samedi 28 février 2015

LE LIEN GRIPPE ET USINES A ANIMAUX ...PAR THIERRY SOUCCAR


 Les grandes épidémies de grippe viennent des élevages industriels


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Les grandes pandémies sont apparues avec l’émergence de l’agriculture, il y a environ 10 000 ans. La biologie moléculaire et les travaux de l’Américain Jared Diamond ont montré qu’elles ont toutes une origine animale et qu’elles ont été transférées à l’homme aux premiers temps de la domestication et de l’élevage, en raison de la proximité entre fermiers et animaux. C’est vrai pour la grippe, la variole, la malaria, la tuberculose, le typhus, la diphtérie, la rougeole, la fièvre jaune, la peste et le choléra... La variole (comme la tuberculose) a été transmise à l’homme par les moutons, les chèvres et le bétail. Ces maladies étaient inconnues de l’humanité avant l’ère agricole du néolithique, soit pendant les sept millions d’années au cours desquelles nos ancêtres n’ont pratiqué que la cueillette, le charognage, puis la chasse et la pêche.
Tout change il y a dix à 12 000 ans au néolithique, avec la sédentarité et la généralisation de l’élevage. Hommes et animaux vivent souvent dans les mêmes lieux, une proximité qui va faire le lit des nouvelles épidémies et contribuer à la santé précaire qui caractérise cette époque.
Le virus de la grippe va s’accommoder parfaitement des bouleversements qui touchent la gestion des ressources alimentaires à partir du néolithique. Ses gènes en effet se présentent sous la forme d’un chapelet de 8 segments d’ARN (« mini-chromosomes ») assez mal arrimés les uns aux autres, ce qui fait qu’ils peuvent facilement se détacher et se recombiner avec les segments génétiques d’autres virus qui se trouvent à proximité. L’insertion de nouveaux segments provenant de virus différents, en particulier d’origine animale, s’appelle une cassure antigénique. Ce sont ces virus nés de cassures qui provoquent les pandémies.
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 SUPER CE SITE D' AILLEURS
 VOIR AUSSI VITAMINE D ET AUTRES LIENS


CELINE LECOQ PEINTRE ANIMALIER

 


SES DESSINS C' EST ICI
 AQUARELLES AUSSI, SYMPAS COMME CE CHAT


 ELLE A EXPOSE A SAINT AUBIN SUR MER LE MOIS DERNIER
QUELQUES BELLES PHOTOS AUSSI

 https://b527123b-a-62cb3a1a-s-sites.googlegroups.com/site/photosdessinsnature/photos/photos-nature/_MG_6599.JPG?attachauth=ANoY7cociJzwWIHGFGQdc3RJGYfpd05mZVCINqtK_uusXkeNPELrjn8TQZpThAPYnsUP0SV-PWMa2B0B86GunfL5LhYbPv-djwOzrBTZJSQdF5S4sJeL2EDX3ihL4V9HaoPqcXbWJoSxqIixZw6wpFyIzc_sBo8v38EX1ARonGWkiqqcUQmaSGbbOugyooSevnJpdHRtMA5Rnk_vg6IBVcf5cHT_8xuS3JJOroXnICf5Y5_IyQ3yQtz6ZlA80QYZlU7lLKxY8C2W&attredirects=0

ACTION: PETITION CONTRE LES TORTURES CAUSEES PAR LA COLLECTE DE LA LAINE SUR LES MOUTONS

LORSQUE JE PARLE DU CALVAIRE QU' ENDURENT LES MOUTONS DES MAINS DES PRODUCTEURS DE LAINE, ON ME RIT AU NEZ!!
 C' EST CERTAIN QU' IL EST DIFFICILE D' IMAGINER CE QUE L' HUMAIN QUI  S' ARROGE TOUS LES DROITS EN ARRIVE A CONSIDÉRER NORMAL DANS L' EXPLOITATION ANIMALE
 QUELQUES VIDÉOS POUR VOUS INFORMER ICI

LA PETITION EST SUR LA PREMIERE IMAGE A GAUCHE MERCI!!


MERCI DE TRANSMETTRE A VOS AMIS, LA LAINE DOUCE ET CHALEUREUSE VA DEVOIR FAIRE PARTIE DE NOTRE PASSE .... GO VEGAN!!


 s first reported by NBC, disturbing PETA eyewitness investigations—the first of their kind—reveal that workers killed, beat, stomped on, kicked, mutilated, and threw sheep around as they sheared them in Australia, the world’s top wool exporter, and the U.S. Please, won’t you help these animals?

As you can see in this groundbreaking video footage, sheep shearers in Australia violently punched these gentle animals in the face and beat and jabbed them in the head with sharp metal clippers and even a hammer. These attacks often left the petrified sheep bleeding from their eyes, noses, and mouths.

vendredi 27 février 2015

2 200 ANIMAUX, PIRE QUE LA FERME DES 1000 VACHES, JUSQU OU IRONT ILS???

SOURCE ET SUITE
 AVEC VIDEO 
BIEN ÉVIDEMMENT ON  N' OSE PAS MÊME IMAGINER LA NON QUALITÉ DE LA VIANDE SORTANT DES TELS BLOCS CONCENTRATIONNAIRES
OSEREZ VOUS EN MANGER?? ERT BOIRE DU LAIT DE CES ELEVAGES???
 BEURK

Après la ferme des mille vaches, voici l’usine des 2200 animaux…
Au sud de Tours, à Monts, une usine laitière pourrait s’agrandir jusqu’à concentrer 2 200 animaux. Collectifs citoyens, associations et Confédération paysanne, représentant les petits fermiers, s’organisent pour contrer ce projet jugé démesuré.

Nouvelle ferme-usine en projet
Après la ferme des mille vaches, exploitation industrielle qui rencontre une grande opposition, voici l’usine laitière des 2200 animaux. Ce projet se passe sur la commune de Monts, à moins d’une vingtaine de kilomètres au sud de Tours. Au programme, une « future concentration sur la commune de près de 2 200 animaux, dans la même usine à lait, c’est-à-dire 420 vaches laitières, 210 taurillons, 260 génisses, 1 300 chèvres ! » explique Hervé Bedouet, agriculteur laitier et membre de la Confédération paysanne d’Indre-et-Loire.
Selon la Confédération paysanne, la fin des quotas laitiers, attendue pour avril 2015, aura pour effet de favoriser l’émergence d’exploitations géantes au détriment des petits élevages. Une hausse de la quantité, une baisse des prix et de la qualité pour une production toujours plus intensive. De fait, cette véritable usine à lait, qui se rapproche de ce qu’on peut trouver en Allemagne ou aux USA, semble confirmer leurs prévisions.
Pour le moment, une enquête publique est en cours et la préfecture n’a pas encore donné son autorisation. Le commissaire enquêteur a rendu un avis favorable pour l’extension de la coopérative, mais a émis des réserves sur l’aspect environnemental, notamment au niveau des captages d’eau. En effet, ce type de production de masse alimente dangereusement les causes des problèmes environnementaux à un moment décisif de l’histoire où la production locale à taille humaine semble plus équilibrée. En attendant, la coopérative et les pouvoirs publics essayent de garder l’affaire discrète, afin de ne pas provoquer de mobilisation nationale contre ce projet. Selon Luc Coubes, membre fondateur d’une Amap et militant de Nouvelle Donne, les pouvoirs publics voudraient éviter à tout prix l’installation d’une ZAD (Zone A Défendre) sur le terrain.
Rassemblement devant la mairie de Monts le 30/10/2014 – source : http://indre-et-loire.confederationpaysanne.fr/
Les opposants s’organisent
De leur coté, les opposants s’organisent. Habitants, Confédération paysanne, associations locales et partis de gauche (EELV, Nouvelle Donne et Parti de Gauche) ont monté le collectif Des fermes, pas des usines pour tenter de se faire entendre par la mairie et la préfecture. Parmi les inquiétudes de la Confédération paysanne : « L’alimentation de l’élevage dépend donc d’achats extérieurs à l’exploitation. Mais il n’y a aucune information sur la qualité des compléments alimentaires achetés. S’agit-il de tourteaux de colza français ? Non-OGM ou OGM ? Ou de tourteaux de soja OGM importés du Brésil et des États-Unis ? Quel est l’impact sur la santé des animaux et sur la qualité des produits comme le lait et la viande ? »
Jean-Marie Bigot, riverain et retraité opposant au projet, explique que la principale crainte des habitants concerne l’épandage des 10 000 mètres cubes de lisier produits annuellement, avec toute la pollution aux nitrates et au phosphore que cela pourrait générer. Les grandes régions d’élevages intensifs, telle que la Bretagne, connaissent bien ce problème. Cours d’eau, sols, nappes phréatiques et littoraux y sont régulièrement pollués par les élevages industriels.
Autre sujet de discorde, qui revient lui aussi régulièrement avec les élevages intensifs : les subventions publiques. Le GAEC (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun, à l’origine du projet) a ainsi touché 107 174 euros entre 2012 et 2013, bien plus que les petites exploitations de la région. « Les aides ne sont pas plafonnées et sont proportionnelles à la taille des exploitations. Les laiteries risquent de se concentrer sur les grosses qui font du volume et de ne plus vouloir collecter les fermes de taille plus “humaine” », explique la Confédération paysanne, qui se bat contre l’agriculture intensive. Conséquences de ces aides proportionnelles : les paysans ont tout intérêt à faire grandir et à intensifier leurs exploitations, au risque de s’endetter et de faire baisser la qualité produite. Au risque aussi de mettre la clé sous la porte ou de se suicider, comme on le voit fréquemment depuis plusieurs décennies.

STOP A L' EXPLOITATION DES ANIMAUX,STOP A L' HYPOCRISIE

jeudi 26 février 2015

LE DOSSIER VIANDE



 UN DOCUMENTAIRE QUI DATE DE 2012 MAIS QUI EXPLIQUE BIEN LE DOSSIER VIANDE ET POURQUOI NOUS EN SOMMES LA AUJOURD' HUI, AVEC UNE PROJECTION DE L' AUGMENTATION ERRATIQUE DE L' HUMAIN, QUEL RECOURS???.
CERTITUDE:  L' EXPLOSION DES MEGA FERME NE SERA PAS LA SOLUTION!!!

MAGIQUE, BONNE JOURNEE APRES CES BELLES IMAGES

LES PREMIERES HEURES SONT MAGIQUES APRES LA NAISSANCE D' UN NOUVEAU NE ICI CE SONT DEUX AGNEAUX, JUMEAUX QUI DECOUVRENT LE JOUR, DANS CE REFUGE OU LEUR VIE NE SERA JAMAIS SOUS MENACE.

A VOIR BON TRAVAIL DE SENSIBILISATION, BRAVO

ACTION:DONNER POUR SOIGNER ET NOURRIR LES CHIENS D' UKRAINE IFAW



IFAW: Nous aidons à nourrir des centaines de chiens abandonnés dans une Ukraine déchirée par la guerre. Notre fonds d’intervention d’urgence est indispensable pour que nos trois refuges partenaires continuent d’opérer.
Les pensionnaires de ces refuges ont besoin de soins médicaux, d’eau potable et de nourriture. Nous avons en outre consenti l’achat d’un échographe et d’un système d’analyse sanguine pour le refuge de Donetsk. Pouvez-vous nous aider dans cette entreprise ?



APPEL AUX DONS
CONTRIBUER SUR CETTE PAGE

ABATTOIR ET VIANDE HALAL

LES VEGAN AU SALON DE L' AGRICULTURE

SOURCE ET SUITE

Puis le silence. Une quarantaine de manifestants vegans issus de plusieurs associations sont venus, jeudi 26 février, tenter de perturber le Salon de l'agriculture, qui se tient à la porte de Versailles, à Paris. Les vegans refusent de consommer le moindre produit issu de l'exploitation animale, que ce soit dans l'alimentation, l'habillement, les cosmétiques... Une jeune femme explique au micro le but de leur action : "Les animaux sont comme nous des êtres sensibles, qui ressentent des émotions. (...) A chaque fois que nous mangeons de la viande, nous enlevons une vie."

"Manger de la viande tue"

"On manifeste pour dénoncer les mensonges du Salon de l'agriculture, qui donne une image de l'agriculture avec des animaux libres, alors que la réalité, c'est 75% des animaux dans des élevages industriels, avec des conditions de vie abominables", ajoute Marie-Pierre, qui est chargée de distribuer des tracts de sensibilisation aux passants. "Le plus grave, c'est qu'on emmène les enfants, qui n'ont même pas conscience du devenir des animaux qu'ils caressent", ajoute la jeune militante.
"C'est vraiment hypocrite, le Salon de l'agriculture. On vient caresser les animaux pour les manger juste après, et on passe sous silence les conditions d'élevage et d'abattage", s'indigne Axel, manifestant d'une vingtaine d'années qui tient une pancarte "Manger de la viande tue"

"Peut-on vraiment se dispenser totalement de viande ?"

Les réactions des passants, majoritairement venus pour visiter le Salon de l'agriculture, sont mitigées. "Ce sont de doux rêveurs utopistes, on ne peut pas se passer des animaux pour l'alimentation humaine", confie l'un d'eux. "Vous véhiculez de fausses idées sur l'élevage. Votre végétalisme, c'est du totalitarisme de la pensée", s'énerve un autre, qui explique avoir travaillé dans l'agriculture. Il reproche aux vegans de ne montrer que les excès, que "les brebis galeuses" du secteur.
 
"Parfois, on se fait traiter de tous les noms, mais il y a aussi des conversations très constructives", relativise Karine, tracts à la main. Justement, un vegan entame une longue discussion courtoise avec Michel, la cinquantaine. Ce dernier expose une opinion tempérée : "Autant il me paraît aberrant de faire souffrir les animaux sans précaution, autant se pose le problème de l'alimentation humaine. Peut-on vraiment se dispenser totalement de viande ? Je n'en suis pas sûr. Par ailleurs, allez expliquer à un éleveur africain qu'il ne peut pas manger ses chèvres."
 
 

SIGNER CONTRE LES MEGA FERMES

Des milliers de vaches et chèvres agglutinées dans d’immenses entrepôts. Bourrées de médicaments. Reliées à des pompes à lait, tandis que le paysan qui s’occupe d’elles est réduit à un simple rouage dans cette énorme machine. Voilà ce que promet l’ouverture de l’usine aux 2200 animaux à l’étude dans la région de Tours. Mais la préfecture n’a pas encore donné son autorisation, et nous pouvons encore l’arrêter.
Cette nouvelle ferme industrielle géante est le pur produit d’un système déshumanisé, qui avilit le métier de paysan et ronge les écosystèmes de la région. Il est à l’opposé d’une agroécologie durable et stimulante pour l’économie rurale, pourtant prônée par le ministre de l’Agriculture. 
Si nous nous mobilisons massivement dès à présent, nous pouvons créer un tapage médiatique tel qu'il forcera le ministre à abandonner ce projet honteux.

Le Salon de l’Agriculture vient de s'ouvrir et cette grand-messe ultra médiatisée est une opportunité unique d’exiger l'abandon de cette ferme inhumaine. 
Cela serait une victoire cruciale dans le combat pour que les exploitations françaises respectent l’environnement, notre santé, le bien-être des animaux et que les agriculteurs ne soient pas mis de côté.

Signez cette pétition et envoyez-la à tous vos proches: Avaaz interpellera Stéphane Le Foll 
lorsque nous atteindrons 100 000 signatures.

https://secure.avaaz.org/fr/non_aux_fermes_animales_gaantes_jb/?bEsWSdb&v=54402
L’année dernière en Picardie, la première “ferme aux 1000 vaches” a ouvert ses portes, malgré l'indignation des habitants de la région et du monde agricole. Aujourd’hui, une quinzaine de méga-projets sont en préparation en France, menaçant toujours plus les emplois de nos agriculteurs. Le pire est que l’État - c’est-à-dire nos impôts - subventionne à coups de millions d’euros ces installations! 

Signez cette pétition pour dire non aux fermes animales géantes, et demander à Stéphane Le Foll de maintenir le cap sans céder aux pressions des lobbies de l’industrie agroalimentaire:


https://secure.avaaz.org/fr/non_aux_fermes_animales_gaantes_jb/?bEsWSdb&v=54402

Nous avons déjà joint nos voix et réussi à protéger les animaux en voie de disparition, les abeilles ou les animaux marins. Cette fois ce sont nos agriculteurs et les animaux d’élevage qui nous nourrissent chaque semaine qui ont besoin de nous. Et c’est un nouveau modèle de société que nous pouvons défendre, ensemble.

mercredi 25 février 2015

VACHES HEUREUSES

TEMOIGNAGE D' UNE INSPECTRICE QUI CRAQUE DEVANT LES SOUFFRANCES ET LA MORT 600 BETES ABATTUES A L' HEURE

SOURCE ET SUITE

Les abattoirs doivent faire face à de nombreuses maladies qui peuvent fragiliser l'industrie canadienne de la viande. Mais selon le Syndicat de l'agriculture, une nouvelle épidémie serait tout aussi menaçante: le stress. Une ex-inspectrice de l'Agence canadienne d'inspection des aliments a accepté de se confier à La Presse à propos des conditions de travail qui ont, selon elle, mis en péril sa santé mentale, et qui pourraient aussi, selon le syndicat, avoir de graves conséquences sur la salubrité des viandes et le bien-être des animaux.
C'était plus facile de me faire taire que de changer les pratiques de l'entreprise»
Au cours de ses 27 années de service en tant qu'inspectrice pour l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) dans les abattoirs du Québec, Josée Masse a choisi à deux reprises de quitter ses fonctions à cause du stress que lui causait son métier. Près de cinq ans après son départ à la retraite anticipé, le regard des bêtes et le bruit de la chaîne d'abattage continuent de la hanter. Mais aussi les menaces et les injures auxquelles elle a dû faire face dans certains établissements qu'elle a visités.
Après des années de silence, Josée Masse est tombée en décembre dernier sur des images d'horreur tournées en caméra cachée dans un abattoir de la province. «Je n'ai pas pu m'empêcher d'écrire un commentaire sous la vidéo pour dire que j'avais vu bien pire. C'est à ce moment que la blogueuse Annick Blais m'a contactée et que j'ai accepté de lui raconter mon histoire», se souvient-elle (pitiemangemoipas.com).
Chaque jour, pendant près de trois décennies, l'ex-inspectrice a dû cibler les animaux qui présentaient des maladies ou des handicaps, du transport à l'abattage, en s'assurant que le bien-être animal soit respecté, mais aussi évaluer une à une les carcasses qui défilaient sur la chaîne.
Au début de sa carrière à l'ACIA, elle a fait ses premiers pas dans de petits abattoirs qui avaient le souci du travail bien fait. «Je m'attendais à retrouver d'aussi bonnes conditions partout. Ça n'a pas été le cas», raconte Mme Masse, qui s'est rapidement retrouvée dans un abattoir de poulets qui roulait à 10 000 bêtes à l'heure.
C'est quand elle a rejoint des établissements qui abattent de plus gros animaux que les choses se sont gâtées.,,,,,,,,,
 ........................
.....................Au Québec, un abattoir moderne de porc tue en moyenne 600 bêtes à l'heure. Un rythme effréné que les inspecteurs doivent suivre pour repérer les carcasses problématiques.
SUITE

TESTS SUR ANIMAUX POUR COSMETIQUES, TOUJOURS EN PANNE DE SOLUTION

Le Règlement qui régit les produits cosmétiques en Europe (n° 1223/2009) a institué le principe de l'interdiction totale des tests sur animaux, tant pour les produits finis que pour les ingrédients, et ce depuis le 11 mars 2013. Mais le règlement REACH, qui vise notamment à renforcer les connaissances sur les substances chimiques, impose parfois qu'elles soient testées sur des animaux, et même dans certains cas quand elles sont utilisées dans des cosmétiques. L'organisation PETA, qui milite pour le bien-être animal au Royaume-Uni, s'en est inquiétée, et a lancé une pétition adressée à la Commission européenne. Qui vient d'y répondre.
Sur son site Internet, l'organisation PETA (People for the Ethical Treatment of Animals – Assocation pour le traitement éthique des animaux) appelle ses sympathisants à "ne pas laisser les expérimentations animales pour les cosmétiques revenir par la petite porte"…
Le texte de la pétition qu'elle propose de signer souligne notamment que "le Règlement Cosmétiques européen est une étape cruciale vers la fin des expérimentations cruelles et odieuses sur les animaux. Cependant, en exigeant des tests pour les substances chimiques utilisées dans les cosmétiques quand il y a une possibilité d'exposition des travailleurs durant le processus de fabrication, [la Commission européenne] porte atteinte aux valeurs morales et éthiques inscrites dans le Règlement Cosmétiques. Il est inexcusable que, de nos jours, des animaux soient contraints de souffrir et de mourir pour des tests d'ingrédients cosmétiques".
Et de conclure en exhortant la Commission à respecter l'esprit du Règlement.
Le problème, qui vient de certaines contradictions entre deux textes européens, le Règlement Cosmétiques d'une part, le règlement REACH d'autre part, n'est pas nouveau. Et la question a été souvent posée, et notamment par l'industrie cosmétique, de savoir comment respecter l'interdiction du recours aux tests du premier quand le second les exige.
En octobre dernier, la Commission européenne avait déjà publié une clarification sur les interactions entre les deux règlements. Elle indiquait alors que les principes du Règlement Cosmétiques pouvaient connaître des exceptions, résidant par exemple dans la nécessité d'évaluer les risques liés à l'exposition des travailleurs ou de déterminer les effets des substances chimiques sur la santé et l'environnement, quand il n'existe pas de méthodes alternatives aux expérimentations animales.
Nouvelle explication de la Commission aujourd'hui avec la publication de sa réponse à la campagne de PETA, dont voici la traduction.

La réponse de la Commission

SOURCE ET SUITE

Le règlement REACH exige de l'industrie qu'elle fabrique, importe et utilise des substances chimiques de façon sûre. Pour ce faire, des informations suffisantes sur les substances dangereuses doivent être disponibles. Pendant de nombreuses années, beaucoup de substances ont été fabriquées et mises sur le marché en Europe, parfois en très grandes quantités, sans informations suffisantes sur les dangers qu'elles représentent pour la santé humaine et pour l'environnement.
Il est de notoriété publique depuis le début de l'élaboration du règlement REACH que la nécessité de réunir ces informations aboutirait à une augmentation de l'utilisation des animaux de laboratoire. Les propriétés dangereuses de certaines substances chimiques ne peuvent pas être suffisamment déterminées avec les méthodes in vitro (non-animales) disponibles actuellement. S'en remettre uniquement à ces méthodes pourrait revenir à sous-estimer le potentiel dangereux de substances chimiques pour les hommes ou l'environnement.
Cependant, la Commission européenne prend sérieusement en compte les préoccupations concernant l'utilisation d'animaux pour les tests. Ainsi, REACH impose aux entreprises d'échanger des données pour éviter des expérimentations animales superflues. Celles qui veulent pratiquer des tests doivent indiquer à l'ECHA (Agence européenne des produits chimiques) les expérimentations qu'elles proposent, et doivent obtenir leur autorisation avant de les commencer. Selon le texte du règlement REACH, les expérimentations animales doivent être évitées au bénéfice des méthodes alternatives et les déclarants ne peuvent présenter des tests sur animaux qu'en dernier ressort.
La Commission travaille également activement au développement de méthodes de tests alternatives, par exemple au travers de l'actuel Programme-cadre pour la recherche. Elle gère l'ECVAM (Centre for the Validation of Alternative Methods – Centre pour la validation des méthodes alternatives), leader dans ce domaine. La Commission a également créé le TSAR (Tracking System for Alternative test methods Review – Système de suivi des méthodes alternatives) pour s'assurer que de nouvelles méthodes prometteuses puissent rapidement être validées à des fins réglementaires, y compris dans le cadre de REACH. Les derniers résultats de ce travail seront publiés via le prochain amendement du règlement sur les méthodes de test.

RETRAITE DE VACHES, YOUPI!!!

CES VACHES ETAIENT DESTINEES A L' ABATTOIR CAR LEUR PRODUCTION DE LAIT ETAIT REDUITE FINALEMENT ILS SE SONT MIS A PLUSIEURS ET ONT PU LES GARDER ... EN RETRAITE ELLES SONT FOLLES DE JOIE ET CELA FAIT PLAISIR

mardi 24 février 2015

DEUX NOUVEAUX LIVRES DE GARY FRANCIONE

SOURCE ET SUITE


Le philosophe américain Gary Francione, professeur de droit et d'éthique animale aux Etats-Unis, n'est pas très connu en France. c'est pourtant l'un des plus importants penseurs de l'éthique animale contemporaine et l'un des plus grands défenseurs des droits des animaux. Deux livres viennent de paraître sur sa pensée : le premier, Introduction aux droits des animaux, publié par les editions de L'Âge d'homme, son livre le plus important. Le deuxième, Bêtes humaines ? Pour une révolution végane, est un ouvrage colectif contenant, entre autres, deux textes décisifs de Gary Francione dont l'un sur la question de la sensibilité des animaux comme étant à l'origine de la reconnaissance de droits : "Prendre la sentience au sérieux" ! 
Il était vraiment temps que la France découvre ce très grand défenseur des animaux dont la pensée mérite vraiment de se diffisuer dans notre société encore très violente à l'égard des animaux. Espérons que ce deux livres y contribuent ! Bonne lecture.    

FERMES USINES LE POINT

SOURCE ET SUITE AVEC LA CARTE

NE PAS OUBLIER D' OUVRIR LES LIENS, MERCI

A  travers la France, une trentaine de projets de fermes-usines sont à l'étude ou déjà en fonctionnement, sur le modèle de la controversée "ferme des 1 000 vaches" en Picardie, selon la Confédération paysanne, syndicat agricole minoritaire, qui en a publié la carte vendredi, à la veille de l'ouverture du Salon de l'agriculture.
Publicité
2 200 animaux sur une exploitation laitière à Monts (Indre-et-Loire), 23 000 porcelets à Trébrivan (Côtes d'Armor)et à Poirou (Vendée), 250 000 poules dans la Somme... Le syndicat fondé par José Bové a recensé pendant un an des projets qu'il considère comme de l'"agriculture industrielle". Ces exploitations sont situées en majorité dans le Grand Ouest et au nord de Paris.
Cliquez sur les projets pour en connaître le détail...

 SUITE

L' HUMAIN EST VRAIMENT UN IGNORANT EGOISTE, LES VIANDARDS BOUFFENT DU CADAVRE SANS LE SAVOIR

250 millions de tonnes de viande consommées.


plaidoyer contre la viande bien documenté....la viande est un cadavre LA VIANDE ET LA SANTé.. LA VIANDE N' EST JAMAIS FRAICHE 60 KG DE VIANDE sont avalés par personne en moyenne/an les maladies augment avec la consommation de la viande etc etc. les maladies de civilisation sont imputées a la viande!! ALORS REVEILLEZ VOUS!!!

FERME DES 1000 VEAUX C' EST PERDU POUR LES VEAUX ET LES ACTIVISTES, LE CENTRE DE L' HORREUR VERRA LE JOUR.

UNE FERME USINE DE PLUS.. INFECT!!!
 
Vendredi, les présidents des chambres consulaires ont officiellement pris position sur la Ferme des 1.000 veaux. C’est un oui franc et massif !
Symboliquement, ils sont venus reprendre le terrain occupé ces derniers temps par les animalistes et les contestataires de tout poil opposés à la création d'un centre d'engraissement industriel dans le sud de la Creuse : « c'est officiel, le monde de l'économie soutient ce projet » a dit avec force Jean-Philippe Violet, président de la Chambre départementale d'agriculture. Pour lui, il faut accompagner toutes les initiatives : « car à force de tout critiquer, on finit par ne plus avoir grand-chose. Nous étions là depuis le début, dès les premières réunions, et nous serons là jusqu'au bout ».
Le sud Creuse ne veut pas mourir ! Vendredi, ce sont les décideurs économiques du département qui se sont rassemblés sur le site de Saint-Martial-le-Vieux pour dire tout le bien qu'ils pensent de la Ferme des 1 000 Veaux, avec un leitmotiv : le sud Creuse ne veut pas mourir !
« Nous arrivons à 4 habitants au kilomètre carré, notre territoire est déjà très dépeuplé. Il faut que l'on arrive à conserver des jeunes sur place en faisant en sorte que nos exploitations soient de plus en plus viables » a expliqué Michel Lacrocq, le président de la SAS Alliance Millevaches à l'origine du projet.
Tour à tour, le président de la Communauté de communes des Sources de la Creuse puis les présidents des chambres consulaires ont pris la parole pour défendre un projet économique capital, selon eux : « nous le soutenons car il est l''uvre de 50 agriculteurs qui veulent mieux valoriser la production locale, il est porté en tant qu'atelier-relais par notre Communauté de communes grâce au plan local de redynamisation du camp militaire de La Courtine » a souligné Jean-Marc Michelon. Celui-ci rappelle que ce sont des entreprises locales du BTP qui travaillent sur le chantier, « toutes creusoises et corréziennes », à l'exception d'une société du Cantal. « Avec les financements de l'État, de la Com-com, du Conseil général, notre but, c'est de valoriser le travail local ».
« C'est de l'éco-construction » Il insiste sur le caractère écologique de la construction : « une toiture en photovoltaïque, un champ photovoltaïque derrière et une société de méthanisation qui va s'installer juste à côté », bientôt imité par le président de la Chambre des métiers, Francis Mathieu : « le bâtiment est une transformation du bois de pays, du sapin, abattu sur le site et transformé à côté. C'est une démarche d'éco-conception et d'éco-construction que l'on ne peut pas ne pas cautionner. C'est aussi du business pour les entreprises du bâtiment et les charpentiers du Limousin qui en ont largement besoin. Si ce projet indispensable est retardé, ils connaîtront tous un énorme problème sur le carnet de commandes. Or ce qui est fait là, ne demande qu'à être multiplié par dix ailleurs ».
À ses côtés, le représentant de l'entreprise Colas acquiesce : « c'est un chantier de plus, et aucun ne doit être négligé. Actuellement, sur la région Limousin, 750 personnes sont sous le régime de l'activité partielle du fait de la baisse de commandes des collectivités territoriales. Pour le moment, il n'est pas urgent de venir ici au vu des conditions climatiques, mais ce serait bien que ce chantier redémarre rapidement » assure Jean-Marc Pouzaud, chef d'agence de la Brionne. Même réflexion chez l'entreprise familiale TTPM Aubusson : « on attend avec impatience la reprise de ce chantier » note Angélique Bartaire.
Jean-Philippe Violet a fait un vibrant plaidoyer pour l'emploi et l'engraissement, « on a assez reproché à la Creuse de ne pas « finir » ses animaux. Nous sommes dans un pays de droit, des gens ont eu un projet. Dans un pays où il y a trop de lourdeurs, trop de chômage, il faut les mettre sur un piédestal et saluer l'initiative. Ce que nous refusons, c'est que l'on empêche des gens de travailler dès lors qu'il y a des règles et qu'elles sont respectées. Maintenant, il faut que tout cela aboutisse très vite ».
Christophe Belhomme

tafic de la viande de chiens en Asie

en Angleterre le meeting.. photos tres dures bien sur... en Thailande une loi a ete signee contre la viande de chien garce a leur action...

lundi 23 février 2015

LAURENT PINATEL

le principal opposant a la ferme des 1000 vaches, porte parole de la confederation paysanne. des fermes a taille humaine, un retour a la ferme traditionnelle la ferme usine n' a aucun sens pour la France!!! c' est le message a Hollande

HORS SUJET: DE VILLIERS , POUTINE ET LES ACCORDS DE MINSK

SOURCE ET SUITE

 COMME CELA FAIT PLAISIR D' ENTENDRE UN AUTRE SON DE CLOCHE QUE L' ETERNEL BASHING CONTRE POUTINE...
EXCELLENT ARTICLE D' UN HOMME CULTIVE QUI CONNAIT BIEN L' HISTOIRE DE LA RUSSIE ET MAITRISE  LA GEOPOLITIQUE..

Une fois n'est pas coutume, vous saluez donc l'initiative de François Hollande?
Oui, car l'Europe ne doit plus écrire son avenir avec le stylo américain. François Hollande s'est comporté en chef d'État sans prendre garde aux consignes américaines. Il a su résister à la prétention des États-Unis d'exiger l'entrée de l'Ukraine dans l'Otan. Désormais, il faut encourager la France à aller au-delà de cette première phase positive d'émancipation. François Hollande doit maintenant livrer le Mistral à la Russie et respecter ainsi le contrat commercial signé par la France et payé par les Russes à hauteur d'un milliard d'euros. Il doit également lever les sanctions qui sont aujourd'hui des actes de guerre encore plus défavorables à l'économie française qu'à l'économie russe et ne touchent aucunement l'économie américaine. Mais le plus important, plutôt que de s'entêter à construire l'Europe artificielle de Maastricht, sera de préparer demain la seule Europe viable et raisonnable pour mettre en œuvre un grand partenariat stratégique et culturel avec la Russie, l'Europe de l'Atlantique à l'Oural.

ACTION:PETITION CONTRE LES MEGA FERMES

C' EST ICI POUR SIGNER EN LIGNE


CI DESSOUS LE TEXTE DE LA PETITION: 


Monsieur le ministre de l’Agriculture,

Vos récents propos annonçant que vous vous apprêtez une nouvelle fois à assouplir les autorisations d’agrandissement des élevages industriels tout en réduisant et en allégeant le nombre des contrôles ciblant ces usines m’ont scandalisé.

Alors même qu'une écrasante majorité de Français (87%) souhaitent que la politique agricole favorise les «petites exploitations qui privilégient la qualité des produits», selon un sondage Odoxa publié dimanche dans Le Parisien ;

Alors même que la situation dramatique de l’agriculture en général et de l’élevage en particulier devrait vous amener à changer de politique ;

Vous semblez prêt à donner raison à cette minorité de productivistes :
■ qui polluent nos sols et nos rivières,
■ qui produisent à la chaine une alimentation de piètre qualité,
■ et qui confinent les animaux dans des univers concentrationnaires inacceptables.

Ce "modèle" industriel nous rend dépendants des marchés spéculatifs et des importations d'aliments pour bétail, il détruit le tissu agricole, augmente le chômage et bafoue les attentes sociales. Il est grand temps que l’agriculture cesse d’être le monopole d’une minorité agissante.

Il est plus que nécessaire d’ouvrir un vaste débat sur l’avenir de l’agriculture prenant en compte les aspirations de la société à plus de qualité et de respect de l’environnement.

La politique agricole doit enfin être co-élaborée par les citoyens, dans une nouvelle démarche de type "États généraux de l'agriculture" associant :
• les associations environnementales,
• les organisations de consommateurs,
• les acteurs de la solidarité internationale,
• les associations de médecins,
• l'ensemble des acteurs du milieu rural -
• et bien sûr la diversité des organisations paysannes (incluant les syndicats minoritaires, les organisations de l'agriculture biologique, les CIVAM, etc.).

Je vous prie de recevoir, l’expression de ma considération respectueuse.

mon prénom mon nom (mon adresse postale)
mon adresse de courriel

dimanche 22 février 2015

BAISSE DE CONSOMMATION DU LAIT, NON AUX FERMES INDUSTRIELLES

LE PROBLEME EST MAL VU EN PARTIE, LE LAIT EST DEVENU DU POISON LES CONSOMMATEURS NE SONT PLUS DUPES. DONC SI VOUS VOULEZ VENDRE DU LAIT COMMENCEZ A BIEN TRAITER LES VACHES............

DINGUE!!

BON APPETIT, ANNE DE LOISY


 

SOURCE/ACHAT
CRÉDIT PHOTO

QUAND ON PENSE QU' IL EST SI FACILE DE DIRE NON A LA VIANDE!!!!!!!!!!!!


QUAND VOUS PENSEZ SAVOURER UN HAMBURGER IL Y A DE FORTES CHANCES QUE VOUS CROQUIEZ EN FAIT DANS UN DÉCHET IMMONDE DE VISCÈRE  OU UNE BACTÉRIE MORTELLE....


Manger de la viande : un risque ou un plaisir ? Une enquête approfondie sur un sujet encore largement tabou...

Depuis la crise de la vache folle, notre pays se targue d'avoir l'une des
meilleures viandes au monde et d'être à la pointe de la sécurité alimentaire. Le
message des industriels de la viande se veut clair et rassurant : « La viande est tracée
et contrôlée de la fourche à la fourchette. » Les Français peuvent savourer en paix.
Cela tombe bien, nous consommons en moyenne 84 kilos de viande par personne et
par an.
L'envers du décor est beaucoup moins idyllique. Depuis quelques années,
plusieurs rapports des inspecteurs vétérinaires européens, du ministère de l'Agriculture
ou encore de la Cour des comptes tirent la sonnette d'alarme. Abattoirs non conformes,
carcasses contaminées, prédominance de l'abattage halal et casher pour des raisons
économiques, diminution du nombre d'inspections vétérinaires, absence de sanctions.
Conséquences ? Des tromperies à répétition, des intoxications alimentaires et des
maladies qui peuvent affecter gravement jeunes enfants et personnes âgées.


Bon appétit ! dresse un bilan sans concession et vous donne les clés pour mieux
choisir votre alimentation.

BOUCHERIE A L' ABATTOIR, ANIMAUX DECOUPES VIVANTS!!!!

SOURCE ET SUITE


Anne de Loisy : Normalement, il doit y avoir un vétérinaire dans chaque abattoir. Dans la réalité, il n’y en a pas ou très rarement. On ne décèle plus les abcès sur les animaux par exemple. Un boucher consciencieux se rendra compte du problème et les enlèvera. Mais en industrialisation, quand on fait du steak haché, tout est broyé, abcès et ganglions compris. Dans l’abattoir de Jossigny, en Seine-et-Marne, le directeur de l’établissement m’a avoué que, faute de contrôle vétérinaire, c’est la caissière qui s’occupait de faire un premier diagnostic de l’état sanitaire des animaux et de mettre de côté les malades, blessés ou fiévreux.
Comment êtes-vous parvenue à enquêter dans ce milieu qui refuse toute transparence ?
A.d.L : J’avais déjà réalisé un sujet pour « Envoyé spécial » diffusé lors de la campagne électorale. J’ai alors pu accéder à certains abattoirs grâce à des associations comme l’Oeuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs (OABA) qui a accepté de me présenter comme une de leurs assistantes. Puis j’ai poussé d’autres portes grâce à des techniques d’infiltration. J’ai visité une quinzaine d’établissements en tout.
Qu’avez-vous constaté ?
A.d.L : L’industrialisation est le vrai problème. On doit abattre entre 50 et 60 vaches à l’heure, soit une par minute ! Celles-ci sont découpées encore vivantes alors que la réglementation stipule que l’on doit attendre la mort avérée de l’animal. Pour des questions de rentabilité, les abattoirs ont été centralisés. Suivant certains endroits, les éleveurs n’ont pas d’autres choix que de faire abattre leurs bêtes de manière rituelle ; halal ou casher. Si un éleveur d’Ile-de-France veut faire étourdir ses bêtes, il devra sortir du département et parcourir 380 kilomètres de plus. Alors désormais, quand on mange de la vache, un morceau sur deux est abattu de manière rituelle. C’est 95% pour l’agneau et entre 20 et 40% pour le poulet.

« L’industrialisation de l’abattage nuit à l’homme »

Pourquoi ce type d’abattage est-il en train de devenir la norme ?
A.d.L : C’est plus économique et plus simple pour l’abatteur. Les abattoirs qui pratiquaient les deux systèmes (conventionnel et rituel) étaient obligés de nettoyer les chaînes entre chaque. Entre temps, certains employés ne travaillaient pas, ce n’était donc pas rentable. Passer au tout rituel permet de réaliser des économies et de supprimer le poste d’étourdissement. Le problème également, c’est la formation des sacrificateurs. J’en ai vu un très expérimenté et habile. A contrario, j’ai, dans un second cas, assisté à une scène d’atrocité. Le sacrificateur, pas formé et apeuré, tranchait le cou des bêtes comme s’il coupait du pain. Pourtant, le sacrificateur musulman ou juif a pour obligation d’alléger au maximum la souffrance des bêtes.
Quel est le risque sanitaire ?
A.d.L : Il y a un risque de régurgitation. Le fait que l’œsophage ne soit pas ligaturé ouvre la porte à des bactéries présentes dans l’appareil digestif de l’animal. Elles peuvent se déverser sur les viandes de tête, de gorge et de poitrine. Si on prend la loi au pied de la lettre, tout doit être prévu pour que ce soit propre. Les parties contaminées doivent être ôtées. Mais si on n’enlève une grande quantité, on perd de l’argent. Alors une fois de plus, on raccourcit le process.
Animaux gavés d’hormones, malades, stressés, viande contaminée par le ténia, E.coli… Finalement, comment acheter « sainement » ?

 SUITE

CHUTE DE LA CONSOMMATION DU LAIT , DESAMOUR!!!!!

SOURCE ET SUITE

AMUSANT.. ILS ONT OUBLIE DE PARLER DU PHENOMENE VEGAN...OU MEME SIMPLEMENT VEGETARIEN ET DES LAITS VEGETAUX QUI ENVAHISSENT DES ETAGERES COMPLETES DANS LES HYPER AU RAYON BIO!!
EN TOUS CAS VOILA UNE EXCELLENTE NOUVELLE!!!

Les Français ont-ils perdu le goût du lait? Les ventes françaises de lait liquide ont affiché un recul de 2,9% en volume en 2014, d'après les derniers chiffres de Syndilait, l'organisation professionnelle qui réunit les fabricants de laits de consommation, publiés ce vendredi. Depuis 2011, la consommation des ménages a reculé de 3,2%. Le lait longue conservation standard UHT (demi-écrémé, écrémé ou entier) - qui pèse pour 77% du marché - a été particulièrement touché, avec une baisse de 4,4% l'an dernier. Tout comme le lait frais (-3,1%) ou les laits de chèvre (-1,9%). Seuls les laits spécifiques ont vu leurs ventes augmenter (+3,9%), mais la croissance de ces laits bio, vitaminés, aromatisés, de croissance ou enrichis n'a pas suffi à compenser la mauvaise performance du cœur de marché.
Selon Syndilait, tous les circuits de distribution traditionnels sont concernés par ce désamour des Français pour le lait, surtout le hard-discount où les ventes se sont effondrées de 10,5%. «La filière française du lait de consommation, qui représente un total de 24.000 emplois en France, dont 6000 directs, est aujourd'hui en grand danger et risque à terme de disparaître», s'alarment les professionnels, qui en appellent à «l'engagement citoyen» des consommateurs. «Les professionnels sont, en effet, confrontés à des conditions de marché de plus en plus difficiles, avec une guerre des prix entre distributeurs, des ventes en baisse, ainsi qu'un afflux croissant de laits d'importation qui déstabilise la filière française.»

CONFEDERATION PAYSANNE, TENEZ BON SVP POUR LES VACHES ET NOS PAYSAGES!!!

SOURCE


 VOILA COMMENT LES ANIMAUX ET LES PAYSAGES VONT DISPARAITRE DE NOTRE PAYS..
 COMMENT DIT ON ALLEZ VOUS FAIRE VOIR EN ESPERANTO ??? OU PLUTOT EN ALLEMAND EN HOLLANDAIS ET AUTRES LANGUES DU NORD????

Depuis des années, les éleveurs savent que les quotas vont disparaître. Pas certain pour autant qu'ils soient prêts à y faire face. «Si l'on considère que la diversité des exploitations laitières et leur nombre sont une richesse, nous serons prêts, assure Thierry Roquefeuil, président de la Fédération nationale des producteurs de lait. Par contre, si l'on prend en compte le modèle de l'Europe du Nord, avec de grandes fermes dont les débouchés sont des produits standardisés sans goût ni saveur, nous ne sommes pas prêts pour répondre à ce marché-là.»
De fait, les éleveurs français ont du mal à être compétitifs par rapport à leurs concurrents étrangers sur les produits à faible marge comme l'emmental. «Nous nous situons dans la moyenne basse européenne», reconnaît Thierry Roquefeuil. En revanche sur les marchés mieux valorisés, comme les fromages plus haut de gamme (comté, munster...), les éleveurs de l'Hexagone sont en bonne position dans la course pour les marchés à l'export. «Nous avons de nombreux atouts comme la qualité et la traçabilité du lait qui nous ont permis de gagner des marchés à l'international», assure Dominique Chargé, président de la Fédération nationale des coopératives laitières (FNCL).
L'ouest de la France s'inscrit dans une dynamique laitière forte avec trois projets de construction de grande tour de séchage pour acheminer du lait à l'étranger, notamment en Chine pour les enfants. «Cela nous assure de gros débouchés, explique Yannick Bouillis, agriculteur en Bretagne. Il y a de l'avenir pour celui qui croit dans le lait. Je rencontre de nombreux voisins qui abandonnent le lait au profit des céréales à cause de toutes les contraintes. Nous sommes prêts à produire plus si on nous le demande.»

Doubler la taille moyenne des exploitations

En 1984, la France comptait trois fois plus de producteurs de lait (230.000 contre moins de 70.000 aujourd'hui) et produisait la même quantité, soit environ 24 milliards de litres. «Nous avons la capacité de faire 30 milliards de litres de lait dans les dix ans à venir, même si pendant la même période la moitié des chefs d'exploitation partiront à la retraite», ajoute Thierry Roquefeuil.
Pour atteindre cet objectif, la taille moyenne d'une exploitation devra passer de 53 à 100 vaches d'ici à la prochaine décennie. Cette taille reste encore 4 fois moins importante que la moyenne des troupeaux du nord de l'Europe.


 Certains éleveurs comme ceux de la Confédération paysanne s'insurgent contre «cette industrialisation rampante de l'agriculture française qui n'est qu'une dérive destructrice pour les paysans», en pointant du doigt la ferme des 1000 vaches.

TEMOIGNAGE D' UNE VIANDARDE GRAVE CONVERTIE AU VEGANISME

 UN SITE TRES RICHE A GARDER EN FAVORI

""Il y a deux ans, si quelqu’un m’avait dit que j’allais devenir ne serait-ce que végétarienne, je lui aurais ri au nez et j’aurais rétorqué que sûrement pas, d’abord les végétariens sont des abrutis extrémistes et ridicules. J’aurais dit que je m’en fichais pas mal que les animaux meurent et souffrent pour qu’on les mange, j’aurais ajouté qu’en tant qu’omnivores appartenant au règne animal, il était normal qu’on mange d’autres animaux. Peut-être même aurais-je osé avancer l’argument du lion qui mange la gazelle !
Et puis j’ai lu David Servan-Schreiber alors que j’étais en 3ème année de médecine. J’ai trouvé ça passionnant et je me suis intéressée au lien entre l’alimentation et la santé. J’ai drastiquement diminué ma consommation de viande, sans cesser pour autant de penser que le végétarisme était absurde et les militants pour les droits des animaux de drôles de personnes qui se souciaient plus du malheur d’animaux que des pauvres enfants chinois qui fabriquaient nos t-shirts (pensais-je, en continuant d’acheter mes fringues à H&M !).
Puis, peu à peu, à force de côtoyer ma cousine végétarienne et de tomber sur des recettes, j’ai décidé de me montrer plus curieuse. Je me suis inscrite sur un groupe Facebook de végéta*iens en pensant d’abord y trouver un moyen de contredire leurs arguments et de leur prouver qu’ils ne tenaient pas debout. Je suis finalement tombée sur des témoignages intelligents, des articles sérieux sur le végétarisme (notamment sur ton blog, l’un des premiers que j’ai lus et qui a été un important facteur déclenchant de ma prise de conscience) et c’est devenu une évidence : c’était eux qui avaient raison.......SUITE

 

VEGETARISME POUR CEUX QUI S' INTERROGENT

SOURCE ET SUITE

La surconsommation actuelle de produits d’origine animale est directement impliquée dans les maladies dites de "civilisation" qui sont les principales causes de mortalité en occident : cancers (colo-rectal, prostate), maladies cardio-vasculaires, hypercholestérolémie, obésité, hypertension, ostéoporose, diabète de type 2, rhumatismes inflammatoires (goutte), intolérance et allergie au lactose. Ainsi les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité en France et dans le monde.
D’autre part, les modalités d’élevage (animaux confinés en grand nombre, variabilité génétique très pauvre, croissance trop rapide), forment des terrains favorables à l’émergence et à la propagation de pathogènes tels que listeria, salmonelles, campylobacters, E. Coli. Ainsi, selon la FAO, les trois-quarts des nouveaux pathogènes ayant affecté les humains dans les dix dernières années, proviennent des animaux ou des produits animaux. Par ailleurs l’usage important d’antibiotiques contribue à l’antibiorésistance.

Considérant que l’exploitation des êtres sensibles n’est ni nécessaire ni souhaitable, que les productions animales ont un impact considérable sur l’environnement,  les inégalités Nord-Sud et la santé publique, le végétarisme et plus encore le véganisme, sont des formes de consomm’action, des positionnements éthiques et politiques au quotidien, où chaque acte de consommation est porteur de sens et d’espoir pour les animaux, les humains et la planète.


En savoir plus


Rapport de la FAO : Livestock’s Long Shadow
Rapport de la FAO : The Spectrum of Malnutrition

UNE VIE DE COCHON

EST CE CETTE VIANDE QUE VOUS VOULEZ DANS VOTRE CORPS JE TROUVE CELA PLUTOT REPUGNANT, MAIS VOUS ETES TROP NOMBREUX A SEMBLER AIMER ET A ETRE ACCROS A LA VIANDE... BEURK!! PAR VOTRE CHOIX ALIMENTAIRE VOUS ETES EN TRAIN DE PROMOUVOIR ENCORE PLUS DE CRUAUTE ET PLUS A' ABERRATIONS, LES MEGA FERMES FLEURISSENT ET LES BETES QUE VOUS ALLEZ ADMIRER AU SALON DE L' AGRICULTURE SONT UN DECOR HOLLYWOOD!! REVEILLEZ VOUS!!!!

LES ATHLETES VEGETARIENS OU VEGAN

CETTE VIDEO CI JE LA METS POUR UNE NUNUCHE QUI NE REGARDERA SANS DOUTE PAS MAIS TANT PIS.. ELLE PRETEND QU' ELLE MANGE DE LA VIANDE, ET ELLE EN EST FOLLE, UNE VIANDARDE CONVAINCUE!!.......... POUR AVOIR DE LA FORCE.. AHHHHAH

SOJA, VOL DES TERRES, ET ELEVAGE INDUSTRIEL

le vol des terres agricoles en amerique du sud et la destruction des forets pour les agricultures de soja, tout cela pour nourrir les animaux du monde avec du soja qui n' est meme pas adapté a leur diete naturelle... ici argentine principalement mais la foret d' Amazonie ne sera bientot plus qu' un souvenir.. DE PLUS ces cultures de soja sont continuellement pulvérisées de pesticides et cette viande qui est produite apres tant de non sens termine dans vos assiettes!!! temoignages des retombées sur la santé des résidents.

vendredi 20 février 2015

MEGA FERMES DEJA 29 EN FRANCE

Excédée par les fermes-usines qui fleurissent, La Confédération paysanne a dressé une carte interactive de ces fermes industrielles.

Alors que se déroule en ce moment le salon de l’agriculture à Paris, la confédération paysanne en profite pour dénoncer les gigantesques « fermes usines » qui pullulent en France. La Confédération paysanne a ainsi recensé près de 29 de ces fermes à travers une carte interactive.
ituées en grande partie dans le Grand Ouest et au nord de Paris, ces fermes provoquent la colère des agriculteurs qui estiment que ces fermes sont nocives à leur profession. «Nous nous sommes aperçus qu’il y avait aussi des fermes usines végétales» explique Laurent Pinatel, porte-parole de la Confédération. «Ce qu’on nous vend depuis les années 60, c’est qu’il faut se concentrer pour résister. Ce n’est pas la solution: on sauve la production mais pas les producteurs».

SOURCE ET SUITE AVEC LA CARTE

BIENTOT VOIR UNE VACHE DANS UN CHAMP SERA UN MIRACLE!!! COMME LE MONDE DEVIENT TRISTE!

CETTE MALTRAITANCE ANNUELLE POUR LES BETES..... LE SALON DE L' AGRICULTURE DES DEMAIN

CE SERA SANS DOUTE LE SEUL STAND INTERESSANT, MAIS LA ENCORE LES BETES VONT SOUFFRIR DU TRANSPORT ET DE LA FOULE... GRRRR

 SOURCE

 

Plusieurs espèces protégées, propriété du Puy du Fou, ont pris, aujourd'hui, la route du salon de l'agriculture pour y être exposées du 21 février au 1er mars.

Trente-deux. Ils sont trente-deux à avoir quitté les terres vendéennes cet après-midi, peu après 14 heures.
Des moutons de Belle-île, des Landes de Bretagne, des chèvres poitevines, des chèvres des fossés, une vache maraîchine, deux porcs de Bayeux, un lapin rex-castor, deux lapins blancs de Vendée et un lapin chèvre. Tous ces animaux ont deux choses en commun : ils sont en voie de disparition et ils seront exposés au salon de l'agriculture, à Paris.
« On y va pour faire connaître le parc du Puy du Fou mais aussi pour présenter notre travail sur les animaux. On participe à la conservation des races »,  explique Frédéric Boudaud, directeur de l'animalerie du Grand Parc.
Plus d'informations demain dans Ouest-France, édition Les Herbiers.

HORS SUJET: LA FORMULE DE DIEU DE JOSE RODRIGUES

L' EXISTENCE DE DIEU PROUVEE SCIENTIFIQUEMENT??
 ECOUTER L' AUTEUR ICI


José Rodrigues dos Santos, La Formule de Dieu, le Best Seller du journaliste présentateur vedette du 20 H au Portugal traduit en Français.Opus d'une saga vendue à plus de 2 Millions d' exemplaires. Einstein a cherché à prouver l'existence de Dieu...

Printemps 1951, David Ben Gourion, Premier ministre de l'État d'Israël, se rend à Princeton pour y rencontrer Albert Einstein. L'objet de sa visite : obtenir l'arme nucléaire. De l’atome, leur discussion s’oriente rapidement vers l’existence de Dieu... Soixante ans plus tard, Tomàs Noronha, éminent cryptologue, est convoqué par une mystérieuse Iranienne. Il est le seul à pouvoir déchiffrer un manuscrit inédit d'Albert Einstein intitulé « La Formule de Dieu ».
 
Plongé, bien malgré lui, au cœur d'une affaire d'espionnage international, Tomàs Noronha, devenu « agent double » pour Téhéran et pour la CIA, doit très vite se rendre à l'évidence. Ce document secret dépassera toutes les attentes et bouleversera bien l'ordre mondial, mais pas pour les raisons que l'on croit…
 
Un roman historique et scientifique, une enquête entre science et religion.

LA FORMULE DE DIEU dans la presse étrangère :

Rapide, intelligent, mêlant intrigue, rebondissement et science, La Formule de Dieu, de José Rodrigues dos Santos, se place dans la lignée des ouvrages d’Umberto Eco et de Dan Brown. De Téhéran au Tibet, de New York à Coimbra, ce roman tiendra en haleine les lecteurs et fascinera même les agnostiques les plus convaincus. Bookreporter, Etats-Unis.

“Débordant d’idées, ce roman à suspens a tout pour devenir un best seller.” Il Messagero di Roma, Italie.
“Est-il possible de prouver scientifiquement l'existence de Dieu ? En tout cas, en mélangeant avec brio thriller, romance, spiritualité et science, José Rodrigues dos Santos a trouvé la formule pour ... séduire les lecteurs.” El Mundo, Espagne.

“Un roman à suspens doté d’une réelle profondeur. Si Dieu existe, il fera de ce livre un Best-Seller” Misdaadromans, Pays-Bas.

 “Surveillez La Formule de Dieu. Ce roman à suspens magistralement écrit ne tardera pas à devenir un phénomène.” Crimezone, Pays-Bas.

“La Formule de Dieu [...] se place dans la lignée des ouvrages d’Umberto Eco et de Dan Brown.”
 

jeudi 19 février 2015

HERESIES CLIMATIQUES EN JANVIER 2015

PEARL LE COCHONNET DE COMPAGNIE

LE BIO , UN ELEVAGE PLUS ETHIQUE?? NON, PAS VRAIMENT ..




Derrière les images bucoliques... une triste réalité !

Bien que certains élevages "BIO" ou "en libre parcours" puissent générer moins de souffrances que leurs équivalents industriels, il ne faut pas oublier que ces animaux restent toujours considérés comme des "produits de consommation" (de la viande sur pattes), avec une recherche de profit et de rentabilité, toujours au détriment de l'animal (voir ci-dessous).
Par ailleurs, même si les animaux étaient élevés de la manière la plus "humaine" possible, ils seraient encore victimes de la violence des manipulations, de la souffrance lors des transports, et il faut se rappeler que la cruauté, la souffrance et l'horreur de l'abattoir est toujours au bout de la route... (Voir par exemple cette vidéo de 3mns : "Abattage de poules")
Le plus grand danger de ces élevages dits "humains", c'est qu'ils donnent bonne conscience aux "consommateurs", qui sans vraiment le savoir, cautionnent ainsi cette cruauté et cette souffrance intenses:
  • La triste réalité des poules, poulets ou dindes "élevés en plein air" : En réalité, les volatiles sont gardés dans de grands hangars, au sol, avec une densité de 9 à 12 oiseaux au m2 ! L'accès à l'extérieur est refusé, sauf 3 heures par jour, où la plupart du temps, les poules n'ont d'autres possibilité pour se dégourdir les pattes que de se suivre en file indienne dans un étroit couloir grillagé. Le débecquage est courant dans ces types d'élevages aussi ! Et les pauvres corps malmenés par le confinement et la suralimentation, souffrent et s'épuisent. Et que l'élevage soit bio ou pas, ne change pas grand chose, puisque c'est la santé humaine qui est ici seule prise en compte. Et cela permet au producteur d'axer sa propagande sur "des poules heureuses", en montrant même parfois la photo d'une belle poule toute seule dans un grand champs de verdure !...
  • L'élevage en "libre parcours" : C'est déjà mieux, quoi que... Ce type d'élevage, qui peut aussi être BIO, existe notamment pour les vaches laitières, les veaux "de boucherie", les volailles... La réglementation européenne oblige normalement à un accès continuel à un terrain vaste, recouvert en partie de végétation. Mais l'animal reste un produit, le productivisme prime, et dans la plupart des cas, les animaux subissent toujours d'atroces mutilations (testicules des chapons arrachés à vif par exemple), des souffrances profondes dûes à une exploitation contre nature (lait, oeufs), et tout animal peu ou pas assez productif sera éliminé... :
  • Extermination des poussins mâles : Dans les élevages de poules pondeuses dits "humains", les oeufs fécondés sont d'abord séparés des autres, puis comme dans les élevages industriels, à leur naissance, les poussins mâles sont automatiquement exterminés : ils sont collectivement gazés, ou électrocutés, ou bien étouffés dans des sacs, hâchés vivants, ou encore écrasés sous un rouleau compresseur...
  • Cruelle exploitation des vaches laitières : Comme dans les élevages industriels, les vaches laitières dans ces élevages dits "humains", sont surexploitées : Elles subissent là aussi d'épuisantes grossesses à répétition, le plus souvent par insémination artificielle, et sans aucun respect pour elles et pour leur corps. Leur petit veau leur est enlevé presque tout de suite après sa naissance (il faut bien garder le lait bio pour les humains !), ce qui provoque une profonde détresse émotionnelle pour la mère comme pour son petit (chacun appelle l'autre, souvent pendant plusieurs jours...). Ici encore, elles doivent donner du lait, dans des proportions contre-nature ! Et quand elles ne sont plus "rentables", elles sont entassées dans des camions, transportées jusqu'à l'abattoir pendant de longs trajets, presque toujours sans eau, sans nourriture, sans repos, et exposées aux températures extrêmes... Et puis c'est l'enfer de l'abattoir...
  • Et là encore, que deviennent les petits veaux... ? : Les veaux femelles remplacent les vaches laitières moins productives (qui pendant ce temps là sont transformées en steak hâché... bio !). Les veaux mâles quant à eux sont soit tués immédiatement pour leur viande et leur cuir, soit élevés pour leur viande au sein de l'élevage, soit, le plus souvent, ils sont vendus et renvoyés dans le circuit industriel de la viande (voir Elevages Industriels).

MORE ON COWSPIRACY MOVIE...

LA LUTTE CONTRE LE RECHAUFFEMENT QUI NE PREND PAS EN COMPTE LE METHANE PRODUIT PAR L' ELEVAGE EST INUTILE , MAIS LES BIG ELEVEURS NE VEULENT RIEN ENTENDRE ET LES ACTIVISTES QUI LUTTENT POUR LE BIEN ANIMAL ET CONTRE L' ELEVAGE INTENSIF SONT DES CONSIDERES COMME DES TERRORISTES VOICI LE SUJET PRINCIPAL DE CE FILM!!

SUCCES DES ACTIVISTES CHINOIS DANS LA LUTTE CONTRE LA VIANDE DE CHIENS

COWSPIRACY

UN FILM EN TRAILER QUI DEVRAIT DEVENIR UN BUZZ
QUE VOUS POUVEZ VOIR EN PAYANT, OU COMMANDER EN DVD
 ICI


mercredi 18 février 2015

VOL DE CHIENS POUR TRAFIC DE VIANDE EN THAILANDE, SOI DOG

 Me shortly after I arrived.


BOONROD,  CHIEN RESCAPÉ NOUS PARLE
 VOICI SON HISTOIRE
 POUR D' AUTRES HISTOIRES DE RESCAPÉS DU TRAFIC CLIQUER SUR LA DERNIÈRE LIGNE PLUS BAS...



 

 

They called me Boonrod, because it means 'survivor' in Thai. xxx, because of you, I’m the luckiest dog in Thailand!
I wanted to tell you my story, so you know what a big difference you made when you signed Soi Dog’s petition to Thailand's Prime Minister.
When I was a puppy I lived with a nice family. I never knew how bad people could be until those very bad men grabbed me.
They tied up my legs and squashed me into an awful metal cage with lots of other dogs. We were all scared and hurting and whimpering. Then things got even worse. 
The men took us to a terrible, terrible place. Dogs like me were hanging from the roof without their skins. I was so afraid. One man had a knife, and he smelt like fear and death.
Every day that man took more dogs from their cages. I wish I could forget the sounds they made.
The dogs cried and whelped until they went quiet forever.
When the knife man came for me, there were only a few of us left. I was so frightened that I was shivering.
But then something amazing happened - good people came running into the shelter and saved me! They held the knife man and then they opened my cage and untied my legs.
Some of them were people from Soi Dog. I was scared they would do more bad things to me. But they stroked me, and said things to me in soft, kind voices, so I knew they must be OK.
They took me back to a shelter, where every day people pat me and are kind to me. The people here give me a roof over my head, yummy meals, and all the water I need. Sometimes the vets check on me, but they are very gentle.

I’m still pretty scared of people I don’t know. But I’m starting to think that most people are good again. Perhaps one day I’ll even find another family like I used to have.

Feeling safe is the best thing. XXX, if you hadn’t cared so much, things would have been very different for me. The knife man would have hurt me terribly until I was dead.
Because of you, that man will also be punished for the cruel and horrible things he did to my friends. I hope they put him in a tiny cage forever and tie up his legs.
Thank you for changing my life.
Sniffs and licks,
Your friend Boonrod

PS. Here are some photos and a story that the people at Soi Dog wrote about me.



CONTRE TAFTA/TTIP MERCI DE SIGNER

Incroyable! Notre campagne contre le TAFTA/TTIP (partenariat transatlantique de commerce et d’investissement avec les États-Unis) et le CETA (accord économique et commercial global avec le Canada) a atteint plus d'un million de signatures en moins de six mois! La pression sur les leaders européens ne cesse de monter à mesure que nous nous approchons des 2 millions de signatures. À ce rythme, nous les aurons avant Pâques. Pouvez-vous nous aider à atteindre cet objectif?

Rejoignez le mouvement et stoppons net ces dangereux traités de libre-échange.

____________________
Deux traités de libre-échange pourraient être le plus grand coup de force de l’histoire du secteur privé. Nous organisons donc une initiative citoyenne européenne contre le TAFTA/TTIP et le CETA avec 250 organisations partenaires dans toute l’Europe.C’est une occasion unique d'empêcher les corporations telles que Nestlé et Monsanto d’avoir encore plus d’influence sur nos gouvernements. Joignez les centaines de milliers de personnes exigeant que l’Union européenne coupe court au TAFTA/TTIP et au CETA ! Signez dès maintenant !
Signer la pétition


L’Europe et l’Amérique du Nord négocient en ce moment même deux accords de libre-échange qui pourraient devenir les plus gros coups de force du secteur privé de l’histoire -- le partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP ou TAFTA avec les États-Unis) et l'accord économique et commercial global (CETA, avec le Canada). Ces traités sont semblables à une liste de cadeaux de Noël rédigés par les grandes entreprises multinationales : tribunaux secrets qui ont le pouvoir de traîner nos gouvernements en justice, la disparition des régulations en matière de santé et d'environnement et enfin la dérégulation des standards de travail.

Les grands perdants de ses accords : les gens ordinaires comme vous et moi.

Rien de surprenant ! Jusqu’à présent seuls les lobbyistes du secteur privé ont eu accès aux négociations : de Monsanto à Nestlé, les entreprises se sont toutes précipité à Bruxelles pour s’assurer que leur agenda soient inscrits dans les traités. Les citoyens européens se retrouvent quant à eux devant des portes closes.

Ceci est sur le point de changer.

Faisant équipe avec plus de 250 organisations partenaires dans toutes l’Union européenne, nous formons désormais une initiative citoyenne auto-organisée à l’échelle européenne contre le TAFTA/TTIP et le CETA. C’est une occasion unique de nous faire entendre face aux entreprises.

Signez ici et ajoutez votre voix à l’initiative citoyenne européenne auto-organisée contre le TAFTA/TTIP et le CETA.La stratégie originale était de collecter des signatures dans le cadre d’une procédure officielle de l’Union européenne, l’initiative citoyenne européenne (ICE). Des milliers de membres SumOfUs ont participé à faire de ce projet une réalité. Cependant, étant ralliée à la cause du secteur privé, l’Union européenne refuse de reconnaître l’ICE.Nous ne les laisserons pas refuser au peuple européen le droit de s’asseoir à la table des négociations. Nous continuons d’aller de l’avant avec notre initiative citoyenne européenne auto-organisée.

Si nous obtenons 1 million de signatures dès les premières semaines de cette nouvelle initiative citoyenne, nous pourrons embarrasser la Commission. Ce sera là un énième échec de leurs tentatives de musellement du peuple face aux traités de libre-échange. Nous ne nous arrêterons pas à 1 million de signature. Nous sommes à l’aube de la plus grande initiative citoyenne européenne auto-organisée de l’histoire.

La vraie beauté de cette initiative est sa diversité. Des peuples venant de partout, parlant des langues différentes, avec des expériences uniques, tous unis afin de barrer la route aux grands groupes qui tentent de profiter de nous. C’est là votre chance de prendre part à ce mouvement d’une force incroyable.

Faites entendre votre voix face au TAFTA/TTIP et au CETA dès maintenant !Merci pour tout ce que vous faites,
Fatah, Camille et l’équipe SumOfUs.org
Site de la coalition STOP TTIP
La galaxie hétéroclite des anti-TTIP, Le Monde, 11 octobre 2014

mardi 17 février 2015

ACTION:PETITION CONTRE L' ABATTAGE RITUEL EN UK

C' EST ICI AVEC UNE VIDEO



 RAPPELEZ VOUS QUE LE BOVIN  A LA GORGE TRANCHEE EN PLEINE CONSCIENCE ET QUE SON SUPPLICE PEUT DURER 15 MINUTES AVANT LA DELIVRANCE PAR LA MORT!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

While it is accepted that all religions must be respected there is no doubt what so ever that the slaughter of animals with out a level of stunning that renders them incapable of feeling pain or distress is not acceptable for any reason.
Religious Slaughter aka Halal, causes an animal great pain and distress, the evidence is everywhere, indeed the RSPCA state on their website that:
The Farm Animal Welfare Council (now Committee) (FAWC) report on the ‘Welfare of Farmed Animals at Slaughter or Killing’ June 2003 concluded:
The level of restraint of conscious animals required for slaughter without pre-stunning was far greater than for conventional slaughter.