dans une poêle, faites revenir l’oignon émincé et l’ail haché dans un peu d’huile d’olive.
    Intégrez les carottes lorsqu’elles sont cuites.
    Versez la brique de lait de soja bio (crème liquide végétale) puis le curry, selon votre convenance.
    Salez, poivrez et laissez mijoter quelques minutes.
    Bon appétit !
  • OU LA QUICHE AUX OIGNONS ET AU CHOU ROUGE
  • quiche_oignons_chou_rouge

  • - 1 rouleau de pâte brisée (ou pâte maison)
    - 3 à 4 oignons
    - 1 gousse d'ail
    - 1 quart de chou rouge
    - 25 cl de crème d'amande cuisine
    - 3 oeufs
    - noix de muscade
    - huile d'olive
    - sel, poivre

    Préparation
    Coupez les oignons et le chou en lamelles.
    Faites chauffer un peu d'huile d'olive dans une poêle. Ajoutez ensuite les oignons et le chou.
    Retirez la poêle du feu quand les oignons sont transparents et le chou tendre.
    Dans un moule à tarte, étalez la pâte brisée. Piquez-là un peu partout avec une fourchette afin d'éviter qu'elle ne gonfle.
    Faites précuire la pâte seule pendant 15 minutes à 180°C (th6).
    Cassez les oeufs dans un saladier et battez-les avec le lait d'amande. Ajoutez ensuite de la muscade, du sel et du poivre.
    Versez la préparation sur la pâte précuite.
    Enfournez et faites cuire pendant 45 minutes à 180°C.
    C'est prêt, bonne dégustation!

     

     

     

     

jeudi 19 juin 2014

AU MOINS 10 000 CHINOIS VONT MANGER DU CHIEN A YULIN CETTE ANNEE


 dog eating yulin meat guangxi





SOURCE


 QQ MEDECINS S' ENGAGENT POUR DISSUADER DE MANGER DU CHIEN EN PUBLIC AU FESTIVAL


As the controversial Summer Solstice Lychee Dog Eating Festival in Yulin approaches, local health care professionals have reportedly been ordered to refrain from chowing down on man’s best friend.
The Southern Metropolis Daily reports two doctors from the Yulin maternal and child care service center have stated that doctors, nurses, and their families have been ordered to refrain from eating dog meat in public.
However, a deputy director of the center disputed the claims, saying there has been no such order.
The report did not say why health care professionals have been singled out, nor did it say if other professional fields are also included in the order.
The Yulin dog eating festival is an annual event that has attracted criticism and protests from animal activists. An estimated 10,000 dogs were consumed at the festival last year, and organizers are gearing up for this year’s festival on June 21.
Clashes between protestors and Yulin residents have already begun despite local efforts to minimize the controversy by removing the character “dog” from all Yulin restaurant signs and menus.
Related:

VICTOIRE ARRET DE LA VIVISECTION A L' UNIVERSITE OHSU D' OREGON

I am very excited to share a huge victory with you that has been years in the making. As you may know, Oregon Health & Science University (OHSU) has long used animals in teaching laboratories for medical students. In these sessions, medical students place catheters in the arteries and veins of live animals, block the animals’ arteries, and inject them with drugs. Students then open the animals’ chest cavities to expose the hearts. Afterward, they are all killed.
As you can imagine, this laboratory was very controversial. Many students had no desire to kill their first "patient." And as many other medical schools switched to nonanimal teaching methods, students at OHSU could see less and less reason for this sort of deadly laboratory exercise continuing at their school.
We worked long and hard to stop it. At first, the school simply switched from using dogs to using live pigs, hoping to quell objections. But we kept up the pressure, working with the university, but also pushing the media with a billboard in downtown Portland, a complaint to the U.S. Department of Agriculture, and a demonstration outside the school of medicine. Under pressure, OHSU was forced to reevaluate its use of animals. OHSU finally came to the conclusion that, indeed, there is no need to use animals in medical student training.
With OHSU ending the use of live animals in medical student training, there are three medical schools still using animals, only one of which is still using animals for physiology training. The University of Mississippi Medical Center (UMMC) remains the only medical school in the United States using animals for this purpose. Please help by politely asking UMMC to end this animal use today!
Please e-mail UMMC School of Medicine dean James Keeton, M.D., today and ask him to join every other medical school in the United States by ending the use of animals in physiology training.
Thank you again for all of your support. Together, we are able to make these huge strides toward better trained physicians and more compassionate medicine—a better world for animals and people.
Sincerely,
sig_neal_barnard_110
Neal Barnard, M.D.
President

CONSCIENCE DES ANIMAUX COMME C' EST LENT D' EVOLUER!!!

SOURCE

OUI, LES ANIMAUX ONT UNE CONSCIENCE, OUI LES ANIMAUX RESSENTENT LA SOUFFRANCE...................
MAINTENANT IL EST TEMPS QUE LA SOCIETE REAGISSE!!!

 C' EST EN RESUME LA TENEUR DE CET ARTICLE MAIS VRAIMENT AVEZ-NOUS DU ATTENDRE 2014 POUR REALISER CELA?????
 ET MAINTENANT COMMENT LES PROTEGER LES TRAITER DIFFEREMENT???
COMMENT SURTOUT LUTTER CONTRE LES LOBBIES QUI  PROFITENT DE LA SOUFFRANCE ET DE LA MORT DES ANIMAUX??????
 THAT IS THE QUESTION!!!!!!

Now that scientists have belatedly declared that mammals, birds and many other animals are conscious, it is time for society to act
ARE animals conscious? This question has a long and venerable history. Charles Darwin asked it when pondering the evolution of consciousness. His ideas about evolutionary continuity - that differences between species are differences in degree rather than kind - lead to a firm conclusion that if we have something, "they" (other animals) have it too.
In July of this year, the question was discussed in detail by a group of scientists gathered at the University of Cambridge for the first annual Francis Crick Memorial Conference. Crick, co-discoverer of DNA, spent the latter part of his career studying consciousness and in 1994 published a book about it, The Astonishing Hypothesis: The scientific search for the soul.
The upshot of the meeting was the Cambridge Declaration on Consciousness, which was publicly proclaimed by three eminent neuroscientists, David Edelman of the Neurosciences Institute in La Jolla, California, Philip Low of Stanford University and Christof Koch of the California Institute of Technology.


The declaration concludes that "non-human animals have the neuroanatomical, neurochemical, and neurophysiological substrates of conscious states along with the capacity to exhibit intentional behaviors. Consequently, the weight of evidence indicates that humans are not unique in possessing the neurological substrates that generate consciousness. Non-human animals, including all mammals and birds, and many other creatures, including octopuses, also possess these neurological substrates."
My first take on the declaration was incredulity. Did we really need this statement of the obvious? Many renowned researchers reached the same conclusion years ago.




The declaration also contains some omissions. All but one of the signatories are lab researchers; the declaration would have benefited from perspectives from researchers who have done long-term studies of wild animals, including nonhuman primates, social carnivores, cetaceans, rodents and birds.


I was also disappointed that the declaration did not include fish, because the evidence supporting consciousness in this group of vertebrates is also compelling.

Nevertheless, we should applaud them for doing this. The declaration is not aimed at scientists: as its author, Low, said prior to the declaration: "We came to a consensus that now was perhaps the time to make a statement for the public... It might be obvious to everybody in this room that animals have consciousness; it is not obvious to the rest of the world."


The important question now is: will this declaration make a difference? What are these scientists and others going to do now that they agree that consciousness is widespread in the animal kingdom?
I hope the declaration will be used to protect animals from being treated abusively and inhumanely. All too often, sound scientific knowledge about animal cognition, emotions and consciousness is not recognised in animal welfare laws. We know, for example, that mice, rats and chickens display empathy, but this knowledge has not been factored into the US Federal Animal Welfare Act. Around 25 million of these animals, including fish, are used in invasive research each year. They account for more than 95 per cent of animals used in research in the US. I'm constantly astounded that those who decide on regulations on animal use have ignored these data.

Not all legislation ignores the science. The European Union's Treaty of Lisbon, which came into force on 1 December 2009, recognises that animals are sentient beings and calls on member states to "pay full regard to the welfare requirements of animals" in agriculture, fisheries, transport, research and development and space policies.
There are still scientific sceptics about animal consciousness. In his book, Crick wrote "it is sentimental to idealize animals" and that for many animals life in captivity is better, longer and less brutal than life in the wild.
Similar views still prevail in some quarters. In her recent book Why Animals Matter: Animal consciousness, animal welfare, and human well-being, Marian Stamp Dawkins at the University of Oxford claims we still don't really know if other animals are conscious and that we should "remain skeptical and agnostic... Militantly agnostic if necessary."
Dawkins inexplicably ignores the data that those at the meeting used to formulate their declaration, and goes so far as to claim that it is actually harmful to animals to base welfare decisions on their being conscious.

I consider this irresponsible. Those who choose to harm animals can easily use Dawkins's position to justify their actions. Perhaps given the conclusions of the Cambridge gathering, what I call "Dawkins's Dangerous Idea" will finally be shelved. I don't see how anyone who keeps abreast of the literature on animal pain, sentience and consciousness - and has worked closely with any of a wide array of animals - could remain sceptical and agnostic about whether they are conscious.

Let us applaud the Cambridge Declaration on Consciousness and work hard to get animals the protection they deserve. And let us hope that the declaration is not simply a grandstanding gesture but rather something with teeth, something that leads to action. We should all take this opportunity to stop the abuse of millions upon millions of conscious animals in the name of science, education, food, clothing and entertainment. We owe it to them to use what we know on their behalf and to factor compassion and empathy into our treatment of them.
Marc Bekoff is an emeritus professor of ecology and evolutionary biology at the University of Colorado, Boulder. He has written many essays and books about animal emotions, animal consciousness and animal protection

mercredi 18 juin 2014

ACTION:PETITIONS POUR LES CHIENS DU VIETNAM





CE SONT DES HYENES QUI S' ACHARNENT CONTRE LES CHIENS AU VIETNAM
 ET CES HYENES SONT LES VIETNAMIENS,  D' ABORD ILS ENGRAISSENT LES CHIENS , LES INTUBANT POUS FORCER LA NOURRIR DANS L' OESOPHAGE,  CELA POUR GAGNER QUELQUES GRAMMES DE CHAIR, PUIS  LES CHIENS SONT BATTUS JUSQU' A CE QUE MORT  S'ENSUIVE

TONY ZADEL A REUNI CES 7 PETITIONS A SIGNER ET A PARTAGER

 SUR SA PAGE FACEBOOK..




PLEASE SIGN & SHARE WIDELY THESE ➨7 PETITIONS!
►PET.1 http://chn.ge/1l3xGXw
►PET.2 http://bit.ly/1hgh2yB
►PET.3 http://bit.ly/1cA26NR
►PET.4 http://bit.ly/1n29pAO
►PET.5 http://bit.ly/1g4Nv15
►PET.6 http://bit.ly/1dpwIzL
►PET.7http://www.tradeofshame.org/take-action-today/write-to-vietnamese-embassies-and-consulates/
✦ABOUT THE VIDEO:INSIDE A ULTRA BARBARIC DOG MEAT FARM
-Man's best friend cruelly betrayed!
As i told you previously on my previous video watch here:(Part.1) ►http://on.fb.me/1fGO7dI
◕Vietnam is the most barbaric place on earth for dogs,definitely worse than China & South korea 'legal' dogs meat farms..
✦BARBARIC PROCESS OF FORCE FEEDING TUBES:
• Dogs are force fed in order to increases the profit from each animal by winning weight..many suffocate in the process!when the dogs have reached a 'satisfactory 'weight' they are brutally beaten to death:the dog's head is ripped out of the cage and beaten until he dies..
• Dogs with obvious big respiratory problems..
• Dogs with clear signs of stress and depression..
• Evidence of trauma and large inflammation of the esophagus -recognised by blood stains on force feeding tubes..

✦HERE A BRIEF VIEW INSIDE THOSE GRUESOME FARMS
◕Man's best friend for the one and man's biggest enemy and detested by others..!
-Scared out of their minds the dogs are traumatized and in shock.forced into cages until no more will fit the cages are stacked upon each other.Dogs are starved, dehydrated and injured treated as a commodity and not as living beings. Brutally held down and force fed in order to gain weight which brings a higher price, bones are broken and joints wrenched from their sockets. The lucky ones will suffocate and their misery end. What they anticipated as a possible home has become their horror as they only receive pain and suffering...Their pitiful screens are ignored is the torture continues!!
◕All this is done in front of those waiting their turn. fright immobilizes them. Cruelly grabbed from the cage each dog is dropped into a tub of boiling water in order to make the skin removal easier. The dogs do not immediately die.Many live long enough to feel the excruciating pain it it is a being skinned alive..
◕There is a false Asian perverse belief that torturing animals will make the 'flesh taste better'..
✦ORIGIN OF THESE DOGS:
◕Stray dogs and stolen pets are being illegally bartered for household items,then smuggled from Thailand to Vietnam!
◕Dogs are collected by 'dogs collectors' throughout the north east of Thailand, then taken to holding pens in the provinces of Nong Khai, Nakhon, Phanom and Mukdahan
◕In transit the conditions for the animals are a real nightmare!they are extremely horrendous.the dogs are loaded by hundreds onto open-sided trucks, starving, dehydrated,stacked on top of each other like vulgare 'merchandises' suffering from bite wounds and broken bones..some dying en route from stress by heart attacks..
✦The video is also available on my Youtube channel with the petitions! click"Show More below the video or 'About'
http://youtu.be/HnUWk0ExqKQ
Thank you~ Tony Zadel

SEA SHEPHERD CONTRE LE GRIND

L’objectif pour Sea Shepherd sera de patrouiller dans l’archipel à la recherche des baleines pilotes (ou globicéphales) afin de les maintenir éloignées des 22 baies de chasse dans lesquelles les iliens ont pour habitude de les attirer pour les mettre à mort par groupes entiers. En moyenne, ce sont près de 1500 globicéphales et autres dauphins qui périssent chaque année, au cours de massacres appelés Grind. Orchestrés depuis des siècles dans un archipel autrefois isolé du monde extérieur, ils se perpétuent aujourd’hui sous couvert de tradition avec le renfort de la technologie moderne (bateaux à moteur, sonars et parfois même hélicoptère). Aujourd’hui, la population des îles Féroé bénéficie d’un des niveaux de vie les plus élevés en Europe et reçoit d’importantes subventions Européennes via le Danemark. Par ailleurs, la viande de globicéphale est impropre à la consommation humaine d’après les médecins féringiens eux-memes, ceci en raison des forts taux de mercure et polluants présents dans leur chair. De juin à octobre prochain, pic de la “saison du grind”, Sea Shepherd assurera des patrouilles journalières pour s’assurer qu’aucune baleine pilote et qu’aucun autre dauphin ne soit tué dans l’archipel. Une importante équipe à terre composée de plusieurs centaines de volontaires, internationaux est également mobilisée pour cette mission. “Notre dernière mission aux îles Féroé remonte à 2011”, déclare Lamya Essemlali, Chargée de mission sur Grindstop 2014. “Pendant toute la durée de notre présence sur place, aucun dauphin n’avait été tué. Les massacres avaient repris quelques jours seulement après notre départ. Cette année, nous resterons plus longtemps et s’il le faut nous reviendrons l’année prochaine et l’année d’après. Aussi longtemps qu’il le faudra. Pour enfin mettre un coup d’arrêt définitif au grind” Le premier massacre de l’année a eu lieu, le 18 mai dernier, Une quinzaine de baleines pilotes ont été rabattues et massacrées dans la baie de Fuglafjordur. Pour soutenir Sea Shepherd... http://www.seashepherd.fr/

POURQUOI IL EST IMPORTANT POUR LES VACHES D' AVOIR DES AMIS


 


SOURCE
 

Cows need friends, and when deprived of this very basic need, their mental capacity suffers. Animal welfare researcher Charlotte Gaillard of the University of British Columbia set out to shed light on this issue and offer insight into how cows learn, especially during the crucial growing age.
Her recent study examined the differences in learning among calves with varying levels of socialization. The results showed that cows, like all social species, need interaction to grow and flourish.
On dairy farms, calves are typically separated from their mothers and housed individually and this is playing a major role in their ability not just to thrive, but possibly even just to survive. Gaillard’s study demonstrates that it is not just human children that suffer from solitary confinement. Cows are social critters, and when deprived of friendship, they perform more poorly on tests of cognitive development.
Not many studies have been conducted on the behavior of cows, and even less so on their cognitive performance as it relates to whether or not they have had the company of friends growing up. Why? Because cows are livestock, and livestock are only thought of in functional terms of milk, meat, leather or labor.
The tests, which employed the help of singly and socially housed calves between the ages of 4 to 8 weeks, saw the cows associate different colored squares with food rewards, as well as placing them in a pen with an unfamiliar object to see how willing they were to interact with it either by licking, sniffing or pushing.


ADVERTISEMENT
The results showed that cows that had grown up in a more social setting, where they were able to form bonds and friendships, were able to cope with the tests with ease and confidence. The isolated calves, however, were much less capable of coping with complex tasks, and in the case of being placed in a pen with an unfamiliar object, they were never able to get used to its presence and showed increased anxiety, acting fearful and uncertain about what was going on around them.
Animals can have rich social lives, and their wellbeing depends on how able they are to interact and engage with each other and their environment.


On today’s modern farms, the majority of calves are confined to tiny spaces where they cry out to be reunited with their mothers and siblings.
Cows are not simply machines that can withstand the cruel and abhorrent practices that they are forced to endure. They are living, breathing beings that experience pain and suffering akin to our own, and as this study shows, depriving them of their family and friends is not a humane way to treat them.
At sanctuaries, cows are able to fully express their complex personalities and emotions, and are given the freedom to develop their cognitive abilities on their own terms, as well as make friends and take up company with whoever they might take a fancy too. Remember Sweety and Tricia from Farm Sanctuary - the two blind cows that became best friends after living 350 miles apart? They are the perfect testament as to why it is so important for cows to have friends, not just for learning, but for love.

Read more: http://www.care2.com/causes/why-its-so-important-for-cows-to-have-friends.html#ixzz350ZMSt7o

NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES DE CES TUERIES D' ETRES VIVANTS

mardi 17 juin 2014

OPERATION SAUVETAGE DANS LE DESERT

FERMETURE DES ABATTOIRS, PARIS 2014




TRES BELLE VIDEO DE CETTE MARCHE QUI UNE FOIS ENCORE A RASSEMBLE PLUS DE 1200 PERSONNES MALGRE LA GREVE RECONDUITE DE LA SNCF

 LE SITE OFFICIEL

LE VIOL DE LA VACHE

RICHESSE DU MONDE ANIMAL

QUAND L' HUMAIN DECOUVRE LE MONDE ANIMAL, SA BEAUTE ET SURTOUT LA COMPASSION

CRUAUTE EXTREME CONTRE UNE PAUVRE PETITE CHEVRE

 



SOURCE
AVEC CREDIT PHOTO




Les bourreaux de la petite chèvre de l’île Balzac, à Tours, ont été lourdement condamnés, hier, par le tribunal correctionnel de Tours.

Des sales gosses, des affreux jojos, des Pieds Nickelés… Les qualificatifs manquent pour évoquer le comportement incroyable, hier, à l'audience, des quatre prévenus dans l'affaire du massacre de la petite chèvre angora du parc Honoré-de-Balzac, à Tours.

Insultes entre prévenus, gestes déplacés envers les avocats, propos irrévérencieux envers le tribunal… C'est une audience houleuse à laquelle on a pu assister hier après-midi. Jusqu'à ce que la présidente, à bout de patience, finisse par faire expulser deux des quatre prévenus pour enfin ramener le calme dans la salle.

Dans le box des prévenus, Warren et Elvis Saget, deux frères à la triste réputation, n'arrêtaient pas de ricaner entre eux, de répondre en haussant les épaules à la présidente et d'envoyer des regards noirs aux deux autres prévenus, deux frères également, Manuel et Nicolas Coutant.

Concernant l'expédition au parc Honoré-de-Balzac au cours de laquelle ils ont capturé la malheureuse petite chèvre, les quatre prévenus ne semblaient guère animés par le remords.

Découpée et grillée au barbecue

« Le délire a mal tourné », s'est contenté de dire Elvis Saget. Ce soir-là, lors « d'une virée entre potes », les deux frères Saget et les deux frères Coutant ont enlevé l'animal pour le jeter dans leur voiture. C'est dans leur garage qu'ils ont ensuite massacré la pauvre bête.

« Les frères Saget m'ont demandé de venir la découper, explique Manuel Coutant. Ils avaient commencé à l'égorger. Mais, quand je suis arrivé, elle n'était pas morte ». Le calvaire de la petite chèvre a duré bien trop longtemps. Elle a ensuite été découpée en morceaux puis grillée au barbecue par les quatre lascars.


C'est un renseignement anonyme qui a permis à la police de remonter jusqu'au quatuor. Le mystérieux témoin a également balancé les quatre hommes comme étant à l'origine d'un certain nombre de vols et de cambriolages commis à la même période, notamment chez des particuliers et à l'accueil loisirs des cheminots.

Trois associations de défense des animaux, la Société protectrice des animaux, l'association Stéphane Lamart et la Société nationale de défense des animaux s'étaient porté parties civiles.

« Cet animal était une petite chèvre docile, habituée à la présence de l'homme », expliquait Me Delphine Chevalier, l'avocate de la SPA.

« Elle a été tuée dans des conditions horribles, insistait la procureure de la République, Anne David. Et on peut être inquiet quand on voit le comportement à l'audience des protagonistes. »


Le tribunal a condamné Warren Sachet à dix-huit mois de prison, Elvis Sachet à vingt-quatre mois de prison ferme. Nicolas Coutant écope de quatre mois de prison, son frère Manuel étant condamné à deux mois de sursis avec obligation d'effectuer un travail d'intérêt général.

Source : Caroline Devos