lundi 30 mars 2015

SUPERBUGS... VIANDES...LA RESISTANCE AUX ANTIBIOTIQUES MENACE LE MONDE

 
The Superbug Apocalyptic Threat Facing The Earth Is Very Real Due To The World's Hunger For Meat
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 DANS LA COURSE EFFRÉNÉE A LA PRODUCTION DE VIANDE, LES ÉLEVEURS PARQUENT DES ANIMAUX DANS DES CONDITIONS EFFRAYANTES, CE NOMBRE DE BETES  CONFINEES ET EN SURNOMBRE TEND A DÉVELOPPER, ET PROPAGER DES MALADIES DE PLUS EN PLUS DIFFICILES A SOIGNER, LES ÉLEVEURS GAVENT LES ANIMAUX D' ANTIBIOTIQUES , MAIS LES BACTÉRIES SONT DE PLUS EN PLUS RÉSISTANTES.... 
 LES CAS EXTRÊMES DE CES ELEVAGES DELIRANTS  SONT VUS EN CHINE ET EN ALLEMAGNE..
 TOUT EST A LIRE, SUPER DOCUMENT!!!  SE PROTÉGER C' EST RENONCER A LA CONSOMMATION DE VIANDES
 GO VEGAN
One of the “apocalyptic” threats facing the Earth is antibiotic resistant bacteria. Infections resistant to antibiotics are kill well over 100,000 people worldwide and independent panel has estimated that global deaths could soar to 10 million a year by 2050 at a cost to the economy of $100 trillion. Even the FDA has conceded that if we don’t phase out antibiotic use in farm animals, the world may be vulnerable to killer diseases in the future.
Due to the vast uses implemented for antimicrobial drugs in both humans and animals, they have contributed to the development of antimicrobial resistance. It is imperative that we begin to eliminate the use of drugs from the food supply.
In the first estimate of its kind, researchers calculate that farmers globally feed 63,000 tonnes of antibiotics to chickens, pigs and cattle every year — and that will climb by 67 per cent, to 106,000 tonnes, by 2030.
Governments around the world consider antimicrobial-resistant bacteria a major threat to public health. Illnesses caused by drug-resistant strains of bacteria are more likely to be potentially fatal when the medicines used to treat them are rendered less effective.
Most of the increase in antibiotic use is expected to be in middle-income countries, but once resistant bacteria appear, they can spread round the world. The problem is getting worse as people become more prosperous and eat more meat and dairy. For example, Tim Robinson of the International Livestock Research Institute in Nairobi, Kenya, and his colleagues calculate that the total biomass of livestock around the world now outstrips that of people, illustrating the size of the demand.

Factory Farming

Traditionally, livestock foraged for grass or scraps in pastures or alleys, but producers worldwide are increasingly switching to intensive production with animals fed in crowded barns, as is already done in rich countries. Low doses of antibiotics are routinely added to the animal feed whether or not they are sick, to make the livestock gain more weight per gram of food eaten and boost farmers’ slender profits.
Use of antibiotics leads to resistant strains of bacteria in animals and in the environment. (Thus, if you get sick from Salmonella, for example, the strain may be resistant to many antibiotics.) Meat from corn-fed cattle is also far more contaminated with E coli bacteria, partly because corn interferes with ruminant digestion, and partly because the animals are crowded together in filthy conditions. E. coli levels are much lower in grass-fed cattle.
Some 80 per cent of the antibiotics consumed in the US go to livestock, but there were no figures for global consumption. To find out, Robinson’s team looked at the amount of antibiotics farmers in rich countries feed to their intensively reared livestock. Then they mapped pig, chicken and cattle populations worldwide, noting the proportions that are raised intensively, and how that is predicted to grow over the next decades. With the help of a computer model they calculated the antibiotics consumption of each country’s livestock.
China is the worst offender, with its livestock consuming 15,000 tonnes a year, 50 per cent more than the US, the next on the list. Surprisingly, given the 2006 European Union ban on antibiotic growth-promoters, Germany is the fourth-highest consumer.

 

SI RARE UN CHIEN QUI AIME LE BAIN

PLANQUEZ VOS ANIMAUX, ALERTE POISON

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Que se passe-t-il à Stoumont? La semaine dernière, 3 chiens et 4 chats ont été empoisonnés à la mort aux rats.

Plusieurs cas d'animaux victimes d'empoisonnement à la mort-aux-rats ont été recensés la semaine dernière dans les environs de Stoumont. Trois chiens et quatre chats ont dû être soignés. Les 4 félins n'ont malheureusement pas survécu. La semaine dernière déjà, deux chiens du village de Burnenville (Malmedy) étaient morts après avoir ingurgité deux boulettes empoisonnées. Le Dr Anne Dester est vétérinaire à Stoumont, elle a soigné les animaux empoisonnés et explique les symptômes : "le symptôme classique ce sont des pertes de sang qui ne ‘arrêtent pas, des coupures, une perte de dents de lait qui saignent indéfiniment, donc là c’est un signe d’appel classique. Puis il y a les autres signes d’appel qui sont moins classiques, vomissements, pertes d’équilibre, apathie, donc un animal qui ne bouge plus."

"Ce n’est pas un concours de circonstances, quelqu’un a mis un anticoagulant dans le but d’éliminer"

dimanche 29 mars 2015

CANTINES ET REPAS VEGETARIENS , ESPERONS QUE CETTE OPTION SERA CHOISIE

Faut-il supprimer les menus de substitution, sans viande de porc, dans les cantines? À l'origine du débat, le maire UMP de Chalon-sur-Saône, Gilles Platret, qui a décidé d'appliquer ce principe au nom de la laïcité. Le soutien de Nicolas Sarkozy à cette décision a divisé jusque dans son camp, illustrant la polémique née de cette décision.
Le Monde publiait jeudi une tribune signée par des personnalités en faveur du menu alternatif. Mais pas exactement celui dont Gilles Platret s'est fait le fossoyeur. Ces personnalités, dont Matthieu Ricard, prônent un repas végétarien à la cantine. «Le repas végétarien, le plus laïc de tous», c'est le titre donné à cet appel. «Le plat végétarien est une solution laïque et œcuménique aux préférences alimentaires de chacun, qui a le mérite de représenter l'alternative la plus simple […]. Le repas végétarien réunit tout le monde.»

source et suite

 

Une autre image de la cuisine française

Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux est cosignataire de cette tribune. Il explique au Figaro l'idée défendue par le texte. «Nous voulons que les cantines scolaires proposent un menu végétarien aussi souvent que possible.» En plus des menus traditionnels, donc. «Pas question de dogmatisme», pour les signataires. Allain Bougrain-Dubourg l'assume, la polémique sur la laïcité a été «l'occasion de formuler des idées qui trottaient déjà dans la tête des signataires». «Nous faisons une proposition crédible et qui n'est pas idéologique», explique-t-il.
«Dans notre article, nous avons évité toute stigmatisation. Nous nous somme abstenus de parler des méthodes d'abattage cruelles qui sont utilisées pour la viande casher et halal, de la traçabilité qui est difficile, mais c'est une réelle préoccupation», affirme le président de la Ligue de protection des Oiseaux (LPO). La philosophie du texte veut ainsi pousser à la réflexion contre la souffrance animale. Allain Bougrain-Dubourg évoque comme autre exemple le «foie gras, emblème de la gastronomie française. Nous voulons donner une autre image de la cuisine de notre pays».

Prendre exemple sur McDonald's

Concrètement, les enfants qui suivent un régime alimentaire confessionnel trouveraient donc dans leurs assiettes un repas alternatif végétarien, et ne seraient pas exclus s'il y a du porc au menu. Mais ils mangeraient également mieux.
Car le texte n'est pas non plus dénué de revendications écologistes. Allain Bougrain-Dubourg évoque l'exemple McDo. «Aujourd'hui leurs yaourts sont bios. C'est bien la preuve que des commandes en nombre et une relation sur le long terme avec les producteurs peuvent abattre l'idée reçue que si c'est bio, c'est cher.» Le modèle industriel pourrait donc être appliqué aux collectivités locales, qui s'engageraient auprès des agriculteurs bio.

vendredi 27 mars 2015

DOSSIER LAIT DE L' INSTITUT POUR LA SANTE NATURELLE


Devez-vous cesser d’urgence de consommer du lait ?

Chère amie, cher ami,

Avant de vous parler du lait et des produits laitiers, sachez qu'il reste encore des places pour nos deux prochains événements :

Mais revenons à nos vaches. Avez-vous remarqué que, depuis quelque temps, la question du lait et de ses vertus et dangers supposés fait à nouveau rage dans le débat public ?

La raison en est simple : la remise en cause des bienfaits du lait de vache se trouve confirmée par le terrain. Au delà des nombreuses études sorties sur le sujet et synthétisées par Thierry Souccar dans son best-seller republié en 2008 [1], un nombre grandissant de patients se sont rendu compte qu'en abandonnant le lait de vache, ils se sentaient beaucoup mieux.

Les supermarchés et leurs publicitaires ne s'y trompent pas. On voit de plus en plus d'offres pour des yaourts de chèvre ou de brebis, présentés comme des produits de substitution.

Pour autant la polémique continue et le consommateur lambda a bien du mal à s’y retrouver.

La ligne officielle n'a pas bougé d'un iota. En France, les autorités recommandent toujours de prendre des produits laitiers trois fois par jour, voire quatre pour les adolescents et les personnes âgées [2]. Même l'Académie de médecine s'est positionnée très récemment pour défendre le lait [3].

Les médias sont plus divisés.

Le Figaro, par exemple, reste obstinément sur sa ligne habituelle. Le journal propose un dossier comprenant des fiches expliquant les bienfaits du lait, sans jamais parler de ses inconvénients [4] ! Rien n'est dit non plus sur l'évolution des pratiques agricoles qui posent plus de problèmes que le lait en lui-même.

Sciences et Avenir, de son côté, semble hésiter. Selon eux le lait est bon pour le cœur mais provoquerait le diabète [5]…

À l'inverse, dans un récent reportage à charge de la chaîne D8, « La face cachée du lait [6] », les journalistes dénoncent une évolution inquiétante des méthodes de production.

Ils s'émeuvent notamment de l'arrivée potentielle en France de fermes géantes. Elles seraient conçues pour réduire les coûts de production du lait (bien sûr) mais aussi développer des sites de production de méthane pour générer de l'électricité (je vous explique comment un peu plus loin) !

Lait et démesure : quand l'économie prend le pas sur la santé

Il faut bien comprendre que le lait de vache représente un marché considérable.

En France, il “pèse” quelques 27 milliards d'euros par an, avec pas moins de 24 milliards de litres de lait produits. La conséquence est claire et nous a été rappelée par le Pr Henri Joyeux dans sa dernière conférence : « Vous avez vu ? 24 milliards de litres de lait… Ils n’ont pas le choix. Il faut vous les faire consommer par les trous de nez, les oreilles, en suppositoires, de toutes les façons… »

Vous trouverez ses explications détaillées et l'enregistrement de cette conférence ici.

Mais en vérité, le problème est européen. Rien qu'aux Pays-Bas, on produit 12 millions de tonnes de lait par an pour un pays dont la surface est 14 fois inférieure à celle de la France. L'Allemagne produit, quant à elle, 30 millions de tonnes de lait par an et caracole en tête.

Pour arriver à ces résultats, il a fallu pousser les vaches à bout. En 1950, une montbéliarde pouvait produire 2500 litres de lait par an. Aujourd'hui, les meilleures frisones donnent 9000 litres par an !

Comme les vaches ne produisent du lait que lorsqu'elles ont mis bas, elles sont donc régulièrement inséminées et donnent du lait en continu.

Leur nourriture naturelle est l’herbe sauvage. Mais de plus en plus, elles sont nourries au maïs et au soja – quand ce n'est pas aux hormones, comme aux Etats-Unis – ce qui change la nature de leur lait.
Alors qu'un lait de vache des pâturages est naturellement riche en oméga-3, les vaches nourries au maïs donneront un lait riche en oméga-6 dont notre alimentation regorge déjà [7].

Dans les fermes à méthane, les vaches passent leurs journées sur des sols en béton. Ces sols percés de trous permettent aux agriculteurs de récupérer leurs déjections. Celles-ci tombent dans un canal où passe de l'eau, puis sont transportées dans une cuve où le biogaz va se former. Relié à un moteur, ce méthane naturel produira de l'électricité.
Mais vivre sur du béton toute l'année n’est pas naturel. Les vaches se blessent. Elles sont plus souvent malades. Par ailleurs, lorsqu'elles s'allongent sur le sol, elle se couvrent de déjections et risquent de s'infecter les unes les autres. Ces vaches sont donc traitées aux antibiotiques très régulièrement.

Résultat des courses : les méthodes actuelles de production du lait, a fortiori dans les fermes géantes, sont mauvaises pour les vaches et dangereuses pour l'homme.

Et le calcium ?

Ceux qui défendent la consommation du lait de vache insistent le plus souvent sur sa haute teneur en calcium.

Et le calcium, comme chacun sait, est bon pour les dents et les os.

Pour autant faut-il vraiment aller le chercher dans le lait ?
Non, car il existe bien d'autres aliments riches en calcium (les crucifères comme les brocolis en sont gorgés et sont excellents à tout point de vue pour la santé [8]). Et le calcium des produits laitiers n'est assimilable qu'à hauteur de 30 % par l'organisme quand 50 à 70 % du calcium des légumes est absorbé.

Sans compter que, comme souvent, les choses sont plus complexes qu'il n'y paraît. Les os ont besoin de calcium et de magnésium, et l'absorption ne se fait bien que si l'organisme dispose de suffisamment de vitamine D.

Bref, si vous voulez soigner vos os, mieux vaut danser au soleil (dans votre plus simple appareil) pour l'apport en vitamine D, et manger des brocolis pour le magnésium que de prendre du lait !

Les facteurs de croissance, un argument massue !

Enfin, si vous n'arrivez toujours pas à convaincre votre ado de limiter sa consommation journalière de « yaya » (yaourt), reste l'argument phare du Pr Henri Joyeux : la question des facteurs de croissance.

Il en existe trois dans le lait de vache :

  • Le Epidermal Growth Factor (EGF) pour la peau de l'animal
  • Le Insulin-like Growth Factor (IGF) pour le tube digestif de l'animal
  • Le Transforming Growth factor pour les muscles et les tendons de l'animal.
Les facteurs de croissance sont nécessaires au développement du veau et lui permettent de prendre plus de 300 kg en un an.
Mais les humains n'en n'ont pas besoin. Ils sont même dangereux pour notre santé car ils peuvent favoriser le développement de certains cancers.

Or le lait moderne vendu dans les supermarchés conserve ces facteurs de croissance.
En effet, le lait stérilisé UHT est passé sous haute température (180°) pendant quelques secondes. Cela tue les germes mais pas les facteurs de croissance.

Pendant longtemps, le lait était bouilli plusieurs minutes avant d'être consommé. Par ce biais-là, on tuait les facteurs de croissance qui sont des ensembles chimiques lourds et résistants. Mais ce serait beaucoup trop long et coûteux pour des industriels de vendre le lait après l'avoir fait bouillir plus de 5 minutes.

En fait, le lait de vache n'est pas nécessairement mauvais en soi, à condition que vous alliez le chercher chez votre voisin dont vous savez que la vache paît dans son jardin planté d'herbe. Mais acheté en supermarché, c'est probablement un poison qui tue lentement, et ce indépendamment des problèmes d'allergie et d'intolérance au lactose ou à la caséine que l'on peut développer par ailleurs…

Naturellement vôtre,

Augstin de Livois


Sources :

[1] Lait, mensonges et propagande, éditions Thierry Souccar, 2 édition 2008

[2] Les produits laitiers : 3 par jour

[3] Le lait : rumeurs et contre vérités 

[4] LAIT : Que contient-il ?

[5] Les produits laitiers, "nos amis pour la vie" ?

[6] La face cachée du lait - En quête d'actualité

[7] Rappelons que sur ce point, le plus important est d'avoir un bon équilibre entre oméga 3 et oméga 6

[8] 5 alternatives au lait pour faire le plein de calcium

LA MAGIE DES AILES, PELICANS SAUVES EN FLORIDE

conditions meteo extremes en fevrier 2015

mercredi 25 mars 2015

MEGA FERME D' ALLEMAGNE, LA FERME DITE DU FUTUR, 900 000 EUROS LA MACHINE

VOILA QUI VA FAIRE ENVIE A CATHERINE NAY
 2 435 MEGA FERMES EN ALLEMAGNE MAIS LES ALLEMANDS NE SONT PAS FORCEMENT D' ACCORD.. MANIF CONTRE L' ÉLEVAGE INDUSTRIEL BILAN CARBONE ALOURDIT, DÉJECTIONS POLLUANTES CAROLINE DU NORD, UN DRONE FILME LA FERME DES 1000 VACHES LA REPONSE DU FERMIER CHEF: IL FAUT FABRIQUER DES VACHES MOINS POLLUANTES.. AHH AHHA AHH ET UN AUTRE FERMIER: UTILISER UNE ROCHE VOLCANIQUE UNE ROCHE QUI ABSORBE L' AMMONIUM LUTTERA CONTRE LA POLLUTION, AJOUTER A L' ALIMENTATION DES COCHONS EN BELGIQUE : ESSAI EUROPÉEN ON ÉTUDIE LES INSECTES POUR NOURRIR LES BÊTES CAR LES CHAMPS NÉCESSAIRES A LEUR NOURRITURE EST TROP RARE ET VOUS QU' EN PENSEZ VOUS???

BRAVO!!! CE JAPONAIS RETOURNE A FUKUSHIMA NOURRIR LES ANIMAUX ABANDONNES

 



CET HOMME BRAVE TOUS LES DANGERS DE LA RADIOACTIVITE POUR  RETOURNER A FUKUSHIMA S' OCCUPER DES ANIMAUX ABANDONNES
 C' EST ICI A VOIR AVEC DE NOMBREUSES PHOTOS
 EN PLUS IL EST  SEUL A VIVRE A CET EMPLACEMENT TOUT LE MONDE AYANT DESERTE

 he untold human suffering and property damage left in the wake of the Fukushima disaster in Japan has been well-documented, but there’s another population that suffered greatly that few have discussed – the animals left behind in the radioactive exclusion zone. One man, however, hasn’t forgotten – 55-year-old Naoto Matsumura, a former construction worker who lives in the zone to care for its four-legged survivors.

He is known as the ‘guardian of Fukushima’s animals’ because of the work he does to feed the animals left behind by people in their rush to evacuate the government’s 12.5-mile exclusion zone. He is aware of the radiation he is subject to on a daily basis, but says that he “refuses to worry about it.” He does take steps, however, by only eating food imported into the zone.

Naoto Matsumura is the only human brave enough to live in Fukushima’s 12.5-mile exclusion zone
 


mardi 24 mars 2015

ADORABLES COCHONS, UN PEU ENCOMBRANTS DEJA MAIS SI SYMPAS

CES COCHONS VIENNENT D' ETRE SAUVES D' UNE INONDATION EN ESPAGNE CE REFUGE EST SUPER!! SANCTUARIO GAIA

BRAVO!! CHIENS SAUVES DU TRAFIC DE CHIENS EN COREE DU SUD

CES CHIENS VIENNENT D' ETRE SAUVES D' UN ELEVAGE EN CHINE. ILS ETAIENT DESTINES A ETRE MANGES!! EN COREE DU SUD CE TYPE DE CHIENS EST LA PLUS COURANT VOUS POUVEZ DEPUIS LA VIDEO SUR YOUTUBE DONNER ET FINANCER THE HUMANE SOCIETY Humane Society International rescued 57 dogs in March 2015 from a dog meat farm in South Korea. The farmer will be transitioning over to an agriculture business instead of farming dogs. The dogs arrived in San Francisco, CA and will be spread out to Emergency Placement Partners with The Humane Society of the United States. We are so thrilled for these dogs to be off the farm and closer to living in their loving forever homes they so desperately deserve.

samedi 21 mars 2015

ETRE OU DEVENIR VEGETALIEN

Être végétalienne signifie pour moi manger sans avoir à tuer un être vivant pour cela. Cela semble naïf, surtout venant de la part d'un traiteur qui a commencé "classique" mais c'est grâce à mon métier que ma pensée a évolué et assez rapidement. Au delà de la prise en compte des conditions majoritairement épouvantables d'élevage, d'abattage et de l'impact environnemental que provoque une alimentation carnée, une véritable philosophie s'est imposée à moi au fur et à mesure de mes recherches, de mes lectures et de ma pratique de la cuisine : le respect des être vivants. Il me semble inconcevable aujourd'hui, pour 5 minutes de plaisir gustatif, d'engendrer une vie entière de souffrance et d'asservissement aux animaux. Et quand ils sont élevés dans des conditions "heureuses", parce que oui, ça existe des éleveurs soucieux du bien-être de leurs animaux, j'ai travaillé avec eux mes premières années de traiteurs, ils finissent dans tous les cas, immanquablement par la case abattoirs, parce que plus rentable, plus efficace. Alors que la cuisine végétale est époustouflante de diversité.
À ma très grande surprise, j'ai des demandes spécifiques même venant de personnes qui ne sont pas végétariennes/végétaliennes mais qui sont positivement surprises par la diversité de plats proposés. L'offre est très réduite et les rares traiteurs qui proposent des plats végétariens ne s'éloignent pas des plats de légumes par méconnaissance des possibilités de cette cuisine. La vraie inquiétude des gens est la façon dont leur repas va être perçu par les invités. J'ai déjà vu des parents refuser de venir aux mariages de leur enfants si le repas était végétarien...C'est extrême mais cela montre à quel point les a-priori sont puissants. Mon travail est de les rassurer et de proposer une offre qui va régaler tout le monde. Comme je dis souvent, lorsque vous devez choisir dans un buffet entre des antipasti, des falafels, des terrines, des salades super colorées et complètes, des makis, des tiramisu à la tomate confite, des crottins de cajou enrobés de sésame grillés, des pains variés...vous cherchez rarement le rosbeef !

APPEL AUX DONS, LES AIDER C' EST NOUS PROTEGER DU E COLI

AFFICHEDEFSOUFFRANCE

ILS LUTTENT CONTRE L' EGORGEMENT SANS ETOURDISSEMENT AFIN DE PROTEGER LE CONSOMMATEUR VIANDARD, ET SURTOUT  D' ACCORDER UNE MORT MOINS DOULOUREUSE A NOS ANIMAUX
 LES REJOINDRE, LES AIDER C' EST ICI

ILS FONT VRAIMENT UN TRAVAIL EXTRAORDINAIRE, LES DONS NE SONT PAS PERDUS!!

NON A L' USINE A COCHONS SABLES D' OLONNE LE 4 AVRIL, VENEZ NOMBREUX

vendredi 20 mars 2015

CHINE LE SCANDALEUX COMMERCE DE LA FOURRURE

ILS SONT ALLES FILMER CE QUI SE PASSE DANS UN ELEVAGE D' ANIMAUX MASSACRES POUR LA FOURRURE EN CHINE. CE SONT DES CHIENS ECORCHES VIVANTS DONT LA FOURRURE SERVIRA A GARNIR DES VETEMENTS...
UNE VRAIE HORREUR!!!

SOURCE ET SUITE AVEC VIDEO
Animal Equality activists infiltrated two farms and a market near Beijing. Each had more than 300 'raccoon dogs'. Video shows grinning worker ripping fur up around live animal's head.
This footage exposes the Chinese fur farms where a distant relation to dogs are skinned alive en-masse and turned into luxury coats sold in the West. Animal Equality activists carried out an undercover investigation into several farms and markets near Beijing, for over the period of three weeks...
 LES CHIFFRES SONT ALARMANTS ET CELA CONTINUE, SUR LA PAGE IL Y A APPEL AUX DONS

....A U.S. report in 2010 said 30 million mink, 25 million foxes and 15 million raccoon dogs were set to be slaughtered for fashion in China that year - up to 15 million on the year before. Most of the country's fur farms - most of which have been built since 1995 - were small family firms, making it harder to carry out checks on the number of animals or their welfare. Europe remains by far the biggest fur farming region, producing 60 per cent of the world's supply.







RECETTES DE HACHE VEGETAL DE SOJA SUN

BAGELS ET VEGETARISME


 Différentes variétés de bagels US


POUR CHANGER DES STEAKS VEGETAUX
 VOICI LA RECETTE DES BAGELS NEW YORKAIS

AVEC QUELQUES RONDS DE TOMATE, DES HERBES FRAICHES, DE L' AVOCAT MAYO OU AUTRE.. UN VRAI REGAL!!

SOURCE ET CREDIT PHOTO
Maintenant que tu visualises mieux ce petit rituel new-yorkais (parce que c’est bien de ça qu’il s’agit !), tu as probablement envie de le tester ! Si tu vis dans une grande ville (et par « grande ville », je parle en l’occurrence de Paris…) peut-être que tu pourras en trouver qui se rapprochent des vrais. Si ça n’est pas ton cas, don’t worry, voici la recette pour des « New York style bagels » faits maison !

 AUTRE RECETTE POUR PLUS PETITE QUANTITE DE FARINE

VICTOIRE DE PETA POUR 25 000 COCHONS ANGLAIS

 philadelphia_pigs_at_cow_sanctuary



belle victoire apres 35 ooo signatures de petition

SOURCE ET PLUS

LA FERME  NE SERA PAS CONSTRUITE
Good news for pigs, bad news for people who seek to abuse them – we’ve just got word that plans to build a monstrous new factory farm in Foston, Derbyshire have been shelved!
The facility proposed by Midland Pig Producers (MPP) would have imprisoned up to 25,000 intelligent animals at a time in filthy, crowded sheds, and sent around 1,000 pigs a week to slaughter. The application, which has been hanging over the area for years, threatened to usher in a new era of US-style intensive farming even worse than the existing factory farms in this country.
Over 35,000 compassionate PETA supporters voiced objections to the proposal by contacting Derbyshire County Council – and your voices made a difference. The proposal had already been rejected by the Environment Agency last month over fears about offensive odours and other negative environmental impacts.
Now, in the face of such strong opposition, Midland Pig Producers have withdrawn their application – a victory for pigs, who are sensitive, interesting animals whose intelligence is on a par with that of dogs and chimpanzees. On factory farms, they have no opportunity to fulfil their natural instincts and often go insane from constant confinement.
Thank you for helping to make sure this appalling facility never gets built!




jeudi 19 mars 2015

BOUCHERIE APRES DES EXPORTATION DE NOS BOVINS ET AUTRES VERS LES PAYS AFRICAINS, MOYEN ORIENT ET TURQUIE


 



source et suite
 avec petition a signer pour que tant de souffrance cesse
 ICI AUSSI
http://action.ciwf.org.uk/ea-action/action?ea.client.id=119&ea.campaign.id=36220#takeaction





 les animaux exportes vers les pays d' Afrique du nord, de Turquie et du moyen orient ne bénéficient d' aucune protection par la loi.
 Donc apres des voyage éprouvant (durant lesquels certains décèdent) les  pays en question disposent de ces bêtes de la façon qu' ils désirent
 d' ou des scènes de torture et d' agonie difficilement imaginables
 Nous pouvons, nous devons q' il reste quelque chose d' humain en nous, signer cette pétition pour dire  ASSEZ!!!!!!!!!!!!!!!


The European Union's animal welfare legislation is regarded as among the best in the world. But exported animals are no longer protected by EU transport or slaughter welfare laws once they leave its borders, writes Olga Kikou.
Olga Kikou is european affairs manager for Compassion in World Farming (CIWF), an international NGO working on the welfare of farm animals and sustainable farming and food.
During 2014, over two million farm animals were exported live from the EU to third countries in North Africa, the Middle East and Turkey. Exports of live animals are on the increase as the farming industry is in search of new markets.
However, serious welfare problems have tarnished this trade. A recent exhibition in the European Parliament called “Live animal exports: the EU’s cruellest trade”, highlighted the suffering involved in long distance live animal transport and the inhumane slaughter that animals often face at journey’s end.
The EU has put in place a number of legislative measures aiming to protect the welfare of animals. EU animal welfare legislation is regarded among the best in the world. However, conditions in third countries are vastly different from those in the EU and exported animals are no longer protected by EU transport or slaughter welfare laws once they leave its borders. In third countries, there is often no level of protection at all and slaughter practices are often in breach of the international standards of the World Organisation for Animal Health (OIE) on welfare of animals at slaughter.





mercredi 18 mars 2015

QU' EST CE QUI SE CACHE DERRIERE VOTRE BACON?? OU VOTRE JAMBON??

VOIR LA VIDEO
Mmmm … mmmm … bacon! There’s nothing better than waking up to the smell of the dead flesh of cute little piggies who had their testicles cut out and the ends of their teeth broken off without any painkillers. Oh, and let’s not forget the part where they are transported through all weather extremes just to end up in a place where they will be

TOMATES ET FRAISES PLUS DE 80 PESTICIDES

SOURCE ET SUITE

Certains fruits et légumes produits sur le sol européen contiendraient jusqu'à 84 sortes de pesticides différents. C'est ce que révèle le rapport annuel de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).

L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a publié jeudi 12 mars son rapport annuel 2013 sur les résidus de pesticides dans les aliments. Les résultats portent sur l’analyse de près de 81 000 échantillons alimentaires transformés ou non transformés, originaires des 27 États membres de l’Union européenne, d’Islande et de Norvège.

L’examen des produits a été mené selon deux programmes. Un premier programme national, établi par le pays concerné, et un autre commun aux 29 États soumis, qui imposait l’analyse de 12 produits : pommes, choux pommés, poireaux, laitues, pêches, seigle, avoine, fraises, tomates, lait de vache, viande de porc et vin rouge ou blanc. 68 % des échantillons analysés ont été produits sur le sol européen, précise le rapport d’étude. 

Dans 99,1 % des cas, les échantillons présentaient des résidus de pesticides situés dans les limites autorisées. Et 53 % du total des produits à l’examen étaient dépourvus de résidus mesurables. De manière générale, l’EFSA note que les produits originaires d’Europe dépassant les seuils de pesticides admissibles sont moins nombreux que les produits importés (1,4 % contre 5,7 %).

Bien qu’ils ne dépassent pas les limites légales, la laitue, les pèches, les fraises et les tomates présentent le plus grand nombre de résidus chimiques. Les fraises sont en tête, avec 84 sortes de pesticides dont 15 pour un même échantillon. C’est à peine moins pour les tomates et les pèches, avec respectivement 82 et 80 types d’intrants.

Parmi les fruits et légumes sélectionnés, le chou et le poireau sont les plus épargnés, avec respectivement 76 % et 67 % des échantillons ne présentant pas de traces de pesticides décelables.

Le bilan est un peu différent pour ce qui est du lait de vache et de la viande de porc. Contrairement aux végétaux analysés, ces produits présentent des traces de POP, à savoir des polluants organiques persistants, pour la plupart interdits en Europe, mais dont on trouve encore des traces dans les sols.


BELLE HISTOIRE DE VACHES

CETTE VIDEO EST MAGNIFIQUE C' EST L' HISTOIRE VRAIE D' UNE VACHE LAITIERE SAUVEE DE L' ABATTOIR QUI ARRIVE AU REFUGE ET QUI SE SOUVENANT DU VOL DE SES VEAUX PAR LE PASSE, CETTE FOIS DECIDE DE CACHER SON PETIT DERNIER AFIN DE LE GARDER AUPRES D' ELLE... CAR ELLE PENSE QUE TOUS LES HUMAINS VOLENT LES VEAUX!!
ELLE A BIEN RAISON D' AILLEURS

VIDEO SOUFFRANCE ANIMALE DANS FERME INDUSTRIELLE LAITIERE AVEC PETITIONS A SIGNER POUR COCHONS ET POULES




CETTE VIDEO REVELE DES CRUAUTES EXTREMES CONTRE LES VACHES DANS UNE FERME LAITIERE INDUSTRIELLE

C' EST UNE CAMERA CACHEE DE CELLES QUE LE LOBBY ELEVAGE VEUT FAIRE INTERDIRE PAS SURPRENANT QU' ILS PREFERENT SE CACHER!!

 GREAT LAKE CHEESE, UN DES PLUS GRAND PRODUCTEUR DE FROMAGES DU MONDE VIENT D' ANNONCER QU' IL ALLAIT METTRE EN PLACE UNE NOUVELLE POLITIQUE DE BIEN ETRE ANIMAL AFIN DE REDUIRE LES SOUFFRANCE DE CES PAUVRES BETES. IL VA INTERVENIR AUPRES DE CHACUN DE SES FOURNISSEURS DE LAIT

 LES DEUX PETITIONS SURLIGNEES EN ROSE SONT POUR LESCOCHONS DES ELEVAGES FOURNISSEURS  DE WALLMART
 ET LES  POULES  FOURNISSEURS DE CHICK  FILL A
 MERCI DE LES SIGNER POUR OBTENIR DES RESULTATS!!

 Great Lakes Cheese, one of the largest cheese producers in the world, has just announced a significant new animal welfare policy that will reduce the suffering of thousands of cows across its dairy supply chain each year.

The new policy follows a shocking undercover investigation by Mercy For Animals at Andrus Dairy in Wisconsin—now a former supplier to Great Lakes Cheese—which exposed workers viciously punching, kicking, and beating animals, hacking off their tails with pruning shears, shooting cows in the face and nostrils with high-pressured water hoses, and dragging them by their necks with ropes attached to tractors.

Watch the undercover video here:


Recognizing the importance of meaningful animal welfare policies to prevent egregious abuse in its supply chain, Great Lakes Cheese is now requiring its dairy suppliers nationwide to abide by new animal welfare standards. The policy mandates:
  • An end to the cruel and unnecessary practice of tail docking by 2018
  • Pain relief during disbudding or dehorning
  • Provision of a safe, clean, and sanitary environment for cows
  • Proper veterinary care for sick and injured animals
While this is one of the most comprehensive animal welfare policies ever adopted by a major U.S. dairy company, we have encouraged Great Lakes Cheese to make this policy more meaningful by engaging third-party auditors to ensure that these standards are enforced.

With Great Lakes Cheese’s announcement and recent similar announcements by Nestlé, Starbucks, and Sodexo, it’s never been clearer that the days are numbered for factory farms that abuse animals. It’s now time for Walmart and Chick-fil-A to stop dragging their feet and use their power and influence to lessen the cruelty animals endure on factory farms.

Click here to ask Walmart to eliminate cruel confinement of pigs in gestation crates.

Click here to ask Chick-fil-A to stop torturing chickens.

lundi 16 mars 2015

COMBIEN D' ANIMAUX MANGEZ VOUS EN MOYENNE DANS VOTRE VIE??

 SOURCE ET SUITE
 EN MOYENNE 27 COCHONS ET 11  VACHES!!?? ET LES AUTRES ANIMAUX COMBIEN??


L'Homme est un carnivore, on le savait. Il est au sommet de la chaîne alimentaire, on le savait aussi. Mais combien d'animaux ingurgite-t-il au cours d'une vie ?
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Selon la fondation Vegetarian Calculator, qui évalue l'impact d'un régime végétarien et végétalien sur l'environnement (et milite pour, donc), une personne ayant un régime alimentaire "omnivore-carnivore" avale environ 7000 animaux au cours de son existence. Ce chiffre est relayé par le site américain USAToday.
Au niveau mondial, un être humain consommerait en moyenne selon cette étude : 11 vaches, 27 cochons, 30 moutons, 80 dindes, 2 400 poulets et 4 500 poissons.
Un bilan qui ne prend pas en compte certains animaux comme les lapins, les canards ou tout autre être vivant pouvant potentiellement finir dans une assiette.
On peut donc aisément ajouter 500 autres animaux aux 7 000 qui passeraient à la casserole selon cette étude.

LIRE:LES ANIMAUX EN ISLAM




 














ACHETER SUR AMAZON ET PLUS D' INFOS

Lorsqu'on est musulman, est-on tenu de manger de la viande ? La viande halal implique-t-elle nécessairement une mise à mort sans étourdissement ? Est-il obligatoire de sacrifier un mouton pour célébrer la fête de l'Aïd el-Kébir ? Peut-on avoir pour loisir des activités contraires à la compassion envers les animaux, comme la corrida ou la chasse ? Autant de questions traitées par cette somme érudite faisant le point de manière exhaustive sur les enseignements islamiques en matière de droits des animaux. Al-Hafiz Basheer Ahmad Masri (1914-1992) est né en Inde. Il obtient une licence d'Arabe à l'Université du Pendjab à Lahore et étudie à la Faculté d'Arabe de l'Université al-Azhar au Caire. En 1961, installé en Angleterre, il est co-rédacteur en chef du magazine islamique de renom The Islamic Review. En 1964 il devient le premier musulman sunnite à être nommé Imam de la mosquée Shah Jehan de Woking en Angleterre. Cet ouvrage majeur en matière de théologie animale islamique est pour la première fois traduit en France par Sébastien Sarméjeanne, sous le contrôle scientifique de Malek Chebel, spécialiste de l'islam et du monde musulman.

BRILLANTE IDEE DE NOUS FORCER A ACEPTER TAFTA/TTIP/POISON

source et suite
 COMME SI NOTRE  ALIMENTATION N' ETAIT PAS DEJA ASSEZ POURRIE...

Branle-bas de combat chez les associations: l’acide peroxyacétique, utilisé aux Etats-Unis afin de nettoyer les carcasses de volaille, pourrait être autorisé dès cette année dans l’Union européenne. En toile de fond, les négociations USA/UE en vue de l’accord commercial transatlantique (Tafta/TTIP).
La pilule avait déjà eu du mal à passer avec l’acide lactique, autorisé en janvier 2013 pour décontaminer la viande de bœuf. Utilisé en abattoir, cet agent chimique avait suscité l’opposition de plusieurs associations de consommateurs, qui craignaient qu’il soit utilisé comme substitut de toute autre précaution sanitaire (comme cela est souvent reproché aux abattoirs américains), plutôt qu’en ajout au système HACCP.
La même histoire est sur le point de se reproduire avec l’acide peroxyacétique (ou acide peracétique), cette fois-ci pour la viande de volaille. Très engagés sur le dossier, les Amis de la Terre affirment que «les responsables de l'UE pour la santé et l'alimentation ont déclaré hier, lors d'une rencontre des parties prenantes, qu'un nouveau produit de rinçage chimique antimicrobien devrait être autorisé cette année pour désinfecter les carcasses et la viande des volailles».
En 2009, les Etats-Unis avaient déposé un recours devant l’Organisation mondiale du commerce (OMC), en raison du refus des gouvernements européens d’autoriser les produits de rinçage, comme la Commission européenne le leur proposait. Car le fait pour l’UE de ne pas autoriser ces produits entraîne une fermeture des frontières à la viande traitée de cette manière, dont celle produite aux Etats-Unis.
Avis positif de l’Efsa
C’est suite à ce différend, et à l’approche des négociations sur l’accord Tafta/TTIP, que l’acide lactique a été autorisé en 2013. L’acide peroxyacétique devrait suivre le même chemin sans trop d’encombre. Fin mars 2014, l’autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) lui accordait d’ailleurs un avis plutôt favorable.
Sans crainte particulière quant au risque sanitaire, elle émettait des doutes sur l’impact environnemental de l’un des composants de l’acide peroxyacétique, le seul à ne pas être biodégradable, le HEDP. Selon les calculs de l’autorité, cette molécule, toxique pour la faune aquatique, pourrait être retrouvée en forte quantité dans les eaux de surface, jusqu’à 32,5 fois la dose jugée sans risque. Autre danger, celui de l’émergence de bactéries résistantes au produit lui-même, mais aussi aux antibiotiques.
Pour les Amis de la Terre, «les pressions de l'agrobusiness et des responsables commerciaux états-uniens provoquent déjà des reculs sur les normes alimentaires de l'Union européenne. Il est à craindre que ces normes au rabais soient très probablement une des conditions nécessaires pour que les Etats-Unis signent cet accord commercial».
Outre-Atlantique, les pressions des producteurs de volailles sont fortes, en effet, pour faire tomber les barrières commerciales. En juin 2014, le National Chicken Council estimait que «le Tafta/TTIP ne pourrait être utile à notre industrie que si les négociations parvenaient à supprimer ces barrières sanitaires et phytosanitaires que l’Europe a mis en place depuis presque 18 ans».

dimanche 15 mars 2015

ACTION PETITION CONTRE CETTE MEGA USINE A COCHONS

 




 VOUS MANGEZ PEUT ETRE ENCORE DU COCHON??
 DOMMAGE POUR EUX ET DOMMAGE POUR VOUS  CAR C' EST UNE VIANDE DE PLUS EN PLUS TOXIQUE A CAUSE DU NOMBRE DE MEDICAMENTS ADMINISTRES A CES PAUVRES BETES.
 MAIS CELA DEVIENT DE PLUS EN PLUS INQUIETANT AVEC L' AUGMENTATION DU NOMBRE DES BETES DETENUS DANS CES ELEVAGES DEVENANT GIGANTSQUES.
 ALORS POUR EUX POUR VOUS, MERCI DE SIGNER!!!

C' EST ICI

A la suite de notre pétition interpellant le ministre de l’agriculture pour stopper les fermes-usines, voici une nouvelle pétition plus précise sur l’extension d’une ferme-usine vers une méga-ferme-usine de 12 000 porcs initiée par la Confédération Paysanne Gironde et soutenue par :
  • Les Amis de la Terre Gironde ;
  • Landes Environnement Attitude (LEA) ;
  • la SEPANSO Gironde ;
  • la SEPANSO Aquitaine ;
  • Et Agir pour l’Environnement ;
Le projet d’augmentation des effectifs d’animaux et de révision à la hausse des surfaces du plan d’épandage de lisier de la société d’élevage de porcs Le Lay à Saint Symphorien a reçu un avis défavorable du Commissaire enquêteur. Malgré cela, le 6 novembre 2014, le CODERST (Conseil Départemental de l’Environnement et des Risques Sanitaires et Technologiques) de la Gironde a émis, à une faible majorité, un avis favorable au projet.
Dans un contexte particulièrement tendu de révision des zones vulnérables consécutif aux sanctions prises par l’Union Européenne contre la France pour non respect de la directive nitrates de 1991, cet avis du CODERST va à l’encontre des mesures prises pour se mettre en conformité avec les règles européennes.
Comme le souligne le rapport du Commissaire enquêteur rendu en mars 2014, la majorité des parcelles des plans d’épandage du lisier et du compost se situent en zones vulnérables (bassin versant de la Hure, affluent du Ciron et bassin versant de la Leyre) or des mesures de nitrates mettent déjà en évidence des concentrations élevées, dans la Hure (voisine de 30 mg/L, voire même pour certaines, proches de 40 mg/L et en augmentation régulière), ainsi que dans la nappe phréatique. Ces concentrations supérieures à celles relevées dans d’autres cours d’eau du même bassin versant et leur évolution à la hausse sont clairement dues à l’impact des activités humaines et devraient donc être réduites.
Les épandages réalisés dans le bassin de la Leyre sur des sols très perméables ne vont pas, quant à eux, améliorer la qualité des eaux du Bassin d’Arcachon déjà préoccupante.
Nous sommes donc très inquiets des conséquences d’une augmentation de la capacité de la porcherie et du doublement des surfaces d’épandage de lisier; les effluents issus de ces élevages industriels étant une des principales causes d’eutrophisation et de prolifération des algues vertes. Ce projet est l’exemple d’une agriculture industrialisée qui vide les territoires de ses agriculteurs, entrainant la disparition de la vie en milieu rural et détruit l’environnement.
C’est pourquoi  la Confédération paysanne de Gironde s’oppose à ce projet d’extension et continuera à défendre une agriculture :
  • de qualité,
  • respectueuse des travailleurs,
  • du bien-être animal,
  • de l’environnement
  • et des citoyens.
Nous disons NON au projet d’extension de l’élevage LE LAY à St Symphorien et faisons le choix de nous battre et de prendre nos responsabilités pour que l’agriculture reste le métier des paysans.
Pour notre avenir, mais aussi pour le vôtre ! SIGNEZ LA PETITION !

samedi 14 mars 2015

HORS SUJET, MAIS A NE PAS MANQUER.NIGEL FARAGE



 LES VA T' EN GUERRE EUROPEENS N' AIMENT PAS NIGEL FARAGE, POURTANT IL EST LE SEUL LUCIDE DANS CETTE ASSEMBLEE.

C' EST ASSEZ DE CRIER A LA DESTABILISATION DE L' EUROPE, ELLE VA DEJA ASSEZ MAL SANS DEVOIR S' ENGAGER PLUS DANS UN CONFLIT CONTRE SES INTERETS.. MERCI MONSIEUR FARAGE!

TOUT L' ELEVAGE EST A CHANGER

POURQUOI CES ANIMAUX DANS NOS ASSIETTESAPRES AVOIR PASSE QUELQUES MOIS OU ANNEES ENFERMES ET MALTRAITES.... ALORS QUE NOUS AVONS CHATS, CHIENS ET AUTRES PROTEGES CHEZ NOUS...

LE CORBEAU ET LA BALLE DE PING PONG

vendredi 13 mars 2015

LIRE: LA CAUSE DES ANIMAUX POUR UN DESTIN COMMUN DE FLORENCE BURGAT

 F. Burgat la cause des animaux




Vient de rapaître un petit livre (par la taille, car les idées sont déterminantes) de la philosophe Florence Burgat: 'La cause des animaux. Pour un destin commun' qui est un véritable manifeste vegan. 


Extraits du chapitre introductif "De l'autre côté du miroir" :

Un récent sondage d’opinion (1) fait apparaître que 86 % des Français « trouvent anormal que les animaux continuent d’être considérés aujourd’hui comme des “biens meubles (2)” dans le Code civil » ; 89 % d’entre eux adhèrent en conséquence à la création d’une catégorie dénommée « animaux » aux côtés de celle des « personnes » et de celle des « biens ». Ces données révèlent un paradoxe qui sera le point de départ de notre réflexion.
C’est en effet parce que les animaux sont considérés et déclarés comme étant des biens, c’est-à-dire des choses dont nous pouvons jouir y compris en les détruisant, que nous les mangeons, nous vêtons et nous chaussons de leur peau, expérimentons sur eux tous les produits que nous absorbons ou inhalons, les enfermons, les chassons et les faisons combattre pour nous divertir : usus, fructus, abusus (3). Estimer qu’il est anormal que les animaux soient considérés comme des biens implique la réprobation des usages qui découlent d’un tel statut, sans quoi il est absurde ou vain de se prononcer en ce sens. Il est de ce fait paradoxal de fustiger ce statut, et implicitement les activités qu’il rend possibles, et, dans le même temps, de l’entretenir et de l’entériner par nos usages quotidiens les plus ordinaires. C’est d’eux que nous partirons pour tenter de comprendre les tenants et les aboutissants de ce paradoxe : comment, et plus profondément pourquoi, cautionne-t-on d’une main ce que l’on rejette de l’autre ? À l’inverse de situations troublantes ou révoltantes contre lesquelles nous ne pouvons à peu près rien, celles-ci sévissent uniquement parce qu’elles trouvent les preneurs que nous sommes peu ou prou tous, et que nous pourrions ne pas être ; au prix d’un effort, certes, mais somme toute relativement mince au regard des effets bénéfiques considérables qu’il aurait au bout du compte sur la condition animale. Le pourcentage écrasant des opinons versant du côté d’une modification du statut juridique des animaux indique qu’il s’agit de la disposition du plus grand nombre. Le principe de non-contradiction énoncé par Aristote, selon lequel A et non-A ne peuvent être posés en même temps, semble trouver un démenti.

Les choses se compliquent cependant très vite dès que l’on prend la mesure de la diversité des cas où la conscience claire qu’il a fallu tuer, interrompre une vie individuée et désireuse de se poursuivre, ne peut ou ne veut pas se former dans l’esprit de celui qui, en bout de chaîne, bénéficie des « produits finis ». Étranger à l’effectuation du processus, il trouve aisément matière à s’en dissocier tout à fait, et il est prêt à croire que la chose obtenue et la voie de son obtention sont indépendantes l’une de l’autre ; à la limite, viande et abattage répondent à deux logiques qui s’ignorent. La mise à mort d’animaux est, il est vrai, parfois insoupçonnable et contre-intuitive dans certains produits (comment soupçonner la présence de gélatine de porc dans un sorbet ou dans des bonbons fruités ?). Pour d’autres, si elle fait partie des étapes de leur fabrication, ils n’en gardent aucune trace directe ni visible ; c’est le cas des substances testées sur les animaux. Lorsque sa mort participe à l’obtention d’une marchandise, sans que l’animal soit lui-même cette marchandise, le lien de cause à effet n’est pas aussi présent à notre esprit qu’il pourrait ou devrait l’être. En bonne logique perceptive, il ne devrait en revanche pas en aller de même lorsqu’une partie, sinon la totalité du corps mort de l’animal lui-même, constitue cette chose ; et pourtant il n’en va pas ainsi. De près ou de loin, directement ou indirectement, de façon visible ou invisible, des violences qui sont pour ainsi dire unanimement réprouvées, perdurent. Afin de nous orienter dans les méandres d’une situation complexe, regardons nos habitudes de consommation les plus ordinaires de l’autre côté du miroir où elles se donnent à voir et nous apparaissent, car tout n’est pas livré dans cette image paisible, festive, scintillante.
SUITE


ACTION POUR LES ANIMAUX EUROPEENS A SIGNER

SOURCE ET PETITION A SIGNER

CONTRE L' EXPORTATION DES BOVINS  PRINCIPALEMENT  VERS LE MOYEN ORIENT.
 ATTENTION VIDEOS CHOC SUR LA PAGE, AU CHOIX VERSION COURTE OU VERSION LONGUE..

C' EST UN RAPPEL. DEJA MIS EN LIGNE LA SEMAINE DERNIERE MAIS IL MANQUE BEAUCOUP DE SIGNATURES, MERCI DE PARTAGER

IL FAUT QUE LES PAYS EUROPEENS CESSENT D' ENVOYER NOS BETES SE FAIRE MASSACRER, SIGNER CONTRE CE CHEQUE EN BLANC... ALORS QU' IL EXISTE UNE LOI CONTRE LES TRANSPORTS D' ANIMAUX VIVANTS CONSISTANT A DES TRAJETS DE PLUS DE 8 HEURES.. CE QUI N' EST PAS LE CAS.

When Compassion received a tip-off about a hidden trade in European farm animals we knew we had to find out more. But to do that our Investigation Unit had to visit one of the world’s most volatile border crossings, the Israeli‑controlled Kerem Shalom border, where the Gaza Strip, Israel and Egypt converge. They brought back some shocking evidence…

Our film contains scenes of an upsetting nature but the most graphic images have been removed from the censored version.

What our Investigation Unit found was a trade in cattle from the EU being sent alive into war-torn Gaza to be slaughtered. On this occasion they tracked down animals who had travelled thousands of miles by land and sea from Romania and Hungary – via Israel – to Gazan slaughterhouses where, frankly, it just isn’t possible to slaughter an animal without causing immense suffering.
The infrastructure in Gaza means that the slaughterhouses are incredibly basic. There’s no proper restraint equipment, and the workers appear to have no training in correct slaughter practice.
The cattle are dragged with ropes from the back of trucks, tied to pillars, and have their throats stabbed and slashed at multiple times. The cattle desperately fight to stay standing even once their throats are cut, but once they collapse they endure seconds, even minutes, of agony as workers continue to hack at their throats.
This kind of treatment would be totally in breach of EU law but when animals leave Europe they are no longer protected.

 

mardi 10 mars 2015

INTERESSANT, QUI FILE DU BLE A LA CHASSE

LA LISTE EST LONGUE, MOI MEME J' ETAIS SURPRISE..
 POURTANT JE SAIS QU' IL Y A SDI PEU DE DEPUTES OEUVRANT POUR LE BIEN ETRE ANIMAL
 TOUTES LES COULEURS SONT REPRESENTEES
 UMPSFN 

Ces députés ont subventionné des associations de chasse en 2014 avec la réserve parlementaire

 

 C' EST ICI

lundi 9 mars 2015

NE PLUS POUVOIR FAIRE CONFIANCE AUX REPORTERS DES DOCUMENTAIRES QUI MALTRAITENT LES ANIMAUX

SOURCE ET SUITE

 TOUT EST MENSONGE, TOUT EST MANIPULATION.
LES TRUCS PAS TOUJOURS SYMPAS (OU PIRE) POUR LES ANIMAUX DENONCES DANS CE LIVRE D' UN PHOTOGRAPHE PROFESSIONNEL QUI PERMETTENT DE FAIRE UN BUZZ  AVEC UN FILM PLUS EXCITANT!!!!!


Chris Palmer wants you to ask a simple question the next time you watch a wildlife documentary or television show: “How did they get that shot?”
The answer might not always be that simple. Did the filmmakers really come across a whale in the middle of the big blue ocean, or did they pump recordings of whale calls into the water to attract whales to them? Did they sneak up close enough to wild wolves to get footage of them in their den, or did they use captive wolves on a game farm? Does the shot of a bear running through a river sound accurate because the camera crew also captured great audio, or were the splashes dubbed in later in the studio?
Palmer knows all of these tricks because he has used them himself. A wildlife filmmaker for 30 years, Palmer has produced dozens of films, TV shows, and TV documentaries. In his new book, Confessions of a Wildlife Filmmaker, he details how the industry demanded more exciting—and less accurate—shows, all in the name of ratings.
In the process, he said, both viewers and animals suffered. Some programs presented unclear or untrue information—he’s particularly critical of Shark Week—or animals were tricked, hounded, or harmed to get “the shot.”
In his book, Palmer says all wildlife shows should fulfill three criteria: They shouldn’t deceive the audience, they should have a conservation value, and they should never harm or harass wildlife while they are being made. He said many of today’s programs fail to live up to those three standards.
Take the recent Eaten Alive program. In that Discovery Channel special from last December, host Paul Rosolie said he would be eaten by an anaconda. The show was widely criticized and with good reason, according to Palmer.
“There are so many things wrong with this,” he said. “One is the harm to the animal. The other is that it never happened, so we were lied to. It also carried the message that anacondas are dangerous and man-eaters. Of course the animals just want to be left alone.”
Palmer also cited many programs, such as Animal Planet’s River Monsters, for harassing animals in a sensationalized manner. Research has shown that hooking large fish with bait and struggling with them until they are exhausted—as is done on River Monsters and shows such as Monster Fish and Shark Hunters—can cause great stress for the animals. Many even die after they are released. Palmer also criticized the programs for calling their subjects “monsters” and other derogatory terms.
Most other examples aren’t so blatant. Palmer said it often takes a trained eye to notice that shots were taken under controlled conditions, or that animals aren’t behaving naturally, or that images have been enhanced with computer graphics.
“It’s hard for viewers,” Palmer said. “How do they know if an animal is being harassed? How do they know if it’s come from a game farm? How do they know if it’s been badly treated? It’s hard to know. That’s why I’ve written this book. I’m trying to spread more knowledge about this so people will be skeptical.”
Because the programs themselves typically won’t provide the answers, Palmer encourages viewers to turn to social media.

dimanche 8 mars 2015

EXCELLENTE NOUVELLE, LE REFUGE WOODSTOCK DEMENAGE A 90 KM DE NEW YORK

LE REVE REGARDEZ CE QU' ILS ONT TROUVE POUR ACCUEILLIR PLUS DE RESCAPES D' ELEVAGE, C' EST MERVEILLEUX CES GENS QUI BOUGENT ET QUI NE PENSENT PAS QU' A LA GUERRE!!!!

HORS SUJET: CAMERON ET LES USA DE PLUS EN PLUS BELLIQUEUX

BON APPETIT, VOUS VOUS SENTEZ DE PASSER VIVANT A LA SCIE?? MOI PAS ALORS JE SUIS VEGETARIENNE

SOURCE ET SUITE EN VIDEO ICI
 MAIS VOUS MANQUEZ PEUT ETRE D' IMAGINATION, OU ALORS D' ETHIQUE.
DANS UN CAS COMME DANS L' AUTRE C' EST TRISTE, ET ENCORE PLUS POUR LES BETES...


Pour beaucoup d’entre-nous, si la viande est facilement accessible dans le commerce, nous ne nous posons pas la question de savoir quelle est l’origine de cette viande, quel est son parcours, et préférons souvent fermer les yeux sur un scandale de taille: la souffrance des animaux. Bien sur, le scandale avait fait quelques vagues de petite ampleur quand à l’abatage rituel quelle que soit la religion, ais même sans religion justifiant la cruauté, les animaux peuvent être confrontés au pire. Accrochez-vous, nous allons visiter le pire de notre alimentation: la viande!
Anne De Loisy a enquêté sur la viande, et plus particulièrement sur les abattoirs, si ce qu’il se passe dans les murs de ceux-ci était connu, le nombre de consommateurs s’effondrerait, impensable dans une société basée sur le profit, le silence est donc de mise, largement aidé par l’ignorance plus ou moins volontaire…
Manger de la viande : un risque ou un plaisir ? Une enquête approfondie sur un sujet encore largement tabou…
Depuis la crise de la vache folle, notre pays se targue d’avoir l’une des meilleures viandes au monde et d’être à la pointe de la sécurité alimentaire. Le message des industriels de la viande se veut clair et rassurant : « La viande est tracée et contrôlée de la fourche à la fourchette. » Les Français peuvent savourer en paix. Cela tombe bien, nous consommons en moyenne 84 kilos de viande par personne et
par an. L’envers du décor est beaucoup moins idyllique. Depuis quelques années, plusieurs rapports des inspecteurs vétérinaires européens, du ministère de l’Agriculture ou encore de la Cour des comptes tirent la sonnette d’alarme. Abattoirs non conformes, carcasses contaminées, prédominance de l’abattage halal et casher pour des raisons économiques, diminution du nombre d’inspections vétérinaires, absence de sanctions. Conséquences ? Des tromperies à répétition, des intoxications alimentaires et des maladies qui peuvent affecter gravement jeunes enfants et personnes âgées.
Bon appétit ! dresse un bilan sans concession et vous donne les clés pour mieux
choisir votre alimentation.

SEXEUR DE POUSSINS, ET 2 SEULS MOYENS DE NE PAS MASSACRER LES POUSSINS

 tableau-comparatif-oeufs-fonction-du-mode-d-elevage-900px[1]


SOURCE AVEC VIDEO ET CARTE EXPLICATIVE SUR LES OEUFS A CONSOMMER DE PREFERENCE POUR MOINS DE BROYAGE DE POUSSINS



 EN FAIT LE SEUL MOYEN EST D' AVOIR SES POULES SANS COCHER LES OEUFS, OU DE NE PAS ACHETER D' OEUFS


En Grande-Bretagne le métier de sexeur de poussins est très peu convoité et pour cause. Pour renouveler les élevages de poules pondeuses qui sont envoyés après un an de vie à l’abattoir ce n’est pas si simple. Les élevages commandent des poules à des couvoirs qui sont chargés de faire reproduire ces animaux. Comme vous vous en doutez, seul les poussins femelles donneront plus tard des œufs, les mâles terminent à la broyeuse ou seront asphyxiés faute de rentabilité intéressante car ils ne sont pas issus d’une espèce sélectionnée pour grandir vite et être abattue à environ 40 jours comme le sont les poulets que nous trouvons aujourd’hui1 .
Payés 4500€ par mois, les couvoirs ont pourtant du mal à trouver suffisamment de personnel pour exercer ce travail2 . S’ils ne sont que 150 sexeur dans ce pays, il en faudrait 15 de plus pour que le Royaume-Uni ne perde pas ses marchés internationaux, ce qu’on leur souhaite bien évidement.

7 200 poussins à envoyer à la broyeuse par jour

Un poussin doit être identifié toutes les 3 à 5 secondes. Le métier est très difficile car il est très répétitif et très cruel. En effet, ce sont environ 14 400 poussins qui sont séparés par jour par sexeur. Les mâles qui ne sont pas une espèce sélectionnée pour donner de la viande (car il s’agit ici de l’industrie des poules pondeuses) seront envoyés vivants directement à la broyeuse. Si ce métier a du mal à trouver du personnel, ce n’est pas parce qu’il est répétitif (ce qui est le cas de bon nombre de métiers) comme pourrait nous le faire croire 20minutes.fr, mais parce qu’il est extrêmement cruel.
Vous ne voudriez pas exercer ce métier cruel ? Alors ne le cautionnez pas et cessez immédiatement d’acheter des œufs, peu importe qu’ils soient bio ou pas, ici les poussins mâles sont considérés comme des simples déchets. Dans le meilleur des cas ils mourront à l’âge de 40 jours, et encore…

CHATS A ADOPTER CALVADOS, DIVES SUR MER, SOS CHIENS ET CHATS

CES CHATS SONT TOUS TRES CALINS, STERILISES ET PUCES POUR LA PLUPART

POUR LES VOIR CONTACTER MONSIEUR CHOUBRAC
 VOIR LE SITE POUR PLUS DE CHATS, ACTUELLEMENT PRES D' UNE VINGTAINE



Harmony
Toutes ces petites boules de poils sont issus de nos sauvetages, et maintenant qu’ils sont soignés, vaccinés... Ils sont tous à adopter.Ce sont des chatons abandonnés car les maitres n’ont pas fait stériliser la mère, des chattes prètes à faire leurs petits, des chats blessés, des chats sortis de fourrières surchargées...Voici donc quelques photos, sachant que d’un jour à l’autre, certains partent dans des familles et d’autres arrivent.Certains en soins seront bientôt sur cette page...
En savoir plus sur http://www.soschiensetchats14160.fr/pages/section-adoptions/page.html#OTG3XiQKXRwk4mmD.99
 A NOPTER COLLECTE ALIMENTAIRE AU SIMPLY DE COLLEVILLE MONTGOMERY POUR AIDER L' ASSOCIATION 
CE SERA LE 21 MARS

Samedi 21 Mars 2015Grande collecte alimentaire pour Chats et ChiensSimply Market de Colleville-Montgomery
En savoir plus sur http://www.soschiensetchats14160.fr/pages/section-adoptions/page.html#OTG3XiQKXRwk4mmD.99
 


samedi 7 mars 2015

CE WEEK END

CURCUMA, PROTECTEUR DU COLON, ANTI CANCER

SOURCE

The low incidence of  bowel cancer in India is often attributed to natural antioxidants such as curcumin, the yellow pigment in the spice turmeric, used in curry powder. However, it is important to remember that the benefits of a diet are seldom produced by a single ingredient in that diet. For example, diets rich in beta-carotene lower the risk of tobacco-related cancers, but beta-carotene pills do not. That doesn’t stop researchers from trying, though.
Back in 2001, in a last ditch attempt to save the lives of 15 patients with advanced colorectal cancer that didn’t respond to any of the standard chemotherapy agents or radiation, researchers started them on a turmeric extract. The extract appeared to help stall the disease in a third (5 out of 15) of the patients, suggesting that turmeric extract may clinically benefit at least some patients with advanced refractory colorectal cancer.
If we were talking about some new kind of chemotherapy, and it only helped one in three, we’d have to weigh the benefits against chemo side effects, such as losing our hair, the sloughing of our guts, intractable vomiting, maybe being bed-ridden. Therefore, a drug scenario, a one in three benefit may not sound particularly appealing. But when we’re talking about plant extract proven to be remarkably safe, it would be worth considering even if it just helped 1 in a 100. With no serious downsides, a one in three benefit for end-stage cancer is pretty exciting.
To see if colon cancer could be prevented, five years later, researchers at Cleveland Clinic and John Hopkins School of Medicine tested two phytochemicals, curcumin (from turmeric) and quercitin, (found in fruits and vegetables such as red onions and grapes) in people with familial adenomatous polyposis, an inherited form of colon cancer in which individuals develop hundreds of polyps that may become cancerous unless prophylactically removed. Researchers gave supplements of curcumin and quercetin to five such patients who already had their colons removed, but still had either polyps in their rectum or in a little intestinal pouch. Each patient had between 5 and 45 polyps each, but after six months on the supplement they ended up with on average fewer than half the polyps, and the ones that were left had shrunk in half. One patient got rid of all polyps by month three, but then they seemed to come back. The researchers asked the patient what’s what, and it turned out that the patient stopped taking the supplements. So researchers put the patient back on the phytonutrient supplements for another three months, and the polyps came back down with virtually no adverse events and no blood test abnormalities.
By studying people at high risk for colon cancer, the researchers were able to show noticeable effects within just months. But polyposis is a rare disease; they were only able to recruit five people for the study. Thankfully, smokers are a dime a dozen. After another five years, researchers put 44 smokers on turmeric curcumin supplements alone for a month and measured changes in their colorectal aberrant crypt foci, which may act like the precursors to polyps, which are the precursors to cancer. After just one month there was a significant drop in the number of these abnormal crypt foci in the high dose supplement group but no change in the low dose group. There were also no dose-limiting side effects (although the stools in the participants did turn yellow).