dimanche 18 mars 2018

ARTISTE??? UN BIEN GRAND MOT!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ""L' OEUVRE"" A ETE RETIREE OUF!!!!!!!!!!!!!!!

Dans le film de l'artiste Adel Abdessemed présenté au musée d'Art contemporain de Lyon, Aymeric Caron y voit avant tout la souffrance exercée sur des poulets. L'œuvre a été retirée. Explications. 

 LYON!! COMMENT ONT ILS PU PENSER A LE LAISSER EXPOSER????????????????????? HONTE!!!!!!!!!!!!! 

Je suis certaine qu' il y a a LYON  des centaines d' artistes avec de l' Art du vrai cette fois qui pourraient exposer de belles oeuvres, mais un artiste local et Francais ça les decoiffe!!!! CA NE SE FAIT PAS SANS DOUTE!!!!!!!!!!!!!!!

Accrochés à un mur, pendus par les pattes la tête en bas, ils sont alignés par dizaines comme les condamnés qu’ils sont. Leurs corps à demi mangés par les flammes se débattent. Certains agitent frénétiquement les ailes. Ils sont en train de brûler vifs. «Ils», ce sont des poulets. Ils crament en boucle devant nos yeux, sur des écrans géants, au milieu de hurlements que nous renvoient des haut-parleurs.

Ces pauvres animaux sont les victimes d’une mise en scène de l’artiste Adel Abdessemed visible depuis la semaine dernière dans l’exposition «L’antidote» présentée par le musée d’Art contemporain de Lyon (MAC). L’autodafé de ces gallus gallus domesticus est censé représenter «une allégorie de toutes les violences, notamment celles qui sont infligées aux animaux», selon les mots du MAC de Lyon. Au téléphone, son directeur Thierry Raspail, courtois mais embarrassé, me demande de considérer le «contexte» de fabrication du film. Il évoque pêle-mêle le Printemps arabe (Adel Abdessemed a intitulé sa vidéo Printemps), l’exil forcé de l’artiste de son Algérie natale, les enlèvements de jeunes filles, la violence animale, bref il m’invite «à ne pas me tromper sur le message, sur l’allégorie».
Allégorie? Mais en quoi provoquer de la souffrance animale est-il une allégorie? Il s’agit au mieux d’une banale monstration, au pire d’une apologie. Il n’y a pas d’art là-dedans. Pas de distance, pas de poésie, pas de métaphore, mais de la souffrance brute, bête et méchante, qui se rajoute à toute la souffrance qu’endurent des centaines de milliards d’animaux chaque année.

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